Cela fait un moment que je n’ai pas parlé son, par ici.
Pourtant, l’audio reste un domaine qui me passionne et j’adore écouter du beau matériel dans des endroits spécialisés et les essayer chez moi, quand c’est possible.
Pour votre information, ma configuration actuelle est la suivante:
- Enceintes Jean Maurer 370F testées ici;
- Préamplificateur avec DAC YBA Genesis PRE5
- Amplificateur YBA Genesis A6
- Lecteur DAC CD Cambridge 851C testé ici (et actuellement en réparation, la légendaire fragilité de la mécanique des lecteurs Cambridge m’a rattrapé)
- Un MacBook Air dédié à la musique, pour faire tourner Roon, Qobuz, et Apple Music.
J’avais deux choix de DAC puisque deux objets en sont dotés comme vous l’avez vu plus haut: le préamplificateur YBA et le Cambridge 851C.
Même trois DAC, en fait, si l’on compte celui du Mac qui ne régate pas avec les deux autres, dont je l’oublie immédiatement.
Table des matières de ce qui suit
C’est quoi, un DAC?
Rappelons rapidement ce qu’est un DAC avec l’aide de Perplexity:
Un DAC, pour Digital Analog Converter) est un convertisseur numérique-analogique. Sa fonction principale est de transformer les signaux audio numériques en signaux analogiques. Ce processus est essentiel, car le son que nous écoutons est analogique, tandis que la plupart des sources audio modernes, comme les CD, les fichiers musicaux ou le streaming en ligne, sont au format numérique.
Oui, le DAC a une immense importance dans la qualité de rendu d’une chaîne hi-fi.
Ma préférence a été d’utiliser celui du YBA, mais… j’étais toujours à me remémorer avec nostalgie cette association que j’avais écoutée en 2018 et dont je vous avais parlé ici, à savoir la combinaison de matériel Nagra et d’enceintes Jean Maurer (les mêmes enceintes que les miennes) combinaison qui m’avait laissé le cul par terre pantois.
Un peu de nostalgie
Seulement voilà, le matériel Nagra (à savoir amplificateur, préamplificateur et DAC), même s’il est extraordinaire, est largement au-dessus de mes moyens, à savoir 70’000 francs suisses (77’000 € au cours du jour), sans compter les enceintes que j’ai déjà, ouf.
Mais j’avais entendu, lors de l’écoute, une telle précision, un tel “toucher”, une telle musicalité de l’ensemble, que oui, j’y pense toujours comme son de référence.
Et voilà que, depuis quelque temps, aussi bien l’Âge du Soft à Morges que Marc Maurer qui a les rennes désormais de l’entreprise Jean Maurer, même si ce dernier est toujours présent, me poussaient pour que je teste à la maison un streamer Wattson, le Madison Lounge Edition.
Mais avant d’aller plus loin…
Qu’est-ce qu’un streamer?
Rappelons rapidement ce qu’est un streamer, avec l’aide de Perplexity:
Un streamer audio, également appelé lecteur réseau audio, est un appareil conçu pour lire et diffuser de la musique numérique à partir de diverses sources vers votre système hi-fi. Voici les principales caractéristiques d’un streamer audio
Fonctionnalités principales
- Connexion réseau : le streamer se connecte à votre réseau domestique via Wi-Fi ou Ethernet pour accéder aux contenus audio.
- Lecture de fichiers audio : il peut lire des fichiers stockés localement sur un NAS, un ordinateur ou un smartphone connecté au même réseau.
- Accès aux services de streaming : il permet d’accéder directement à des plateformes comme Spotify, Tidal, Qobuz ou Deezer.
- Conversion numérique-analogique : La plupart des streamers intègrent un DAC (convertisseur numérique-analogique) pour transformer le signal numérique en signal analogique.
Avantages
- Centralisation des sources : le streamer agit comme une passerelle entre vos différentes sources audio numériques et votre chaîne hi-fi.
- Qualité audio améliorée : les DAC intégrés sont souvent de meilleure qualité que ceux des smartphones, offrant une meilleure reproduction sonore.
- Contrôle à distance : L’appareil peut être piloté via une application sur smartphone ou tablette.
Types de streamers
- Streamers avec DAC intégré : à connecter directement à un amplificateur ou des enceintes actives.
- Streamers sans DAC (bridges) : pour une utilisation avec un DAC externe audiophile.
- Streamers amplifiés : intégrant un amplificateur, à connecter directement aux enceintes passives.
En résumé, un streamer audio est un appareil polyvalent qui modernise votre installation hi-fi en centralisant l’accès à vos sources musicales numériques, tout en offrant une qualité sonore optimisée pour l’écoute audiophile.
Le Wattson Madison Lounge Edition
Le Wattson Madison Lounge Edition est un streamer avec DAC intégré (et quel DAC, mes amis, nous allons le voir plus bas!) qui se connecte au réseau via un câble Ethernet.
Avant de poursuivre, une chose importante pour moi: le Wattson Madison Lounge Edition est conçu, élaboré et construit en Suisse par des ingénieurs de haut niveau, à quelques kilomètres de chez moi, comme le sont d’ailleurs les enceintes Jean Maurer.
Le Wattson Madison Lounge Edition permet d’écouter de la musique sans passer par un ordinateur, puisque ce dernier est directement connecté à deux services: Qobuz et Tidal ainsi que les radios sur le net.
Cela étant, l’appareil supporte le protocole AirPlay, il est donc tout à fait possible d’utiliser Apple Music ou Apple Classical (et toute application compatible sur iPhone et iPad), ceci certainement au détriment d’une qualité maximale, l’idéal étant d’attaquer l’appareil directement via l’UPnP des applications compatibles (voir les explications un peu plus bas).
Une installation Plug&Play
Notez les entrées et sorties:
- Entrée réseau : Ethernet 100 Mbit/s
- Entrées numériques: 1x S/PDIF sur connecteur RCA et 1x S/PDIF sur TOSLink
- Sorties analogiques : 1x asymétriques sur connecteurs RCA et 1x symétriques sur XLR
- Sortie casque : connecteur Jack 6.35 mm
Brancher son Wattson Madison Lounge Edition à son installation hi-fi est très simple.
En ce qui me concerne, j’ai branché l’alimentation externe (très jolie, et propre à la version Lounge Edition (un modèle “standard” existe et dispose d’une alimentation plus simple), j’ai connecté les sorties Cinch (RCA si vous préférez) Right et Left à l’aide de deux câbles de qualité (non fournis, comme c’est l’habitude, dans le domaine), et j’ai connecté un câble Ethernet entre l’appareil et mon routeur.
Mais comment choisir sa musique, alors?
Le Wattson Madison Lounge Edition est un appareil répondant au standard UPnP (Universal Plug and Play) et, une fois connecté au réseau, il est par conséquent capable de lire et diffuser de la musique numérique à travers tout logiciel compatible.
Problème: l’application IOS Qobuz n’est pas UPnP, il faut donc passer par des applications qui le sont, et qui accueillent Qobuz (voir plus bas).
Pour choisir votre musique, vous passerez par votre smartphone ou votre tablette, via une application dédiée, à savoir Wattson Music, offerte avec l’appareil, ou une autre application compatible avec ledit standard UPnP.
Vous voyez ici les services disponibles, comme je l’ai dit, il s’agit de Tidal et Qobuz, ou des radios en ligne.
En ce qui concerne Qobuz, je choisis ce service (voir avant-dernière figure) et je peux me promener à travers les styles de musique, par exemple:
Ou alors me promener dans mes playlists, mes favoris ou mes achats (si j’ai acheté de la musique en vue de téléchargement, ce que je faisais avant de passer à l’abonnement intégral).
Voici un exemple avec un clic sur mes achats.
Et bien sûr, il est tout à fait possible de faire des recherches et de voir les détails d’un album.
Cette application est pas mal, sans plus, et elle n’est pas encore pleinement compatible pour l’iPad, j’attends avec impatience son arrivée prévue pour les prochains mois sur cette tablette.
J’utilise plutôt une application tierce, à savoir JPLAY.app, compatible UPnP que je vais tester très prochainement sur ce blog, mais aussi beaucoup Roon que j’ai acheté en version à vie il y a bien longtemps déjà et que j’ai testé ici.
Profitant d’un abonnement offert pendant trois mois à Audirvana (que j’ai dégommé ici, il y a un bout de temps), j’ai pu tester la chose également avec ce logiciel que je me suis dépêché de vite désinstaller à nouveau.
À noter que le Wattson Madison Lounge Edition est “Roon Ready”, gage de pleine compatibilité avec cet excellent logiciel, et ceci se vérifie dans les préférences Audio de Roon.
Remarquez que j’ai flouté mon adresse IP que j’ai d’ailleurs réservée dans mon modem pour le Wattson Madison Lounge Edition, afin que Roon ou JPLAY le retrouvent, même après extinction.
C’est à travers l’application Wattson ou via l’adresse IP de l’appareil, adresse que l’on tape dans son navigateur, qu’il est possible d’effectuer des réglages et de le mettre à jour.
Notez que, si vous utilisez Roon ou Audirvana, vous aurez besoin d’avoir votre ordinateur allumé, Roon ayant besoin de son serveur sur Mac pour fonctionner.
Vous pourrez choisir votre musique via les télécommandes que sont votre smartphone ou votre tablette via les applications dédiées à ces deux logiciels, mais également depuis votre ordinateur.
Si vous utilisez les applications JPLAY ou Wattson, vous n’aurez aucunement besoin de votre ordinateur, de même via AirPlay pour Apple Music et autres.
À l’écoute
Lorsqu’on allume le Wattson Madison Lounge Edition en enfonçant sa molette rotative un quart de seconde, l’appareil recherche le réseau et s’y connecte, ce qui prend une petite dizaine de secondes, c’est d’ailleurs le lot de tous les streamers, à ma connaissance.
Une fois la petite diode du réseau stabilisée, tout est prêt.
Et c’est là que la magie opère.
Rappelez-vous le ravissement que j’avais ressenti à l’écoute du matériel Nagra associé aux Jean Maurer.
Eh bien, c’est du moins ce que je crois, et ceci, même si c’est des années après, pour la première fois, je ressens la même extase à écouter mes musiques de test (et les autres, bien sûr) avec le Wattson Madison Lounge Edition associé à ma chaîne.
La précision, le toucher, l’ouverture sonore, tout est incroyablement supérieur à tout ce que j’ai eu à tester à la maison.
Pour être bien sûr de mes tests, j’ai réussi à faire en sorte qu’on puisse passer du DAC intégré à mon préamplificateur YBA au Wattson Madison Lounge Edition d’un clic sur un même morceau, et inversement, et la différence est renversante à chaque fois.
Dans mes précédents tests entre différents matériels, j’essayais de trouver les différences, de fermer les yeux, de demander à d’autres de faire les changements pour que je puisse les faire à l’aveugle, et avoir des avis tranchés était souvent tellement difficile!
Là, ça va de soi.
J’ai fait également le test à l’aveugle avec Madame K qui me dit toujours qu’elle ne voit pas vraiment la différence entre deux matériels, que j’ai tendance à couper les cheveux en 4 dans le sens de la longueur, et là, elle a à chaque fois vu la différence, avec plusieurs styles de musiques.
Par exemple, dans ce merveilleux album de Renaud Garcia-Fons, la première note du premier morceau est juste incroyable.
Il y a tellement, dans cette première note frappée, qu’à elle seule, elle peut servir de test de matériel audio.
Je l’ai toujours trouvée extraordinaire, cette note, ce premier morceau l’est d’ailleurs tout autant, tout comme l’est l’album entier.
Mais là, on passe encore une étape!
D’autres albums confirment l’extraordinaire précision et la musicalité dingue du Wattson Madison Lounge Edition.
Je ne vais pas faire mon critique de matériel audio qui décrit précisément la mesure 5 du premier mouvement du concerto X, suivi de 10 exemples qui, de toute façon, ne parlent qu’à lui-même (le critique audio, donc).
Remarquez que c’est un peu ce que je viens de faire avec ma note du disque ci-dessus, mais bon, cette première note m’a tellement frappé…
Ce que je sais, j’ai que j’ai une liste de lecture sur Qobuz que j’ai appelée Démonstration chaîne et qui contient toutes sortes de styles de musique.
Eh bien tout ce que j’ai essayé me convainc de la grande finesse de ce matériel Wattson.
Quelques plus encore, du Wattson Madison Lounge Edition
Le Wattson Madison Lounge Edition ne prendra pas beaucoup de place dans votre salon, puisque ses mesures sont les suivantes:
- Dimensions (L x P x H) : 174 x 185 x 52 mm (6.9 x 7.3 x 2.1 in)
- Poids : 1075 g (2.37 lb)
- Alimentation : 5 V DC, adaptateur hybride externe Wattson Audio
- Consommation : 50 mW au repos, 4.5 W en lecture
Comme vous le constatez, sa consommation électrique est minime, ce qui, associé à la petite taille de l’objet, en fait un objet durable.
D’autre part, le gros bouton rotatif de l’appareil ne sert pas qu’à allumer l’appareil et à l’éteindre (il faut, pour ce faire, appuyer deux secondes sur lui), il sert à contrôler le volume de l’appareil.
Beaucoup prétendent qu’il vaut mieux travailler sur le préampli ou sur l’ampli si le préampli est intégré, ce qui est souvent vrai.
Cela étant, le Wattson Madison Lounge Edition est doté de la technologie maison LEEDH Processing qui garantit une gestion du volume sans perte de qualité.
Attention, il faut comprendre que vous jouerez sur le volume à partir de celui que vous aurez entré sur le préampli ou l’ampli, l’appareil estimant qu’il s’agit là de son maximum et ne pouvant que diminuer le son et l’augmenter à nouveau jusqu’au volume de départ. Il ne peut pas monter plus haut que ce seuil.
À vous de choisir un volume sur votre ampli ou préampli maximal supportable, au cas où vous utiliseriez un autre matériel (par exemple un lecteur de CD) sans sursauter au passage lors du départ de l’écoute.
L’avantage de cette gestion du son de type LEEDH Processing, c’est que vous pouvez gérer le volume depuis l’application de votre iPhone, sans avoir besoin de bouger de votre fauteuil ou de votre canapé.
Notez que lorsque vous êtes dans Apple Music, via AirPlay, le simple fait de diminuer le son de votre iPhone ou de votre iPad agit sur le volume de l’appareil et donc active cette technologie, on le voit bien part les diodes qui entourent la molette et qui indiquent le niveau de volume.
En conclusion
Le Wattson Madison Lounge Edition m’a totalement convaincu.
Son prix n’est pas donné, bien évidemment, puisqu’il revient 4’390 francs (4’820 € au cours du jour).
C’est une fraction du matériel Nagra qui m’avait enthousiasmé (bien évidemment, il comprenait ampli, préampli et DAC), mais avec le matériel que j’ai en ma possession, je retrouve cette qualité d’écoute que j’avais pourtant certainement un peu idéalisée dans ma mémoire.
J’attribue donc au Wattson Madison Lounge Edition le label Too Much Bô, bien mérité.
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Alors si j’ai bien compris la Watson va remplacer le Cambridge?
Je lis toujours avec intérêt tes tests son, même si ce n’est pas du tout mon rayon, c’est comme de l’anthropologie en pays inconnu 🙂
Au fait, tu as renoncé à renoncer de ne plus faire de test de matériel? Tu en parlais justement en 21 en ouverture de ton test du Cambridge.
Merci!😀
Non, le Cambridge va rester (après réparation), pour écouter certains CD que je ne trouve pas en streaming.
Je ne renonce pas vraiment, ici, il ne s’agit pas d’un truc que l’on change chaque année.
Je ne veux par contre pas jouer le jeu des iPhone qui changent chaque année, par exemple, ça ne m’intéresse plus.
Alors moi j’aime bien quand tu testes du matériel. Déjà je vis l’achat par procuration ce qui m’économise des sous et des futurs déchets.
Et les tests ça permet de ne pas se tromper quand enfin on achète un truc.
Nous nous sommes rendu compte, l’autre jour, que nos iPads ont 6 ans chacun et aucune envie ni besoin de les changer pour le moment. Et le prix des nouveaux aide à se restreindre, aussi.
Ah! J’ai compris! Le lien pour le test du Cambridge était celui d’un DAC (celui que j’avais au bureau).
C’est pour ça que tu pensais que je l’avais remplacé par le Wattson.
J’ai corrigé et redirigé vers le test du Cambridge 851, qui était sur Cuk.
http://www.cuk.ch/articles/15882/
Bon, il est en panne, mais c’est vrai qu’il a 9 ans… Cela dit, je le répare, et cela dit bis, je pense qu’il était utilisé en tant que DAC pendant 8 ans, mais que sa mécanique CD a dû tourner une trentaine d’heures, au plus.
Ahhhh cette fois je comprends. Ma geekerie est donc intacte 😉
Ça me rappelle il y a fort longtemps, j’avais branché mon PC sur le DAC de mon lecteur mini disc Sony et la qualité était incomparable par rapport à la qualité de la carte son. J’étais tout content 😀
par contre, il y avait une astuce : il fallait mettre un mini disc en pause pour pouvoir profiter du DAC intégré avec une autre source.
Heureusement, c’est plus simple, maintenant!😀
Bonjour François, je serais très intéressé de pouvoir écouter ta playlist qobuz : démonstration chaîne. Peux-tu la rendre publique ?
Merci.
Oh bonne idée.
ou la liste des enregistrements concernés, pour celleux qui ne sont pas chez Qobuz.
Bonjour François, Je plussoie volontiers à cette idée; je ferais certainement des découvertes.
Pour la liste, rien de spécial, simplement des beaux disques que je connais bien et que je peux comparer.
Elle est ici pour ceux qui ont Qobuz, pour les autres, désolé, je n’ai pas tout à fait le temps aujourd’hui de regarder, j’essaierai plus tard la semaine prochaine.
https://open.qobuz.com/playlist/2653550
😉
Eh oui!😀
Elementary
Bonjour François,
Beaux appareils que ces Wattson, je n’ai pas eu encore l’occasion de les écouter.
Mon expérience m’a appris qu’il est préférable de mettre à 100 % le son du streamer/dac et de moduler plutôt le son depuis le préampli / ampli.
Dans mon cas, avec un Lectron JH32, j’ai la chance d’avoir une télécommande. Je comprends qu’on se lasse de se lever pour augmenter/diminuer le son, mais ça vaut le coup d’abord d’essayer les deux options et d’écouter si on sent une différence de rendu sonore.
Je voudrais aussi partager mon expérience logicielle.
Puisque le Emerson est UPNP, je conseille d’essayer l’appli BubbleUPNP.
L’inconvénient est qu’elle n’existe que pour Androïd, l’avantage est qu’elle procure une amélioration significative du rendu sonore. Et j’ai essayé beaucoup de solutions logicielles pour écouter Qobuz sur un bon système.
Là aussi je parle de mes écoute, chacun devra essayer, mais je ne suis pas le seul à avoir constaté une amélioration.
Bonnes écoutes et meilleurs vœux pour 2025 !
C’est l’avantage de l’application Wattson ou de JPLAY: comme Bubble, elle ne touche absolument pas la qualité du son en passant par des Core Audio ou que sais-je.
Quant au volume, oui, comme je l’ai écrit d’ailleurs, normalement, il vaut mieux travailler avec le volume de l’ampli, et mettre les appareils de type Wattson à 100%, mais, justement, les ingénieurs ont travaillé sur ce problème et l’ont pallié.
En ce qui concerne la télécommande du YBA, il faut être tellement en face de l’appareil qu’elle en est presque inutilisable, chez moi, les appareils étant sur le côté droit de l’écoute.
https://x.com/dandumontp/status/1880187482253475846?s=61&t=NsKY4tiRj-hWhH7-Ha6tBw
Bel exemple du beau monde qu’on peut rencontrer sur la planète X.
N’y aller pas/plus ! Jamais !
Ben je n’y vais jamais, mais là, j’étais bien obligé de le faire! 😀
Cela dit, il se présente ainsi:
Et dire qu’il a plus de 5’000 abonnés… Etrange, ce réseau social, mais plus rien ne m’étonne avec eux.😥
Mais moi non plus, je n’y vais jamais, sauf pas accident. Comme ce soir… Je n’avais pas vu que c’était un lien x.com !
Il écrit pour MacGeneration. J’ai trouvé ça cocasse.
Eh bien, super!😀
Alors moi, l’audiophilie, les DAC, les chaînes haut de gamme, c’est pas ma tasse de thé (ni mon budget).
Par contre, en lisant ton article, une image m’a sauté aux yeux: l’album de Renaud Garcia-Fons. Ce type est vraiment un maître dans son genre!
J’ai eu l’occasion de le voir une première fois à Genève, en duo avec Derya Türkan, maître du kemençe. Ce duo étonnant a eu le bon goût d’enregistrer un album, Silk Moon, qui est une vraie merveille.
La seconde fois, c’était au Cully Jazz Festival, pour un concert solo dans le Temple. Vertigineux. En plus de sa maîtrise de l’instrument, il utilise également avec une grande musicalité quelques artifices électroniques, dont un looper.
Et enfin, une troisième fois, au festival Nova Jazz à Yverdon, en trio avec un accordéoniste et un batteur-vibraphoniste.
Bref! je ne vais pas détourner plus longtemps le sujet du jour, mais je n’ai pas pu m’empêcher! (À vrai dire, je n’ai pas vraiment essayé!)
Détournons, détournons… C’est pour la bonne cause.
Magnifique musicien que Renaud Garcia-Fons. Plus de trente albums à son actif. Je l’ai croisé lorsque j’ai participé à des spectacles d’Angélique Ionatos avec laquelle il a beaucoup collaboré.
J’aime beaucoup cet album :
Renaud Garcia Fons était venu faire faire une retouche sur sa contrebasse à l’atelier de lutherie que je fréquentais.
Superbe bonhomme
Oui, j’adore, et en plus, il vient dans des petites salles: je l’ai raté à La Chaux, dommage!
Salut François,
Superbe appareil.
J’ai eu l’occasion de l’écouter mais mon budget n’était pas suffisant pour craquer.
J’adore ces petits streamers de très haute qualité.
Personnellement, j’ai un Lindemann Limetree Network. Une merveille et en plus, je peux y raccorder directement mon disque dur (je n’ai pas de serveur chez moi).
Associé à une paire de Jean Marie Reynaud (concepteur d’enceintes acoustiques basé en France) et à un ampli Heed (artisan Hongrois), mes oreilles me remercient chaque jour. Et la dernière pièce de la chaîne est une platine Thorens TD 125MKII de 1972 complètement restaurée.
En tout cas, ton ensemble audio est magnifique. Tu dois te régaler chaque jour.
Eh oui, mais visiblement, je ne suis pas le seul! Tu m’as l’air bien content aussi!😀
Je constate en te lisant Francois que tu as changé d’ampli-préampli: j’en étais resté à un ampli à lampes dont j’ai oublié le nom.
En second lieu, je vois apparaitre dans une de tes playlists, ma formidable copine, Sophie de Bardonnèche, violoniste d’exception.
Son compagnon, le claveciniste Justin Taylor est aussi une pointure de très haut niveau.
Sur l’enregistrement Destinées que tu montres (on y parle que de femmes compositrices, bien bel hommage), la basse de viole est tenue par l’immense violiste (et amie) Lucile Boulanger.
Pour ceux que ça intéresse, les violistes français ont reçu un bien beau signe de reconnaissance
Sur tes conseils, j’ai complété ma chaine ampli-lecteur CD-enceintes Rega avec un DAC Cambridge.
Belle différence.
Merci pour ces apports.
Tu as acheté le petit DAC de Cambridge que j’ai testé ici?
Bien sûr
Pour l’ampli à tubes, il me semble qu’il s’agissait du Lectron JH32.
C’est bien cela! Quelle mémoire!😀
Quelle puce il utilise?
J’ai un Emodac aussi fabrication Suisse avec une puce
ESS Sabre 9038 Q2M. Je suis passé du Bluesond à ce DAC. Le jour et la nuit sans discussion. Le prix est très correct.
J’ai gardé le Bluesond rien que pour l’appli et je sors en digital pour me brancher sur l’Emodac qui sort sur l’ampli.
J’ai un switch de gaming qui diminue le temps de lattence jitter
https://musique-o-casque.com/viewtopic.php?f=6&t=466
Hello Christian,
Il est beau, ton DAC.
Pour les puces, tu peux te référer à cet article.
Quant à moi, les puces ou l’électronique ne m’intéressent pas vraiment, seul compte le son.
Je fais (encore) confiance à mes oreilles, à mon ressenti corporel.😀