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Newzik: les partitions sur iPad, pour vous ou pour votre orchestre

J’ai écrit il y a quelque temps un article sur une découverte que j’avais faite à l’époque qui a changé ma vie, à savoir forScore, un lecteur de partitions musicales absolument fantastique.

J’ai même été bêta-testeur de ce programme, et je dois dire que j’en étais très content.

Comme justement j’aime bien être content, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes musicaux, assisté dans ce bonheur intégral par un iPad Pro 12’9, à l’époque le premier de la série.

Je dois même dire que l’article sur forScore est celui qui continue à être le plus lu chaque jour (en dehors des derniers articles du mois) et qui m’a rapporté le plus de visiteurs à ce jour.

Et puis un jour à marquer d’une pierre blanche, c’était il y a un peu plus d’un an, un lecteur, mais je ne me rappelle plus lequel, je suis vraiment désolé, je ne peux pas le remercier nommément ici, m’a fait comprendre qu’il existait un autre logiciel étonnant dans le domaine de la lecture de partition: Newzik.

MAJ du jeudi matin 6 février: c’était Ritchie, le lecteur en question; Ritchie, je me prosterne devant toi, tu as changé ma vie!

Au départ, je n’y ai pas cru, mais je suis allé voir tout de même.

Et là, badabam, j’ai compris au bout de quelques minutes que j’allais lire mes partitions sur un nouveau logiciel, et abandonner lâchement forScore.

Newzik, c’est quoi?

Permettez, je vais laisser les responsables de cette application française (application… c’est bien plus que cela en fait) expliquer leur vision que vous retrouverez sur leur site:

L’aventure Newzik a commencé avec une équipe de musiciens passionnés qui se sont réunis autour d’un même constat: aujourd’hui, les orchestres ne tirent aucun avantage des avancées technologiques liées à la révolution numérique.

Passer de la partition papier à la partition numérique leur ferait pourtant gagner un temps précieux, et une énergie qui l’est tout autant. Finies, les longues journées passées par les bibliothécaires à recopier à la main les coups d’archet sur les partitions de chaque violoniste. Finies, les partitions à moitié effacées ou plus à jour. Fini, le stress au moment de tourner la page. Finies, les valises remplies de partitions avec lesquelles les chefs d’orchestre voyagent quotidiennement.

Ces cinq dernières années, chez Newzik, nous avons travaillé d’arrache-pied pour écouter et comprendre au mieux les besoins des orchestres et des musiciens, suivant un seul et même objectif: concevoir un outil efficace qui dépasse les limites imposées par la partition papier, tout en conservant tous ses avantages.

Le temps est venu pour les orchestres de rejoindre la révolution digitale. Cette transition inévitable doit se faire consciencieusement, en prenant en compte les besoins spécifiques de chaque orchestre.

Un système complet pour orchestre

Newzik est d’une part un système complet de partitions pour un orchestre, qui peut aller de l’achat ou de la location d’un jeu de partitions avec location ou achat des iPad, avec tout ce que cela comporte comme avantages comme les annotations du chef de partie qui se reportent sur toutes les partitions de cette dernière, l’accès du chef à n’importe quelle partie séparée de la partition.

À noter que, dans son pack pour orchestre, Newzik a même testé le prototype d’un écran géant relié à l’iPad qui lui permet de suivre sa partition dans un confort inimaginable avec du papier

L’anecdote donnée sur le site de Newzik est rigolote à propos du chef, Laurent Petitgirard qui, après avoir testé ce prototype d’écran géant, a réagi ainsi:

« Faites-moi disparaître ces choses infâmes! », nous demandera-t-il après quelques minutes d’essai, en désignant ses partitions papier…

Cela dit, cet écran n’est pas disponible, comme je l’ai écrit plus haut, il s’agit d’un prototype.

En revanche, Newzik a développé un système, depuis les réglages généraux de l’application qui s’appelle « Affichage personnalisé », qui permet de prendre un grand écran et de voir du double page en miroir d’un iPad relié à un câble HDMI ou autre, même s’il n’y a qu’une page depuis l’iPad.

Lorsque le chef demande à ses musiciens de reprendre à la mesure 87, cela peut prendre parfois un certain temps. Là, avec Newzik, il touche la mesure 87 et tous les iPad de l’orchestre l’affichent instantanément.

Et les références en la matière deviennent nombreuses puisque plusieurs grands orchestres se sont affiliés à Newzik comme le Wiener Staatsoper par exemple.

Dans l’idée du travail de groupe, Newzik dispose d’un mode Band dans lequel le « conducteur » peut tourner les pages pour tout le groupe de « suiveurs » qui est utilisé en particulier dans les écoles ou par certains quatuors puisqu’il est indipsensable dans cette configuration de travailler avec une partition complète dans laquelle tout le monde change de page au même endroit.

 

Newzik est également magnifique pour les musiciens individuels

Vous avez pu lire plus haut que Newzik est un système complet pour orchestre, mais il est parfait également pour tout musicien qui désire simplement travailler ses partitions à la maison ou qui joue dans un ensemble qui n’est pas géré complètement par la plateforme.

Simplement, au lieu de prendre des partitions papier, on prend son iPad et l’on pourra très bien se retrouver à côté d’un autre musicien avec des partitions papier.

C’est en fait ce que je vis pour l’instant, vous me permettrez donc de développer un peu plus ce côté « pour musicien individuel » de l’application.

Newzik fait a priori un peu la même chose que forScore: il vous permet de lire vos partitions, de tourner les pages avec une pédale Bluetooth, de les annoter avec un stylet, voire, mieux, avec un Apple Pencil, et tout cela, si possible, sur un iPad Pro de n’importe quelle génération, mais si possible d’une diagonale d’écran de 12’9 (il y en a deux) pour plus de confort.

Bon!

« Ben alors, pourquoi vous changez, Monsieur Cuneo, si l’application fait un peu la même chose que forScore que vous appréciez tant? » allez-vous me demander (et je constate que depuis l’article sur la course à pied dans lequel je vous tançais quelque peu à propos de votre familiarité à mon égard, vous faites des progrès, vous ne me tutoyez plus, c’est bien).

Pour différentes raisons que je vais vous expliquer maintenant.

Vous ne perdrez plus jamais vos partitions avec Newzik!

Newzik, c’est une application, mais c’est également une plateforme sur laquelle vous enregistrez vos partitions.

Le petit nuage avec un Vu vert montre que toutes vos partitions sont bien synchronisées.

Ce qui est formidable, c’est que ces dernières sont synchronisées en temps réel au fur et à mesure que vous les annotez, et ce dans votre bibliothèque qui se retrouvera sur tous vos iPad ou iPhone.

Cela m’est arrivé au moins deux fois: je me retrouve à un endroit en ayant oublié mon iPad Pro, avec bien sûr toutes mes partitions sur ce dernier.

Je trouve un autre iPad (que j’emprunte, je n’en ai pas tant que ça hein, ne croyez pas…), je charge l’application, je me connecte à la plateforme et bam (sans « bada » devant ce coup-ci, pour éviter les répétitions), mes partitions sont synchronisées sur la nouvelle machine, avec, bien sûr (enfin, bien sûr, non, justement, pas bien sûr, c’est ça qui est génial), toutes mes partitions, mes annotations, mes listes de lecture (voir plus bas) et tous mes différents réglages.

Je n’ai absolument plus à me soucier de sauvegarder mes partitions: elles seront, quoi qu’il arrive, récupérables en un clin d’œil sur une nouvelle machine.

Rien que cela, c’est formidable et ça m’aurait déjà fait abandonner forScore pour Newzik.

Une bibliothèque pour tout faire

Comme je viens de vous le dire, votre bibliothèque est synchronisée entre vos différentes machines.

Cette bibliothèque peut être classée selon le titre des morceaux ou le nom de leur compositeur.

À noter que sur ce point, Newzik va moins loin que forScore qui lui ajoute des mots-clés, styles, étiquettes, cotes, niveaux de difficulté, durées et clés comme critères.

Cela dit, je crois que je n’ai jamais complété ces critères dans forScore, alors… Mais bon, qui peut le plus peut le moins comme on dit, ce serait tout de même pas mal que quelques critères de plus puissent être entrés dans la bibliothèque, souhaitons que ça arrive un jour.

Vous pouvez importer des morceaux de multiples manières, y compris avec l’appareil de photo de votre téléphone, voyez plutôt:

Vous voyez que deux éditeurs de partitions numériques sont intégrés directement dans Newzik, à savoir Universal Edition et Donemus.

Il faut espérer que ce ne soit qu’un début. En effet, Universal Edition ne fournit pas beaucoup de partitions pour le violon puisque c’est lui qui m’intéresse (aucune partition de Bach par exemple), et Donemus est tourné sur la musique contemporaine qui ne m’intéresse pas, mais bon, hein, il n’y a pas que moi au monde, donc Donemus pourra satisfaire des orchestres ou des amateurs de ce genre de musique.

Bien d’autres éditeurs vont avoir l’honneur de s’intégrer dans Newzik prochainement, le tout est de savoir où ils en seront au moment de leur intégration en matière d’offre pour les partitions numériques… Mais on avance, on avance!

À noter qu’IMSLP n’est pas intégré à l’application, ce qui s’explique assez facilement par le fait que les éditeurs vendant des partitions ne doivent être d’accord de s’intégrer à Newzik que si le fournisseur de partitions libres n’est pas de la partie. C’est tout de même un peu dommage.

Vous avez vu, si vous avez été attentifs en regardant la figure précédente, que vous pouvez également partir d’une feuille blanche ou d’une page avec des portées (non paramétrables), en mode paysage ou portrait.

Enfin, un mode « Texte et paroles » est également de la partie, plus particulièrement pour les chanteurs s’accompagnant à la guitare ou au piano.

Une ligne est dédiée aux accords, l’autre aux paroles. Lorsque vous cliquez sur un accord, ce dernier est visualisé sur un manche de guitare, en bas de la page, et vous pouvez même transposer le morceau comme bon vous semble.

 

Des Setlists

Ce que j’apprécie aussi au plus haut point sur Newzik, c’est sa gestion des Setlists.

J’en ai une pour mes cours, une pour mes méthodes, une pour mon quatuor, une pour…

Je glisse mes morceaux dedans, sachant qu’ils peuvent très bien appartenir à plusieurs Setlists.

C’est génial par exemple pour un musicien qui joue dans plusieurs formations.

Ou pour créer des programmes différents puisque vous pouvez réordonner les morceaux avec un facilité déconcertante.

De plus, vous retrouvez les morceaux à la page où vous les avez laissés. Ce système est bien plus pratique que les onglets de forScore qui eux aussi le permettent, mais qui ne sont pas faciles à gérer.

Là, c’est tout simple, intuitif.

Superbe.

De plus, les Setlists peuvent être collaboratives, mais dans ce cas, elles sont désormais remplacées par les Projets, dont je parle plus bas.

Les morceaux

En ce qui me concerne, un morceau est une partition, mais vous pouvez très bien mettre plusieurs partitions dans un même morceau: par exemple si vous avez les trois mouvements d’un concerto séparés, vous pouvez les réunir au sein d’un même morceau.

À noter que les PDF (d’autres fichiers peuvent être importés comme les MusicXML) peuvent être réorganisés sans problème.

Une gestion poussée de MusicXML

Aïe aïe aïe, je déteste parler de ce que je ne connais pas… Bon je me suis un peu renseigné, ce genre de fichiers sera très utiles aux écoles, aux compositeurs qui pourront à partir de leurs logiciels de composition sortir des partitions impeccables lisibles par tous les programmes de lecture puisque ce format est devenu un standard, format qui permet entre autres de transposer des morceaux ou de les faire jouer par des machines (un peu comme le mdi), et couper par exemple un instrument pour jouer à sa place.

Sachez simplement que Newzik les gère parfaitement et qu’un gros travail a été fait, notamment dans la dernière version du logiciel pour donner, semble-t-il, un grand confort aux utilisateurs dans le scroll automatique de la partition qui s’effectue une portée avant la fin de la page.

Je dois vous dire que, honte à moi, je n’utilise pas ce format et je n’ai pas pu le tester. Il faut dire que, si j’ai bien compris, mais peut-être que je me trompe, MusicXML n’est pas vraiment un plus pour un violoniste.

Si vous voulez tout savoir sur ce format, c’est ici qu’il faut aller.

Moi, j’utilise toujours le bon vieux format PDF.

Et puisque nous parlons de tourner les pages (ça a toujours été ma hantise avec des partitions en papier) eh bien Newzik vous permet de le faire de différentes manières:

En ce qui me concerne, j’ai choisi la méthode « avec pédale Bluetooth », vraiment pratique, sauf quand je vise la pédale de gauche plutôt que celle de droite (la gauche fait reculer d’une page, la droite fait avancer d’une page) ce qui me fait gentiment paniquer.

À ce propos, le site de Newzik passe en revue les différentes pédales existantes à ce jour: c’est très intéressant et c’est ici.

Vous pouvez également intégrer des marque-pages ou des sauts.

À noter qu’au moment où j’écris ces lignes, les sauts ne sont pas gérés par la pédale Bluetooth, mais Newzik travaille sur cette fonction à venir.

La création d’un marque-page

 

Et l’utilisation des marque-pages

Les Projets

Newzik intègre également la notion de Projets qui intéressera par exemple un orchestre pour y grouper tout ce qui concerne le travail sur un concert.

Les Projets sont les setlists collaboratives que j’ai décrites plus haut justement et améliorées. On peut y voir la liste des membres partageant ce projet (c’est vraiment top très bien pensé!) et partager en temps réel les annotations et fichiers. C’est beaucoup utilisé dans les sections (partage de coups d’archet), dans les écoles ou dans de la musique moderne où on charge des nouvelles versions.

Les Projets sont une des différenciations clés de Newzik avec les autres applications.

Mais je n’ai pas testé la chose, je dois bien l’avouer travaillant la plupart du temps seul.

Annoter ses partitions

L’annotation des partitions est tout à fait complète, avec une barre d’outils déplaçable pour accéder à la première portée.

Vous pouvez tout utiliser, le doigt, un stylet, le nez, mais l’idéal est d’utiliser un Apple Pencil puisque le programme passera en mode « Annotations » automatiquement lorsque vous taperez avec lui sur l’écran.

Le double tapotement du stylet d’Apple est pris en compte et vous permet de passer sans difficulté de la gomme au crayon et inversement.

De plus, la barre d’état de l’iPad dont j’ai parlé ici peut être masquée (c’est d’ailleurs le cas de forScore désormais aussi).

Tout parfait dans ce domaine (aussi).

Redresser et recadrer ses partitions

Tout est prévu pour redresser et recadrer les partitions, page par page, pour toute la partition ou pages impaires et paires (séparément).

Une grille apparaît pendant le recadrage pour vous aider dans ce travail.

Synchronisez vos PDF avec les fichiers audio

Newzik vous permet d’importer des fichiers audio et même des films YouTube à l’intérieur d’un morceau.

C’est déjà une bonne chose, mais ce qui est encore plus fort, c’est que vous pouvez passer en mode « synchronisation », écouter une première fois le morceau, tourner les pages lorsque c’est le moment de le faire par rapport à votre écoute.

Dès la prochaine écoute, Newzik tournera les pages tout seul.

Si vous êtes attentifs, vous voyez dans la figure ci-dessus les petits traits verticaux sur la barre de durée du morceau. Ce sont les endroits où les pages vont se tourner.

Mieux, vous pouvez ralentir ou accélérer le morceau, voir modifier sa tonalité.

Un tutoriel sur ce sujet est donné ici en anglais (c’est une des seules choses qui n’est pas encore traduite en français, à l’heure où j’écris ces lignes).

Un mode Performance tout à fait indispensable

En concert, une mauvaise manipulation peut tourner au drame.

Newzik vous propose un mode Perfomance qui bloque l’iPad en mode page, et les seules que vous pouvez encore faire, c’est tourner les pages.

Cela dit, il vous faudra faire attention tout de même: pensez à couper les notifications et la dictée vocale Siri, Aurélia Azoulay-Guetta, co-fondatrice de Newzik me racontait qu’en concert, Siri s’est déclenché en croyant que quelqu’un lui disait « Dis Siri ». Imaginez l’écran noir avec la petite vague au moment fatidique… la criiiise!

Deux autres phénomènes peuvent intervenir: les annonces d’une mise à jour ou de batterie faible. Si elles apparaissent, vous ne pouvez rien faire avant d’avoir cliqué sur OK.

Donc, pensez à avoir un iPad à jour et bien chargé.

Une aide en français, parfaitement réalisée

L’aide de Newzik justement, puisqu’on en parle, est en français, et c’est tout de même bien sympathique et… reposant ce d’autant plus qu’elle est très bien faite, organisée en sections, dans un vocabulaire parfaitement compréhensible de tous.

Oui, je sais, ça devrait être la moindre des choses, et pourtant, c’est fort rare, j’en suis d’autant plus reconnaissant à Newzik qui a pris du temps pour réaliser au mieux cet élément importantissime pourtant si souvent négligé par les éditeurs de programmes, par manque de temps ou d’argent.

Ici, rien à dire, c’est parfait, merci Newzik.

Alors, pourquoi finalement Newzik plutôt que forScore

Comme je l’ai écrit plus haut, rien que la synchronisation avec la plateforme de Newzik est une raison pour moi de choisir ce logiciel plutôt que forScore.

Mais il y a autre chose: tout est plus fluide pour moi sur Newzik, plus simple, plus clair, alors que le logiciel est tout aussi puissant que forScore voire le dépasse sur bien des points.

Cela vient peut-être de l’aide en français, mais ce n’est pas que cela: Newzik est arrivé bien après forScore: bien évidemment, il a pu partir de zéro en bénéficiant de l’expérience des logiciels existants dans le domaine de la lecture de partitions.

De même, au vu des visées de Newzik, à savoir équiper le plus d’orchestres possibles avec leur système, l’équipe qui travaille sur le concept est importante, avec des conseillers musicaux ce qui explique certainement le côté « évidence » de ce logiciel quand il s’agit de le mettre en pratique.

Le modèle économique de Newzik

Newzik est un programme gratuit tant que vous n’avez pas téléchargé 15 partitions ou (et) que vous n’utilisez pas les projets.

Dès que vous avez dépassé ce nombre ou (et) que vous voulez travailler avec un projet, vous devrez vous acquitter de la somme de 19.99 € par année, ou 2.99 € par mois. 

Les prix sont un petit peu différents en Suisse, 4.50 par mois ou 22 francs par année.

Cette somme couvre les frais d’infrastructure des réseaux et des mises à jour du programme.

Franchement, c’est bien la moindre des choses.

À savoir que ce mode économique a changé, et que tous les anciens acheteurs de Newzik sont Premium automatiquement, mais gratuitement, et à vie.

Si ce n’est pas correct, ça, alors il faut qu’on m’explique.

En conclusion

Newzik est un programme comme je les aime et qui m’émeut: beau, fluide, intelligent, sobre, efficace et tout à fait rassurant.

Il est pensé « musique » jusqu’au bout des ongles, c’est vraiment une petite merveille, je l’adore.

D’ailleurs, les musiciens ne s’y trompent pas. Après une expérience à l’Opéra de Rouen, une enquête a été menée auprès d’eux. Voici ce qui en ressort:

Vous regrettez qu’il ne soit disponible que sur du matériel Apple? Une application web permettra d’utiliser Newzik depuis n’import où. Mais chut, je n’ai pas le droit d’en dire plus, on m’a juste autorisé à vous montrer cette petite vidéo réalisée à l’interne ou presque. Pas mal, une Surface Pro, vous ne trouvez pas?

Vous imaginez bien qu’il reçoit immédiatement un gros Too Much Bô bien mérité, et il prend une sérieuse option pour le Too Much Bô logiciel de l’année 2020, même nous ne sommes qu’au mois de février.

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