Depuis 2008, je n’ai raté qu’un Rock’n Poche et ce n’est pas cette année que je vais doubler mon manquement de 2009.
Et comme d’habitude, vous aurez droit à mes maaaaagnifiques photos lundi.
C’est toujours un plaisir d’avoir le droit d’être dans la fosse pour photographier à tout bout de champ les artistes qui viennent sur la scène du plus grand festival de Haute-Savoie du Monde, à Habère Poche, en pleine Vallée Verte.
C’est chouette également de pouvoir manger avec eux, dans les coulisses du festival, et de les voir autrement. Là, je n’arrive pas à les photographier, c’est leur espace privé, je me vois mal les déranger avec des photos. Mais bon, il arrive que parfois, je vole quelques-uns de ces moments.
Cette année, ce sera Canon 5D Mark IV, monté la plupart du temps avec le 70-200 f2.8 et puis, peut-être, le Canon 6D Mark 2 puisque l’on me donne la possibilité d’en tester un s’il arrive en ce vendredi. Je vais également utiliser le magnifique 85 mm f1.8 de Sigma, dont je vous parlerai un de ces quatre. Je me réjouis de voir comment le Canon 5D va se comporter avec des éclairages de grande scène, après ma petite déception du Festiboc (éclairage de petite scène, projecteurs LED trop proches des musiciens).
Et puis… Laurent m’a dit l’autre jour avec un petit sourire qu’il va assigner des missions aux photographes officiels.
Je crains un peu.
Le cadre de ce festival est superbe, l’ambiance pour le moins festive, et l’organisation sans faille, chapeautée depuis des années par Ludivine et son mari, Laurent Vera, avec l’aide de tous ces bénévoles qui font que ce festival est possible depuis 25 ans.
Habère-Poche, c’est à deux pas de Genève, un tout petit peu plus de Lausanne, pour les Suisses. Aucune raison de ne pas venir donc, même un soir.
En ce qui concerne la programmation, comme d’habitude, il y a très peu de groupes que je connais, n’étant pas un grand frappadingue de rock français, qui est l’une des spécialités de ce festival, mais j’y découvre à chaque fois des artistes que j’écoute encore bien des années plus tard.
Ce sera certainement encore le cas cette année, je n’en doute pas.
Je crois savoir qu’un certain nombre de lecteurs de l’ancien Cuk et de ce blog se retrouveront là-haut cette année.
Ça va être sympa.
Et… n’oubliez pas vos tampons auriculaires, parce que ça cogne fort, par là-bas en haut!