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Peakto travaille main dans la main avec ON1 Photo Raw

ON1 Photo Raw et Peakto,Peakto et intégration des logiciels

S’il y a un logiciel qui m’intéresse, ces jours, en ce qui concerne l’édition de mes photos, c’est bien ON1 Photo Raw qui est en pleine mutation vers la version 2024.

Cette dernière devrait sortir ces prochains jours, je vous en reparlerai en détail dès que j’aurais eu le temps et la possibilité d’en faire le tour.

Oui mais voilà!

Je développe mes images avec DxO PhotoLab 7, testé ici.

Parfois, mais c’est de plus en plus rare, avec Lightroom (même la toute nouvelle version 2023 sortie cette semaine est très décevante, elle n’apporte rien de ce que j’attendais depuis… des années).

Je m’amuse de temps en temps (mais jamais sérieusement, ce qui est d’ailleurs le propre de s’amuser) avec Luminar NEO, et je regarde de plus en plus ce que propose ON1 Photo Raw 2023.5 et son intelligence artificielle qui fait des miracles, tout cela sans compter mes photos d’iPhone sur Photomator ou Photos d’Apple.

Alors bon, comment faire pour m’y retrouver?

Mais allez, vous connaissez la réponse, depuis que j’en parle!

La solution, c’est encore et toujours Peakto.

Après l’intégration de DxO PhotoLab dernièrement, dont j’ai parlé ici, voici que Peakto nous offre l’intégration de ON1 2023, et de la version 2024 dès qu’elle sera sortie, j’ai hâââte, comme vous dites en France.

Je me réjouis, comme on dit chez nous.

Cette intégration d’ON1 dans Peakto est exactement pareille à celle de DxO, puisque vous avez trois manières de faire.

Créer la source, avant toute chose

D’abord, dans les trois situations, il vous faut créer une intégration ON1 dans Peakto, ce qui est simplisme, en indiquant le dossier qui reçoit ses images et qui sera surveillé par Peakto.

Première solution, l’édition des photos dans ON1 directement

Vous pouvez travailler normalement dans ON1, comme vous le faites d’habitude, et ce dernier, une fois les RAWs édités, crée pour chacun un fichier sidecar (un tout petit fichier texte créé par les logiciels d’édition photos qui lui permet d’appliquer vos modifications à la volée sur le fichier RAW, ce qui explique que ce dernier n’est jamais touché) juste à leur côté.

Un fichier RAW, le .NEF de chez Nikon, le sidecar DxO (.dop), le sidecar ON1 (.on1) et celui de Lightroom (.xmp). Remarquez comme les sidecars ne pèsent presque rien.

ON1 crée également un aperçu de très bonne qualité, je ne sais pas où: ben oui, je ne suis pas Dieu, je ne sais pas tout, malgré ma recherche de perfection avancée dont vous êtes témoins chaque jour, vous qui lisez ce blog.

Peakto fait le tour de ces fichiers sidecars et sait si l’image a été modifiée ou pas depuis son dernier passage. Si c’est le cas, il charge l’aperçu et l’intègre à la source que vous venez de créer.

Pour ça, vous n’avez rien à faire, vous laissez Peakto effectuer le travail pour vous de surveillance de vos éditions dans ON1, exactement comme il peut le faire pour DxO PhotoLab.

C’est même encore mieux que pour DxO puisque les aperçus d’ON1 sont de très bonne qualité, ce qui n’est pas le cas de ceux de DxO qui imposent, si l’on veut profiter de toutes les améliorations apportées par ce logiciel, un export en JPEG repris à l’aide du sidecar de ce dernier (qui donne le chemin de l’export, je sais, c’est compliqué à expliquer) par Peakto.

Le catalogage de Peakto est donc encore plus simple dans les faits qu’avec ON1.

Deuxième solution: utiliser le nouvel espace de travail

Deuxième solution: vous êtes sur Peakto, vous voyez dans la source Lightroom (par exemple) une image qui vous plaît mais à laquelle vous voulez faire profiter des bienfaits d’ON1.

Toujours dans Peakto, vous la glissez la vignette de l’image sur le dossier de travail de ON1: résultat, ce dernier ouvre l’image et vous permet de la traiter.

Autre possibilité pour un même résultat, choisir un clic droit et ouvrir l’image dans l’espace de travail à partir de la commande ci-dessous:

Une fois ceci fait, l’image sera automatiquement ajoutée à la source ON1, en plus de l’être dans la source Lightroom.

Troisième solution: Ouvrir avec ON1

Troisième solution, vous faites un clic droit sur une image du catalogue Peakto, et vous demandez Ouvrir avec ON1.

Vous la travaillez dans ON1, vous validez la modification, et vous la voyez corrigée dans Peakto.

Bon, je mets un très léger bémol à cette édition des images depuis Peakto, solution 2 et 3, puisqu’un bug de la version 2023 d’ON1 impose la création d’un fichier supplémentaire après édition, fichier que l’on peut supprimer après coup. Le format proposé est un PSD extrêmement lourd, mais on peut simplement créer un JPEG de la pire des qualités, et détruire ensuite ce ficher PSD ou JPEG puisque, je l’ai dit, il ne sert à rien.

Ce fichier n’est pas créé si l’on travaille directement dans ON1, et qu’on laisse faire ensuite Peakto dans sa surveillance (première solution).

Espérons que la version 2024 réglera la chose, CYME a remonté le problème à ON1.

En conclusion

Que vous utilisez un moyen ou un autre, vous bénéficiez désormais dans Peakto de la puissance de ON1 Photo Raw, en plus de celle de tous les logiciels soutenus par l’éditeur CYME.

Ça commence à en faire, du monde intégré, dans Peakto!

Tiens, au fait, Peakto est déjà compatible avec les nouveaux catalogues de Lightroom 2023, moyennant simplement un renommage des fichiers de ce dernier (tout est expliqué ici).

Et bien sûr, vous bénéficiez des bienfaits de Peakto dont je vous ai si souvent parlé, notamment la recherche par prompts, les mots-clés automatiques, le mode panorama qui vous permet de regarder vos images avec l’aide de l’AI par thèmes, et tant d’autres choses.

Elle n’est pas belle, la vie?

Pour Peakto, tout ce que vous devez savoir, c’est ici chez moi (attention, il y a à lire, c’est plusieurs articles), et là chez CYME.

Pour ON1, en attendant mon test, eh bien c’est là.

Il est évident que Peakto garde son Too Much Bô.

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