Les photos dans le nuage, ça vous angoisse tant que ça? Faisons le point.

J’ai pu remarquer, lors du cycle des articles sur Lightroom, que vous êtes nombreux à ne pas supporter de mettre vos images sur un nuage.

Je reprends vos arguments:

  • la peur: vous avez peur que vos images disparaissent un jour en même temps que l’entreprise qui vous héberge;
  • l’écologie et ne voulez pas gaspiller des ressources en mettant vos images en ligne;
  • la dépendance: vous ne voulez pas dépendre d’un prestataire;
  • la sécurité: vous êtes professionnels et vous ne vous voyez pas mettre les photos de vos clients en ligne, ou simplement, vous n’aimez pas que vos images soient chez un prestataire qui puisse jeter un œil dessus;
  • le prix: vous ne voulez pas payer mensuellement, les images en ligne reviennent à la longue trop cher.
  • la bande passante obligatoire.

Mettons les choses à plat.

Je vais commencer par expliquer ce que le Cloud m’a apporté, et puis je reviendrai ensuite, point par point, sur les arguments listés plus haut.

Avant le numérique

Jusqu’à il y a assez peu de temps, les photos qu’on prenait, on les envoyait au labo, ou mieux, on les développait nous-mêmes, en particulier lorsqu’il s’agissait d’images en noir et blanc.

Au mieux, quand les images revenaient du labo, ou quand les avait séchées, on classait bien les négatifs, on regardait les images, on était tout contents.

Et on les glissait dans leur enveloppe ou dans un portfolio, qu’on déposait dans un carton, ou sur une étagère.

Tiens, l’année passée, suite à notre déménagement, je suis retombé sur toutes ces enveloppes.

Des images prises entre 1980 et 2000.

J’ai perdu les plus anciennes…

Ces photos étaient prises avec les meilleurs Canon (l’EOS 1 n par exemple) et les meilleurs Nikon (le F4, entre autres).

Eh bien vous savez quoi?

Mais qu’est-ce que j’ai été déçu de leur qualité!

Bon.

Il est vrai que je n’allais pas chez les photographes de la place pour tirer mes images, j’allais dans les grandes chaînes, mais même…

Lorsqu’on s’est habitués à regarder nos images sur des écrans, ou, celles que l’on aime le plus, sur de beaux tirages bien digitaux et tout et tout, en plus sur du beau papier bien épais et satiné, quelle déception face à ces images papier, en particulier en couleur, passé le plaisir de revoir certains souvenirs!

Je précise que ça faisait au moins dix ans que je ne les avais pas regardées, ces images, et qu’elles ont toujours été à l’abri de la lumière, dans une cave sèche et fraîche.

Et je mets à part les images noir et blanc que je développais moi-même et que j’ai toutes perdues (purée elles sont où?), qui gardent leur charme et leur qualité, au fil du temps.

Tout ça pour dire, que les photos, dans les enveloppes, je ne les regardais pas.

J’ai bien essayé de les mettre dans des albums, albums qui avaient un retard incroyable de plusieurs années dans leur confection.

Mais ces quelques albums, je les ai laissés à mon ex-femme, lors d’un divorce de 1993.

Plus possible de les voir, donc.

Je précise que j’étais une pince dans la gestion de mes négatifs.

Avec l’arrivée du numérique

Ma première image avec un numérique (un petit Leica Digilux de 1999, merci Mathieu de me l’avoir vendu d’occase), je l’ai toujours, comme toutes celles que j’ai prises depuis.

C’est la première grande nouveauté du numérique pour moi.

Oh, j’ai bien dû en perdre une ou deux à l’occasion d’une mauvaise manipulation, mais tellement peu…

Une fois intégré le fait qu’une sauvegarde est un minimum syndical, le numérique, c’est tout simplement une révolution magnifique.

La qualité de cette première photo de 1999, bien sûr, est restée en tout point la même depuis 1999 jusqu’à ce jour, aucune détérioration due au temps, si ce n’est le fait qu’elle peut être comparée à ce que font les appareils d’aujourd’hui. Mais même, ce petit Leica faisait des miracles.

Et puis, le numérique nous a permis de faire tout ce dont nous rêvions pour la couleur, ou tout ce que nous faisons dans les lumières blafardes rouges ou vertes dans notre salle de bains en noir et blanc, en toute simplicité.

Mais le numérique n’a pas vraiment changé le principal: une fois dans le disque dur, une fois traitées, les images, je ne les regarde presque plus, parce qu’il faut faire un effort pour le faire: brancher le disque dur externe, ce qui n’est jamais pratique, ouvrir un logiciel qui n’est pas vraiment fait pour ça (je n’ai jamais aimé regarder mes photos sur Lightroom Classic CC), pour ne prendre que ces freins parmi d’autres.

Oh, il y avait bien Flick’r, Smugsmug, ou d’autres pour faire des collections, mais là, n’étions pas déjà dans le nuage?

Le numérique traditionnel a donc été un apport fantastique pour stocker et retoucher les images, pas vraiment pour les regarder, ce qui est tout de même le but ultime du pourquoi nous faisons des photos.

Avec l’arrivée du cloud ou du nuage

Everpix, disparu aujourd’hui et que j’ai testé ici a pour moi été la première révolution, impliquant que mes images allaient passer dans le nuage, passés les Flick’r et Smugsmug dont j’ai parlé plus haut, mais qui étaient pour moi occasionnels, autant que l’étaient les albums photo en argentique.

Pensez: vos images sur un nuage, que vous pouvez voir de tous vos mobiles! Il y a 5 ans, c’était tout neuf!

Mieux, Everpix vous proposait chaque jour un extrait de quelques-unes de vos images en rapport avec la date du jour: 3 minutes de bonheur à revoir des souvenirs plus ou moins heureux, tous les matins. Des images bien enfouies au fond de mes disques durs jusqu’alors qui ressortaient comme par magie.

Concept génial plus ou moins repris par PictureLife, mort en tant que tel lui aussi.

Ces deux programmes impliquaient que vous deviez envoyer des JPEG dans le nuage. J’avais donc mis en place toute une stratégie de double catalogue Lightroom, un JPEG, l’autre RAWs qui exportait vers le premier.

C’était lourd tout de même!

Et puis voilà que l’an passé, j’ai découvert (avec un peu de retard, ce qui est assez rare chez moi, vous en conviendrez), Lightroom Mobile.

La possibilité de voir également mes images depuis mon catalogue principal, de partout, n’importe quel ordinateur, smartphone ou tablette, et même de les corriger depuis ces appareils.

Le tout se synchronisant partout.

Le tout en pouvant en un clic partager un moment avec ma famille ou mes amis qui pourront regarder les images depuis leur navigateur en toute simplicité, et qui pourront même, si je leur donne l’autorisation (un clic supplémentaire), télécharger celles qui les intéressent.

Extraordinaire.

Bien sûr, tout cela a un prix.

Ce prix, c’est en partie les arguments que j’ai listés en ce début d’article.

Mais ces arguments tiennent-ils vraiment la route, ou ne sont-ils pas quelque peu fantasmatiques?

C’est ce que je vais essayer de décortiquer maintenant.

Commençons par le dernier point listé en début d’article parce qu’il va vite être traité.

Oui, le Cloud nécessite une bande passante de qualité. Si vous n’en avez pas, ou si vous n’y avez pas facilement accès, c’est rédhibitoire.

Par contre, avec un logiciel comme Lightroom, vous pouvez très bien être éloignés d’une connexion quelques jours (pas plus de quinze pour ce logiciel, parce qu’il doit vérifier une fois tous les quinze jours que vous êtes bien abonnés): le logiciel travaillera avec les images en cache qui attendent d’être développées, et qui seront synchronisées en temps voulu.

Mais bon, il faut l’admettre, sans une bonne connexion, oubliez le nuage, il n’est pas fait pour vous.

Le risque de perdre ses photos parce que le prestataire s’arrête ou augmente ses prix (impliquant l’arrêt de l’abonnement)

En argentique

L’avantage certain de l’argentique, c’est que perdre l’intégralité de ses photos dans le laboratoire prestataire est inexistant. Cela dit j’ai plusieurs fois entendu parler de professionnels ou d’amateurs ayant envoyé des sachets contenant les bobines de film qui se sont perdues soit quelque part dans le labo, soit pendant le trajet, sous la responsabilité de la poste. Ça m’est même arrivé une fois, heureusement, pas au retour d’un voyage.

En numérique local

En numérique local, à moins de faire de fausses manipulations, ce risque est faible. Il faudra, le jour venu, convertir les JPEG vers un nouveau format, ou penser à passer vos RAWs en DNG s’ils sont abandonnés par votre logiciel.

La mort d’Aperture n’a pas tué les images de ceux qui travaillaient dessus. Un convertisseur a même été mis à disposition pour passer son catalogue sur Lightroom.

En numérique dans le cloud

Le cloud ne va RIEN changer à cela. Everpix a donné plusieurs mois à ses clients pour rapatrier ses images. PictureLife est passé chez Smugsmug, les images n’ont pas été perdues.

Et si vous désirez arrêter votre abonnement, vous pourrez récupérer vos images avant ou pendant un an chez Adobe, après votre décision.

Et puis de toute façon, il serait stupide de ne pas garder une copie de ses originaux en local.

L’écologie et le gaspillage de ressources

En argentique

Bien évidemment, les photos ne font le trajet vers le laboratoire et le retour qu’une seule fois. Mais elles le font tout de même.

De plus, les bobines ont dû être transportées au magasin, et du magasin vers chez vous.

Et puis, écologiquement, vous vous rendez compte de ce que l’on a pollué la planète avec les révélateurs, fixateurs, et les métaux lourds que l’on a rejetés, je ne sais pas trop où? Certes, actuellement, les produits ont beaucoup progressé, mais tout de même!

En numérique local

Là, si l’on fait abstraction des produits lourds que l’on retrouve dans les entrailles de nos ordinateurs, mais ces mêmes ordinateurs servent à d’autres tâches également, il n’y a pas grand-chose à reprocher en matière d’écologie à la gestion de photos numériques.

Certes, il y a l’électricité consommée pour les traiter et les regarder. Mais l’impact écologique est tout de même minime.

En numérique dans le cloud

Beaucoup reprochent au Cloud d’être énormément énergivore.

C’est certainement vrai, mais, comme le montre cette étude de Greenpeace, les choses évoluent très rapidement dans le bon sens. Apple et Google montrant l’exemple (Apple est véritablement championne en la matière, bravo!).

Je vous recommande donc cette lecture. Certes, tout n’est pas rose, mais, du moment que les Data Centers utilisent énormément les énergies renouvelables (Apple est à 83 %!), l’impact sur la planète est déjà moindre que l’apocalypse annoncée par certains

Et l’on y va, quand on n’y est pas déjà, vers cette utilisation maximale des énergies propres.

À ce propos, vous verrez qu’Adobe a encore des progrès à faire, mais a rejoint le mouvement.

Et j’insiste, je ne suis pas un défenseur du progrès pour le progrès, j’ai pris Greanpeace comme référence, pas des entreprises électriques, qu’on se le dise.

Vous ne voulez pas dépendre d’un prestataire

En argentique

En argentique, vos photos, une fois sorties du labo, vous appartiennent, vous faites ce que vous voulez avec elles.

En numérique local

En numérique… que vous soyez dans le cloud ou pas, vous faite ce que vous voulez, vous dépendez du prestataire, j’entends par là du logiciel que vous avez choisi pour traiter vos RAWs.

Je parle plus de dépendance de votre travail que de vos images en tant que telles.

Que je sois sur Lightroom, Capture One, Aperture (RIP) ou Photo, si je travaille avec des RAWs, tout le travail que je fais dessus (recadrage, retouche d’image, améliorations diverses) est lié à mon logiciel.

Je sais qu’il a été possible de passer d’Aperture vers Lightroom sans que ce soit l’horreur absolue.

Mais là, je suis sur Lightroom: croyez-vous que ce soit facile de passer sur Capture One sans perdre mon travail?

Prenons un exemple.

Si les responsables de Luminar veulent faire en sorte que leur programme devienne une alternative en 2018 à Lightroom, ce qu’ils prétendent devenir en intégrant un catalogueur à leur logiciel l’an prochain (gratuitement pour leurs clients qui achètent Luminar 2018 dont je vais parler très bientôt), que vont-t-ils devoir faire s’ils veulent être crédibles et avoir une chance de faire passer bon nombre de clients Lightroom vers leur logiciel?

Ils devraient (ils ne l’annoncent pas, mais ils devraient) proposer des scripts reprenant nos réglages Lightroom (ou Capture One, ou Photo), évidemment. Convertir notre catalogue dans leur catalogue.

Mais même si c’est le cas, ses moteurs de développement ne sont pas les mêmes d’un logiciel à l’autre. Donc vous n’aurez pas exactement les mêmes images. Le recadrage, ce sera certainement bon, mais pour le reste?

Et ceci, voyez-vous, c’est totalement indépendant du cloud ou de tous les nuages qui vous font si peur.

En numérique dans le cloud

Du moment qu’on est chez Adobe, que ce soit sur le nuage ou sur votre disque dur, la difficulté de changer de logiciel est la même. Seule différence? Si vous n’avez pas gardé vos originaux (ce qui serait de toute manière une grave erreur), il vous faudra les télécharger, ce qui se fait très simplement, par exemple chez Adobe, avec leur Adobe Downloader dont j’ai parlé ici, et ceci avec tous les réglages et le travail que vous avez fait.

Si vous travaillez en JPEG ou en TIFF, évidemment, il est très simple de changer de logiciel.

Mais le Cloud n’empêche alors rien puisque là aussi, il est possible de rapatrier nos photos très simplement.

C’est d’ailleurs une option à réfléchir lorsque vous voulez changer de logiciel: j’exporte l’intégralité de mes RAWs en JPEG ou en TIFF, et je me contente du travail que j’ai effectué jusqu’alors qui me conviendra à 90 %.

Comme je garde évidemment les RAWs, les photos que je veux modifier après coup pourront l’être à nouveau en repartant du RAW d’origine.

Bref: pour moi, cette dépendance au prestataire parce que l’on parle de Cloud est un faux problème. On dépend plus ou moins d’un prestataire du moment que l’on traite nos images et que l’on ne veut pas perdre notre travail dans un logiciel.

C’est tout.

Sécurité des images

En numérique

Alors là, vous m’excuserez…

Vous vous rappelez des reportages que l’on pouvait visionner à propos des laboratoires photo?

Les bandes de photos qui se promenaient à travers les machines dans tout le labo?

Le nombre de personnes qui pouvaient y avoir accès?

La sécurité était nulle, il fallait simplement faire confiance non seulement dans l’entreprise, mais dans l’éthique de ses employés.

Non, franchement, à moins de développer soi-même, je pense que les secrets de nos images n’étaient de loin pas assurés à l’époque, certainement moins que maintenant.

En numérique local

Sécurité absolue, rien à dire, en admettant que l’on ne se fasse pas piquer son disque dur externe ou que l’on ne l’oublie pas dans un restaurant (je l’avais toujours sur moi, ce disque externe, au cas où, d’ailleurs je l’ai toujours dans une poche de ma serviette).

Mais bon, on peut aller plus loin et crypter le disque. Donc oui, la sécurité en numérique local peut être presque assurée.

En numérique dans le cloud

Je suis d’accord avec vous, il faut faire confiance…

Rien ne dit qu’Adobe, Apple ou d’autres ne vont pas “regarder” vos images.

Alors, je ne dis pas, pour des images particulières (reportage politique pointu, sur la mafia ou d’autres, photos industrielles avec secrets de fabrication), on peut se poser la question.

Mais pour nos images? Franchement, vous pensez qu’ils vont s’y intéresser, chez Adobe ou Apple?

Et pour les photographes professionnels qui ne veulent pas mettre les images de leurs clients sur le nuage, j’apprécie leur éthique. Mais leurs clients se soucient-ils de la sécurité de leur disque dur, dans leur bureau?

Je pense qu’il n’y a pas beaucoup plus de risques à mettre nos images sur le Cloud qu’à les envoyer, comme nous le faisions avant, dans un laboratoire.

Le prix

En argentique

Vous rappelez-vous de ce que l’on vivait, du temps du numérique?

La cartouche de film coûtait son pesant de cacahuètes, et les tirages, si l’on voulait de la qualité, n’étaient de loin pas donnés.

Pour 36 poses, il fallait compter, film compris, avec tirages 10/15, pas loin de 35 €, en Suisse, 20 si vous passiez par un discounter.

Si l’on tirait soi-même, ce n’était pas donné non plus.

En numérique local

Alors je sais… le numérique a gâché le plaisir pour certains.

Le plaisir de prendre du temps pour cadrer, justement parce qu’il ne fallait pas gaspiller, alors que maintenant, on mitraille à tout va.

Le plaisir d’attendre l’arrivée des photos chez le marchand ou dans votre boîte aux lettres: l’instantanéité du numérique a fait gicler tout ça.

Enfin tout de même: je sais qu’il reste des amoureux de l’argentique, mais vous, vous aimeriez y revenir?

Mais nous parlions du prix: là, avec un logiciel gratuit, vous faites des miracles, vous pouvez regarder vos images sur votre ordinateur.

Reste l’envie d’imprimer les plus belles, et ça, ce n’est pas donné non plus. Un beau tirage chez Picto ou d’autres ne coûte pas moins cher qu’en argentique, mais la qualité est au rendez-vous.

En numérique dans le cloud

Là, vous allez devoir payer un abonnement.

Allez, je prends celui d’Adobe pour la photo, assez onéreux, et parce que beaucoup en parlent très négativement ces temps particulièrement: vous allez payer 35 francs par mois (32 € si je ne fais erreur, je n’ai pas le prix français sous la main) pour disposer des logiciels Photoshop, Camera Raw, Bridge, Lightroom CC 2018 et Lightroom Classic CC, mais aussi pour disposer de 2 Tb d’espace disque, ce qui n’est pas rien. 1 Tb seulement coûtera 10 € moins cher environ.

Ces 35 francs mensuels, ils ne se rapprocheraient pas un peu de ce que vous dépensiez à l’époque pour la photo argentique, juste pour photographier 36 poses?

Et ne me dites pas que vous ne faisiez pas un film par moi, si vous aimiez la photo, c’était un minimum.

Alors bon, le prix des clouds, un scandale? Il faudrait simplement comparer, et puis remettre les choses à leur place.

Non?

En conclusion

En ce qui me concerne, il est clair que je conclus de cet article que le Cloud est une solution formidable.

Il ne faudrait pas qu’on me l’enlève, je serais tout perdu.

Et vous?

Vous pensez quoi de ce qui précède?

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Antoine Poichotte
Antoine Poichotte
il y a 6 années

Je loue un serveur mutualisé chez o2switch : 80 € par an. Pas de limite de stockage, pas de limite de bande passante (les backups assurés par o2switch). Je me fais un catalogue avec jAlbum (35 €). Synchronisation avec YummyFTP (30 $). Toute la famille a accès aux images (accès par mot de passe). C’est quand même bien moins cher qu’Adobe et toutes les solutions de Cloud, pour finalement le seul résultat qui compte (pour moi, en tout cas) : que les photos soient regardées !

Gérard Bioteau
il y a 6 années

D’accord avec François, l’utilisation de nos iPhones pour faire des photos rend le cloud d’Apple indispensable sauf à saturer nos appareils et rien à redire sur le service, j’utilise un service en ligne pour montrer mes photos prises avec mon reflex pour moins de 50€ par an, donc quand j’aurai besoin du cloud d’Adobe pas de problèmes si ce n’est d’être dans le système d’un géant.

Pascal (@PascalBoni)
il y a 6 années

J’ai toujours pas compris l’intérêt d’avoir ses photos sur le cloud, désolé. J’utilise Flickr, déjà parce que je ne travail qu’en RAW et que je travail les images avant des les mettres en ligne. Déjà pour avoir une résolution écran, ne serait-ce que pour la rapidité de visionnement. Ensuite, je n’aurais même pas l’idée de corriger quoi que ce soit sur une photo avec mon iPad ou mon iPhone, donc l’intérêt c’est quoi ??? Par contre les vigniettes, ça oui ! car je peux tranquillement remplir les Tags, IPTC etc. et ça se synchronise. Bref, le beurre et l’argent du beurre 😉 Donc aucune raison de perdre du temps à mettre online mes photos, tout simplement. Sans parler que du fait que j’ai le système d’abonnement d’Adobe en horreur (et je n’aime pas les menteurs) et que dès qu’il y aura un concurent valable, je switcherais, comme c’est déjà fait pour Photoshop avec Affinity Photo. Et juste comme ça, Apple, société autrement plus sérieuse qu’Adobe (exemple de Flash) avait eu un bug il y a certe longtemps, mais qui m’avait quand même sucré tout mes contacts. Le jours ou ça arrive avec les photos, j’ose pas imaginer le temps perdu à tout rétablir…

Françoise Nayroles
Françoise Nayroles
il y a 6 années

Je poursuis mon abandon d’Adobe en essayant Affinity Photo (mais il manque quelques outils comme la sélection rapide)
Mes photos sont sur Piwigo, entreprise française, 39 € par an, stockage illimité et mots de passe si besoin.
J’utilise le Cloud d’Apple avec Photo pour synchroniser sur l’iPad (mais je n’arrive pas à voir sur ce dernier les titres des photos qui résument pas mal de choses comme Millau-12mars2017)
Tous mes Raw et Jpg sont sur plusieurs disques ; si CaptureOne disparaissait et si je devais retravailler une photo, je repartirais à zéro avec une autre logiciel sans états d’âme.
Pour être honnête j’avoue utiliser LR pour les impressions !

cschopfer
il y a 6 années

Je suis d’accord qu’on peut avoir son propre serveur, avec plein de possibilités. Pour pouvoir partager mes photos avec ma femme j’en ai essayé un wagon… mais les personnes qui proposent ses solutions ont-elles essayé Lightroom CC (pas le classique). Je peux vous dire que je suis vraiment conquis. Alors cela est plus cher, mais les possibilités sont bien plus intéressantes. En tous cas, je n’ai jamais trouvé une solution équivalente. Et gros avantage, je ne passe pas plus de temps à mettre à jour toutes ses solutions qu’à regarder mes photos. En plus maintenant ma femme à accès a toutes les photos sur son téléphone, sur le web et sur le Mac. Je ne retrouve pas encore mon Everpix (qui était exceptionnel pour un prix presque dérisoire… et mon dieu comme le mail hebdomadaire me manque), mais LR offre plein d’autres avantages. Je suis comme François, je suis conquis. Et pour un utilisateur qui n’est pas équipé d’un reflex 50Mpix et qui fait des photos raisonnablement, l’abonnement a 10.-/mois avec 1 To peut largement suffire.

Jean-Paul Mussano
il y a 6 années

Merci François pour cet article, qui ouvre un large débat et qui a le mérite de nous rappeler tous les aspects de cette problématique. Chacun de ces aspects mérite d’être approfondi, et chacun d’entre nous aura son propre point de vue et sa propre opinion sur le sujet, mais François nous apporte une grille de lecture bien complète.
L’initiative d’Adobe impacte nos modes de stockage et nous pose des questions sur le devenir de nos outils de traitement.
Pour ce qui concerne le stockage, je n’ai rien a priori contre le stockage en ligne, sauf qu’aujourd’hui ma bande passante est insuffisante, ce qui me permet de faire l’autruche en attendant ! Je suis toutefois intéressé par plus d’informations chiffrées et objectives sur le coût énergétique du stockage en ligne (les serveurs, mais aussi le réseau pour y accéder et sa bande passante). Attention au paradoxe de celui qui fait la guerre pour éteindre son ampoule de 20 W et qui laisse sa fenêtre ouverte pour aérer sa maison avec le radiateur plein pot en dessous !
La sécurité ne me pose pas vraiment de problèmes, et je n’irai jamais mettre mes fichiers en ligne sans une bonne sauvegarde chez moi. Le système Adobe permet la consultation en ligne par le propriétaire de l’abonnement, mais pour la consultation par la famille et les amis, il faut toujours me semble-t-il passer par une publication sur un sites spécialisés ?
Et pourquoi Lightroom CC n’accéderait-il pas à photos et catalogues stockés sur iCloud ou autre ? Adobe a toujours interdit pour des questions de sécurité le partage en réseau de la base de données Lightroom. Autant je pouvais comprendre qu’il en soit ainsi avec le Lightroom d’origine, autant je comprends moins que le nouveau Lightroom CC n’ait pas prévu une structure de base solide pour permettre le partage sur tout réseau. C’est là qu’on peut reprocher à Adobe de réduire nos degrés de liberté, en nous imposant un abonnement supplémentaire.
Sur le devenir des outils de traitement, je rejoins assez François : il y a toujours à la fois des évolutions et des solutions pour les gérer. Jusqu’à plus ample information, une image informatique est toujours au bout du compte un ensemble de pixels colorés. Ce qui change d’un outil à l’autre, c’est la manière d’aboutir au résultat, qui intègre les algorithmes du logiciel et les métaphores utilisées pour les présenter. Il y a donc autant de manières d’aboutir à un résultat donné qu’il y a d’outils différents… Nos habitudes portent d’abord sur les métaphores, qui nous “parlent” plus ou moins et qui nous facilitent (ou pas !) la tâche. Pour ma part, les métaphores de Lightroom me convient bien, probablement parce que je m’y suis fait depuis longtemps, et mes tentatives d’aller ailleurs se sont soldées par des échecs, mais ceci n’est que moi.

JanPol

ysengrain
ysengrain
il y a 6 années

Non, je n’ai pas peur d’envoyer mes images dans le cloud.
L’écologie ne préoccupe pas quant à ce point là… ailleurs sans aucun doute
Il ne s’agit pas d’une dépendance vis à vis d’un prestataire: je sais que si je souscrivais à cette pratique je conserverai toutes mes images “chez moi”
Je n’ai aucune préoccupation quant à la sécurité des données, je suis expérimenté et en plus de 30 ans de dossiers médicaux informatisés, je n’ai jamais rien perdu, survivant entres autres avanies au vol complet de notre installation et je ne sais plus combien de crash du serveur.
Je n’ai pas de difficulté pécuniaire et ne rechigne jamais à payer pour un service rendu
Ma bande passante oscille selon les jours entre 32 à 50 Mbps tant en réception qu’en émission.
Je suis passé au numérique il y a environ 15 ans et ai parfaitement compris que l’argentique est une autre ère. J’ai scanné quelques centaines d’images avec plus ou moins de bonheur… et de déception, aussi.
Je ne traite aucune photo prise avec l’iPhone à l’exception d’un recadrage. Je n’ai jamais téléchargé Lightroom mobile sur mon iPhone et ne le ferai sans doute pas. Cette app est une excellente contribution à l’enrichissement d’Adobe, que nous avons maintenant avec les dernières élucubrations Lightroom CC. Non merci.
Je n’ai aucun besoin immédiat d’aller chercher une belle photo de mon cru que je souhaite montrer, regarder, transmettre. Je ne vis pas dans l’urgence depuis longtemps.
Je vis sans aucune synchronisation de mes photos et n’en éprouve aucun besoin.
Je note que LR vérifie tous les 15 j que je suis abonné. Je suis touché de l’attention qui ne me concernera pas.
Passer d’un logiciel à un autre sans perdre “l’editing” déjà réalisé est consommateur de temps mais pas impossible. Dans les grandes lignes, conservation des RAW (à 99,99% chez moi), exportation en TIFF, reprise dans le nouveau logiciel. C’est consommateur de temps, mais je suis retraité…
Je me moque que le “clouder” regarde mes images, je n’ai rien à cacher.

Il s’agit d’une question philosophique – si j’ose le mot.
Dans la proposition d’Adobe, il y a 2 éléments:
– je te loue mensuellement/annuellement LR
– je te loue de l’espace de stockage

Quand je vois 2 propositions en une seule, j’ai toujours envie de dire NON, NON et NON.
À titre totalement personnel, je ne VEUX PAS
– louer un logiciel. Je paie un droit d’utilisation avec d’éventuelles mises à jour, ça me convient
– “clouder” mes images; je n’ai rien à publier, de la même manière qu’on ne me verra jamais sur un réseau dit social.

Chacun ses choix. Ceux proposés autour de LR ne sont pas les miens.

Mathieu Fay
il y a 6 années

Mes photos sur Cloud. Je n’en vois pas le besoin. J’utilise un peu GoogleDrive pour partager des photos (15go gratos, bien suffisant).
Une série de photos sur Facebook.
Une série de photos sur des albums que je crée sur Free pour partager (par une applic perso.)
Pour le reste stockage en local et sauvegarde.

Caplan
il y a 6 années

Oh, quelle coïncidence! Ce soir à 20h10 sur la RTS, A Bon Entendeur traite justement du Cloud:

*Les clouds: un ciel sans nuage?
L’émission du 21 novembre 2017

Le cloud computing (en bon français “l’informatique dans les nuages”) occupe désormais notre quotidien. Avec nos smartphones, nos tablettes ou nos ordinateurs, nous consultons sans cesse des banques de données diverses: courriels, news, météo, musique, films… Mais nous trimbalons aussi notre petit panier partout, avec nos albums photos et autres documents, un panier dans les nuages dont nous pouvons partager le contenu avec des collègues ou des amis. Ces données stockées dans des clouds sont-elles bien sécurisées? Ces clouds sont-ils pratiques? Quelle est leur capacité de sauvegarde? A ces questions très concrètes, ABE vous offre un test pour y répondre. Le stockage, le traitement et le partage de nos données ont un coût et des conséquences. Avec quels effets sur l’environnement, quand on sait que les serveurs répartis dans le monde consomment ensemble plus d’électricité qu’un pays comme l’Allemagne?*

Mathieu PIERRE
Mathieu PIERRE
il y a 6 années

Attention, la réthorique de l’article est un peu biaisée en ce sens que l’on part d’un postulat négatif.

Or, comme le dit mathieu ! on peut très bien ne pas avoir besoin de ce type de service que l’on tente de nous vendre par n’importe quel moyen.

Je rajouterai deux choses :

1- une question :
on est tous plus ou moins d’accord sur le fait que personne n’a véritablement gèré ses négatifs , alors pourquoi nous faut-il aujourd’hui sanctuariser les Raw ?

2- ma petite expérience personnelle.
Je ne partage pas mes photos sur le net, sauf à envoyer de temps à autre un lien wetransfert.
En revanche, cela fait 4-5 ans que je m’amuse à créer des diaporamas que je poste sur Vimeo. Un peu de multimédia ne fait pas de mal.
Par ailleurs, depuis 2004 (je viens de vérifier la date de mon premier exemplaire) j’utilise frénétiquement les services d’impression en ligne pour créer des livres photos chez Apple, Blurb, Pixum, et les autres. Quel plaisir de revoir et partager ses photos sur papier dans un bel écrin. Et cette formule à énormément de succès quel que soit l’âge, ce n’est pas limité à la génération “papier” mais tout le monde aime feuilleter ces bouquins disponibles 24h/24 dans ma bibliothèque. En fonction des promotions disponibles et des occasions, j’aime également offrir cet objet à mes proches.

Albert de Saint-Felix
il y a 6 années

C’est simple, sur Facebook je ne mets que des photos de paysages, je n’utilise plus que Photos avec deux Ad-On … DxO OpticsPro for Photos et Picktorial … rien dans le cloud, le flux de photos activé, comme cela ma femme peut voir les photos sur l’iPad. J’ai supprimé les photos sur Flickr, pour les échanges j’utilise temporairement Dropbox et je laisse quelques photos sur Google photos pour la fratrie.

Toutes les photos sont stockées en local, sur la Time Machine, trois disques durs externes, dont un de 320 Go que je qualifierais de baladeur.

J’ai peut-être une attitude de papy pour tout ce qui touche au Cloud, alors que je suis un vrai geek .

https://www.picktorial.com

Ce logiciel fonctionne en binôme avec Photos ou tout seul en utilisant les photos qui sont dans un dossier /Images/dossier 1900 etc. …

abrug
abrug
il y a 6 années

Bon reprenons certains arguments de François.
1. La bande passante. Nonobstant le fait qu’on peut avoir une bonne bande passante chez soi, rien ne garantit qu’elle soit la même ailleurs. Quand je voyage, et même dans ma campagne italienne, la bande passante riquiqui exclus l’utilisation du nuage pour déposer mes RAWs ou pour les rapatrier. Car enfin, même G. Théophile avoue, gêné, que pour développer une image dans Photoshop il faut évidemment la rapatrier ou bien l’avoir sur son disque dur; mais alors pourquoi l’envoyer si loin. Comble d’humour, Adobe a créé une application qui vous permet de ramener vos photos du nuage sur votre disque dur…
Pour moi, cet aller-retour est ridicule et inutile. François n’aime pas montrer ou regarder ses photos dans LR. Connais-tu le raccourcis clavier “F” qui permet d’afficher une photo sur l’entièreté de l’écran; en utilisant les flèches on avance ou on recule. Il n’est pas nécessaire de monter son disque dur externe, les aperçus dynamiques suffisent amplement même pour une exportation allant jusqu’à 2560 pixels.
2. l’écologie. François, j’ai bien lu l’article cité et je ne suis pas satisfait car même si les géants se soucient de passer à une énergie plus “verte”, je pense que celle-ci serait plus utile dans des domaines vitaux, ce qui n’est sûrement pas le cas de notre petit confort de visualisation de nos photos. Je vous invite à cette réflexion: https://www.franceinter.fr/emissions/le-billet-de-nicole-ferroni/le-billet-de-nicole-ferroni-15-novembre-2017
3. Pour tout le reste, c’est vrai que je ne suis pas un adepte de la tablette parce que je me refuse de passer au stockage sur le net. Mais c’est le prix que j’accepte de payer en considérant que c’est une décision responsable, je suis le colibri de l’histoire… Je trouve quand même dommage qu’en tant que pédagogue, tu fasses l’apologie de ce système. Ce prosélytisme me paraît bien mal à propos à l’heure actuelle.
Je vous souhaite à tous un bon futur…
(s) guru

Daniel Pesch
il y a 6 années

Je ne vais pas réécrire ce que nombre d’entre vous ont développé ici et en particulier Ysengrain et AbruGuru avec lequel je suis parfaitement en phase.

Daniel Pesch
il y a 6 années

Remplacer “lequel” par “lesquels” !!!

micmackermorvan
il y a 6 années

Je trouve, comme François, que le cloud est une solution formidable. Celui d’Adobe en particulier semble bien étudié et efficace. Mais je l’utilise personnellement sans y avoir transféré mes originaux, je me sers de ce que je trouve être l’invention majeure de Lightroom ces dernières année : les aperçus dynamiques.
Je n’ai pas envie, pour tous les arguments listés au début de l’article, d’héberger mes photos chez Adobe, mais je trouve la synchronisation entre différents appareils et la mise en ligne des albums très intéressantes. Aussi, j’ai choisi la solution de garder mes RAW et ma bibliothèque chez moi (avec Classic CC) et de synchroniser des collections sur le cloud. Au début, je sélectionnais les photos à inclure dans ces collections synchronisées, maintenant j’y mets systématiquement toutes mes nouvelles photos, créant ainsi une seconde bibliothèque “cloud”.
J’ai donc le beurre et l’argent du beurre : mes photos sont chez moi (le beurre) et je profite du cloud d’Adobe (l’argent du beurre). Je peux visualiser et traiter mes photos sur n’importe quel iBidule ou PC avec les applis iOS ou Lightroom CC (via les aperçus dynamiques), sans compter Lightroom web qui permet aussi de belles choses. Travailler épisodiquement sur les aperçus dynamiques me suffit largement. Et je maîtrise parfaitement ce que je confie au cloud, il me suffit de désynchroniser telle ou telle collection.

Pascal (@PascalBoni)
il y a 6 années

François, je n’ai pas compris ton soucis d’interface avec Flickr, vu que j’envoie depuis… Lightroom 😉 C’est justement tellement facile à gérer grâce à lui ! Et sur Flickr, ça présente très bien, fichier à la taille que l’on désir, et c’est un plaisir pour ceux qui utilisent les racourcis clavier pour les visionner. Bref, pas vu mieux pour l’instant. Mais si quelqu’un peu me montrer mieux, avec grand plaisir! Voilà un petit exemple ici avec mon dernier voyage en Islande :

Hallgrimskirkja

C’est la grande qualité que je reconnais à Lightroom: la gestion des photos, comme aucune autre application ne sait faire pour l’instant !
Mais je ne vois pas l’utilité de devoir les mettres online, désolé, surtout si on en fait beaucoup ! Perdre son temps à devoir uploader des RAW online pour pouvoir les travailler alors que je peux le faire à peine 2-3 minutes après sur mon poste fixe, c’est quoi l’intérêt ??? Et en plus on paye pour perdre du temps ? ;-))

abrug
abrug
il y a 6 années

François, pour pouvoir modifier un raw dans PS à partir de LR, il faut avoir accès au fichier original car PS va travailler sur une copie, donc le ramener ou ramener la copie s’il est sur le nuage. Ou me trumpe-je ?

Joakim
il y a 6 années

Grâce à cet article et le commentaire d’Albert de Saint-Felix, je découvre Picktorial (https://www.picktorial.com) qui me semble en effet assez remarquable, en complément au Finder ou à Photos, pour qui ne veut pas de Lightroom. Rapide et efficace pour mes besoins.

Mathieu PIERRE
Mathieu PIERRE
il y a 6 années

@joakim.
Je suis dans le même cas, mais se pose une question toute bête.

On voit fleurir de multiples applications similaires depuis quelques mois (pixelmator, pro ou non, Luminar, Picktorial, etc… bases sur un modèle économique quasi similaire (achat à moins de 60€), voir sans si j’integre DarkTable.

Laquelle choisir ?

Joakim
il y a 6 années

@Mathieu
Je me pose la même question et je suis en train de tester Picktorial… juste après avoir acheté On1 (https://www.on1.com/) et je possède déjà Pixelmator.
J’utilise aussi Lightroom au travail (depuis plusieurs années), mais je ne m’y fais toujours pas (à l’interface surtout, mais aussi aux lenteurs) pour mon usage privé. Je suis tout simplement plus rapide et efficace pour trier mes images avec Photos (dont les limites sautent l’une après l’autre) et la combinaison avec Picktorial me semble pas mal du tout. Surtout que ce dernier sauvegarde ses modifications non destructives directement dans le fichier (dans le cas d’un JPG ou PNG) et que ce dernier est directement utilisable par d’autres applications sans qu’il ne faille faire un export depuis le catalogue.

Mais je poursuis mes recherches et essais, aussi dans le domaine des éditeurs de texte capable d’alimenter mes sites WordPress d’ailleurs…

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