Comme chaque année, depuis 28 ans, le Rock’n Poche occupe l’alpage un peu au-dessus d’Habère Poche, dans la très belle Vallée Verte.
Comme d’habitude, tous ceux qui aiment le rock français un tantinet engagé et l’électro en fin de soirées se retrouveront devant la scène principale, la scène régionale, ou entre les deux sur la rue de l’Alpage, bardée sur ses côtés de stands de nourriture de toutes sortes, mais essentiellement locale.
Cette année, l’affiche est la suivante:
Je crois que je n’ai jamais vu Trust que j’ai pourtant un peu écouté il y a… ouaf… je ne préfère pas dire…
Ce sera l’occasion!
Tout comme Miossec, que j’ai un peu écouté à la radio et que je me réjouis de voir et d’écouter en vrai.
D’autres, je les connais.
Il y a le rock des Balkans. Normalement, je n’aime pas.
Mais je dois admettre que j’avais apprécié Emir Kusturica and the no smoking orchestra en 2012 et ça va être sympa de les retrouver cette année.
Deux que je me réjouis de retrouver (j’enfoncerai encore un peu plus mes tampons auriculaires), c’est ces doux frappadingues que sont The Inspector Cluzo.
Ces deux-là, ils valent vraiment le déplacement rien qu’à eux tout seuls.
Ils nous offrent un rock tellement puissant avec une batterie d’enfer, une guitare qui l’est tout autant, et leur chant qui n’est pas en reste.
Une énergie incroyable que vous pouvez apercevoir ici, mais il faut savoir qu’en vrai, c’est encore plus étonnant.
Et puis, il y a aussi ces belles découvertes de la scène régionale.
J’espère avoir encore l’énergie de passer d’une scène à l’autre, parce que photographier deux nuits de suite, il faut avouer que ça devient éreintant à un certain moment.
En ce qui concerne la photographie, j’aurai toujours la chance d’avoir un laissez-passer qui nous permet de presque tout faire.
Je réitère mes anciens réglages de l’année passée, on ne change pas une équipe qui gagne:
- Sony A7R III
- 70-200 f2.8 (et peut-être cette année le 85 mm 1.4 pour des portraits en coulisses)
- mode manuel, vitesse entre le 350e et le 400e de seconde, ouverture entre f3.2 et f4 pour avoir un poil de profondeur de champ;
- ISOs en mode Auto, ce qui fait que c’est eux qui compensaient les écarts de luminosité;
- pour la plupart du temps (pas toujours) l’appareil en mode autofocus continu et détection automatique du collimateur;
- calcul de la lumière couplé au collimateur autofocus choisi.
Ça va le faire, je le sais, j’ai d’ailleurs des exemples de la soirée de l’année passée ici avec ces réglages.
Voilà!
Je sais qu’en plus, je vais retrouver trois amis ces quelques jours (Zit, Drazam et Laurent), que voulez-vous de plus?
Juste deux souhaits: pas d’orage et un son de qualité.
Pour l’orage, personne n’y peut rien (trop tard pour changer quelque chose pour cette année), pour le son, Laurent, je compte sur toi!