Déjà, j’étais fan de la série quand j’étais jeune.
Et puis des films, plus foldingues les uns que les autres!
Certes, ce n’est pas du grand cinéma (quoique, dans le style, il y en a qui resteront mythiques), mais il faut bien admettre que j’adore ça.
Humour, cascades, technique de Geeks, scènes haletantes…
Tout y est dans chaque épisode.
Mais dans le dernier qui passe ces jours au cinéma, ils ont tout de même fait très fort.
À la recherche de trois charges d’Uranium perdues dans une première mission parce que le chef de l’IMF (Impossible Mission Force) a préféré sauver ses hommes qu’être sûr de ne pas les perdre, Tom Cruse (Ethan Hunt) et son équipe partent à leur recherche nous entraînant dans des poursuites moto, voiture et hélicoptère à couper le souffle.
Pendant un moment, sur la fin, Mme K est moi-même nous sommes pris la main, nous étions trempes… Et ce n’est pas notre genre pourtant (d’être trempe au cinéma donc, pas de nous prendre la main).
Je me suis tordu dans mon siège à plusieurs reprises, et pourtant, il en faut pour me mettre dans des états pareils.
Et puis, personnage très important de cet épisode, la ville de Paris, omniprésente et magnifique toile de fond de tous les exploits de l’IMF.
Une très belle réalisation signée Christopher McQuarrie qui fait un superbe travail dans le genre.
Alors bon, si la seule chose qui vous fait mousser en salle, c’est le cinéma intimiste, ce Mission Impossible-Fallout n’est pas pour vous, mais si vous êtes ouvert à tous les genres, pourvu qu’ils soient bien faits, je vous propose de vous laisser tenter.
Si vous l’acceptez, vous risquez de ne pas le regretter mais je nierai avoir été la source de ce visionnement.
Cet article devrait s’auto-détruire 5 secondes après sa lecture, mais je n’ai pas trouvé dans WordPress comment faire.