Nom d’une pipe, vous allez croire que je suis tombé de la dernière pluie, et que oui, bon, je vous parle photo plus souvent qu’à mon tour, et qu’en fait, je n’y connais rien.
Il faut que je vous dise un truc, oui, il faut que je vous l’avoue, depuis toutes ces années, je n’ai jamais, au grand jamais, compris à quoi servait le bouton AF-ON à l’arrière de nos appareils.
Petit rappel du fonctionnement des autofocus
Jusqu’à présent, j’appuyais, comme tout le monde, sur le déclencheur à mi-course qui activait le mode autofocus que j’avais choisi, à savoir, et à choix:
- la mise au point en continu sans avoir besoin de recadrer, le système piloté désormais par l’AI se chargeant de retrouver dans ma visée le sujet, les yeux ou un véhicule de manière de plus en plus efficace
- la mise au point ponctuelle, c’est-à-dire que je vise sur un collimateur que j’ai choisi l’objet à mettre au point, je garde le bouton enfoncé, toujours à mi-course, et je recadre.
Oui, bon, bien sûr, je savais qu’en appuyant sur ce bouton AF-ON, je faisais une mise mais à quoi bon, puisqu’en appuyant à mi-course sur le déclencheur, j’arrivais à faire tout pareil, et qu’il me suffisait d’enfoncer un peu plus le déclencheur pour que la photo soit prise bien nette là où je le voulais.
Eh bien, ma vie a changé depuis que j’ai vu ce film proposé par Pierre T Lambert:
Table des matières
La technique du Back Button Focus
Il présente une technique, justement basée sur le bouton AF-ON de nos boîtiers chéris, appelé BBF, à savoir Back Button Focus, ou si vous préférez, parce que purée, on cause français par ici, la mise au point par le bouton arrière de l’appareil.
En gros, si vous n’avez pas le temps de regarder ce film, Pierre T Lambert vous explique qu’en découplant la mise au point du déclencheur et en la déplaçant vers le bouton AF-ON, vous pouvez arrêter de choisir entre la méthode de mise au point dite AF-Ponctuel qui permet de mettre au point une fois et de recadrer par la suite, et la méthode de mise au point dite AF-Continu, qui met au point en permanence le sujet quand il bouge.
En effet, plus besoin de passer par les menus plus ou moins compliqués pour choisir cette différence de méthode, vous le faites à la volée!
Et comment ça fonctionne?
Eh bien:
- soit en appuyant sur le bouton AF-ON une fois ou un temps donné puis relâchement dudit bouton pour l’équivalent de AF-Ponctuel, ensuite, on recadre au besoin, et on appuie sur le déclencheur à fond, sans que la mise au point ne soit changée
- ou alors, en gardant le bouton enfoncé pour l’équivalent de l’AF Continu tout en pressant, le moment voulu, sur le déclencheur.
Et ça, vous voyez, c’est tellement simple et efficace, que je ne comprends même pas comment je suis passé à côté pendant toutes ces années.
Bien sûr, il vous faudra faire deux petits réglages sur votre boîtier, à savoir désactiver la mise au point par le déclencheur, et éventuellement, si vous l’aviez changé auparavant (ce que j’avais fait, ne voyant pas l’avantage de ce bouton, comme je l’ai expliqué plus haut), affecter le bouton AF-ON à la mise au point, ce qui simplifie d’ailleurs la compréhension de ce que va faire ce bouton, on est bien d’accord.
Ensuite, vous mettez votre appareil en mode AF-Continu, et vous ne changez plus rien.
Je le répète: vous appuyez sur le bouton AF-ON une fois pour faire la mise au point, et quand vous le relâchez, celle-ci ne bouge plus, et vous pouvez recadrer comme bon vous semble, ou alors, vous appuyez en continu sur le bouton AF-ON, et vous êtes en mode AF-Continu jusqu’au déclenchement bien évidemment avec… le déclencheur.
Et comme ce bouton, sur les Nikon, mais aussi sur la plupart des marques, tombe naturellement sous le pouce, vous n’aurez aucun problème ergonomique, passer dans cette nouvelle manière de faire se fera en un clin d’œil, au pire en quelques jours.
En conclusion
En tout cas moi, le moins que l’on puisse dire, c’est que je suis convaincu par cette méthode, nouvelle pour moi, alors que j’ai pratiqué pendant presque 40 ans (je crois que mon premier appareil doté d’autofocus est le a-7000 de chez Minolta, sorti en 1985) la mise au point par le déclencheur à mi-course.
Cette nouvelle manière de faire correspond à toutes les situations que j’ai rencontrées depuis que je fais ma mise au point sur le bouton AF-ON.
Allez, essayez, vous verrez, vous risquez bien d’y trouver, vous aussi, votre compte.
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Salut, François,
Des années que j’utilise cette méthode quand je fais des panoramas (notamment de montagnes) où il s’agit d’assembler plusieurs photos. Cela a l’avantage de garder le même réglage, alors que le déclencheur recalcule à chaque image, avec parfois des différences…
Hello JD,
Mais alors, tu changes le réglage dont je parle en fin d’article après chaque panorama?
Pourquoi ne gardes-tu pas cet AF-ON pour tout, il y a une raison?
Par pure flemme, et désir de rester en terrain connu.
Te fatigue pas, le Cuk: le monde est flou! 😆
Tu parles d’une decouverte ! Au fait la terre est ronde 😩
Je l’ai écrit en début d’article, je veux bien croire que la chose est connue, mais j’imagine pas tant que ça.
La plupart des gens que je connais n’utilisent pas cette méthode et ne savaient pas plus que moi pourquoi ce bouton AF-ON existait en plus du déclenchement à mi-course du déclencheur.
Et je lis des articles dans des journaux photos depuis des dizaines d’années, personne n’en a parlé, à ma connaissance.
Il a fallu ce film, pour moi.
Tiens, d’ailleurs, ce film n’a pas été monté pour rien!😀
Salut François,
Il me semble, que lors de la sortie du Z8 ou du Z9, tu nous as mis un lien vers le site Nikon qui montrait le fonctionnement de ces merveilleux appareils. Et bien, je te le donne, dans un de ces tutos l’usage du AF-ON est abordé.
Je suis curieux de savoir combien utilisent cette méthode, en ce qui me concerne, depuis des années.
Je pense que ceux qui utilisent sérieusement ces boitiers qui coutent plusieurs milliers d’euros connaissent et utilisent cette méthode et je crois qu’ils sont majoritaires. Pour les autres, ils utilisent également sérieusement leur boitier mais soit ils ne sont pas convaincus de l’efficacité, soit ils sont passés à côté. Mais il n’est jamais trop tard.
Oui, c’était vers la chaîne Youtube de Nikon.
Cela dit, la vidéo a peut-être été ajoutée à la chaîne, en tout cas, je ne l’avais pas vue, et je ne l’ai d’ailleurs pas retrouvée.
Le conseil doit être donné dans une des vidéos présentes, mais je ne sais pas laquelle.
Faudra que je les regarde toutes à nouveau, de toute manière, ça ne fait pas de mal.
Et je suis aussi curieux de savoir qui, parmi nos amis lecteurs photographes amateurs ou professionnels, utilise ces réglages.
Je ne sais plus où – DPR ? – j’avais lu un article sur cette méthode. Je l’ai utilisé sur mon 5D Mk III.
Un petit séjour en atelier, pour rattacher le miroir qui partait en sucette, a fait que le boitier est revenu aux réglages usine supprimant cet usage de AF-ON.
Je n’y suis pas revenu.
Ç a ne me manque pas
Bon bon… un petit nouvel essai, pour voir?😀
Sans dénigrer l’AF-ON, je suis satisfait du fonctionnement usine.
Affaire d’habitude sans doute ?
Je connais l’usage de ce bouton ainsi que l’usage du déclencheur à mi-course pour faire la mise au point automatiquement, mais je n’utilise ni l’un ni l’autre : je fais la mise au point manuellement ! Je ne peux pas faire autrement, je veux choisir moi-même la mise au point, c’est visceral… Je suis rétrograde, tant pis.
Et c’est là que le stigmomètre nous manque…
Dès que je l’ai eu, j’ai changé le verre dépoli de mon D850 pour un verre dépoli de visée avec télémètre de Dodin ! Idéal pour moi !
Évidemment impossible sur un hybride !!!
Voir là :
Stigmomètre
Le système du Focus Peaking sur les hybrides permet une mise au point très précise avec les objectifs manuels (ou les objectifs actuels, pour peu que la bague de mise au point soit fluide et précise, ce qui n’est pas le cas de toutes, loin de là).
L’antique M3 familial a fait le bonheur de 3 générations de photographes, mais le télémètre a rendu l’âme il y a quelques années. La réparation s’élevant à près de 900€ (a l’époque !) j’ai préféré me tourner vers du LUMIX qui permettait justement de réutiliser ces objectifs avec l’interface d’une bague d’adaptation (une dizaine d’euros sur eBay). Bien entendu, impossible sur un reflex.
https://www.kentfaith.fr/KF06.173_bague-adaptateur-leica-m-objectif-pour-nikon-cam%C3%A9ra?srsltid=AfmBOooIWnFb_ETRoEKsKf6V4VymCDe3nEn5d19gsP3bX2dnmyuYQ6gU
Quand je lis l’apologie du stigmomètre en 2024 je suis croulé de rire. Je vois un pépère qui dégaine son appareil pendu autour du cou, qui vise et se rend compte qu’il y a encore le bouchon d’objectif.
C’est là que l’on voit qu’il y a vraiment toute sorte de besoin en photographie…
Oui le stigmomètre est probablement le moyen d’avoir la mise au point la plus précise quand tout est arrêté!. Mais quand on fait des sujets qui bougent, c’est nullisime! Déjà dans les années 70 je mettais un dépoli, c’est moins précis mais c’est ça permet de travailler rapidement quand ça bouge!
Et concernant les hybrides, il y des aides à la mise au point avec des objectifs manuels paramétrables d’une efficacité redoutable!
Oui, ben j’aimais bien le stigmomètre tout de même, il me convenait parfaitement.
Et il m’arrive de dégainer mon appareil avec le bouchon sur l’objectif, ne me dites pas que ça ne vous est jamais arrivé.
En ce qui me concerne, de toute manière, je n’utilise plus que l’autofocus.
J’étais passé, depuis mon Z9 (revendu contre un 2e Z8) et mon premier Z8, à l’autofocus continu, tellement excellent, en mode 3D notamment.
Là, je peux profiter à la fois de ce mode, et de l’autofocus ponctuel, avec recadrage.
Trop bien.
Cher John,
je ne vois pas le rapport entre un stigmomètre et un pépère distrait. Votre raillerie, votre suffisance et votre mépris ne donnent pas de vous une image flatteuse.
Moi, la photo qui me passionne c’est celle qui requiert mon attention, mes quelques connaissances des règles fondamentales de cette technique et pas mal de patience. J’aime contrôler mes réglages manuellement, sans assistance de machines qui prennent des décisions à ma place. Un stigmomètre ne m’a jamais empêché de photographier des formules 1 roulant à 300 km/h.
Dans d’autres domaines, on utilise encore des appareils et des outils inventés il y a des siècles : le thermomètre pour mesurer les températures ou la matraque pour mater des émeutiers et que les hommes de Cromagnon connaissaient déjà.
Faites donc les photos qui vous plaisent et avec l’appareil qui vous convient le mieux, mais ne soyez pas pédant envers ceux qui pratiquent différemment. Merci pour eux.
Cher Daniel, désolé que vous vous êtes senti personnellement visé.
Effectivement, je me suis un peu emporté dans mon commentaire, tellement le stigmomètre n’a jamais été ma tasse de thé.
Avec mes excuses…
Et puisque l’on parle photo, j’ai visité cette très belle expo :
https://www.fonds-culturel-leclerc.fr/actualit%C3%A9s-d%C3%A9couvrez-l-exposition-henri-cartier-bresson-893-338-0-0.html
Merveilleux Cartier-Bresson !
Un exemple :
Très touchante exposition également à ST Malo autour de Lee Miller.
Le bouton AF-On, je l’ai utilisé depuis les années 80.
Puis quand j’ai commencé à faire des photos de spectacles de danse souvent en faible lumière, je n’avais pas le temps de faire la mise au point puis de cadrer. J’ai commencé à utiliser uniquement le joystick pour placer les collimateurs sur mon sujet principal au bon endroit dans le cadrage. C’est là aussi que pouvoir mémoriser l’emplacement des collimateur « format portrait ou paysage » est super efficace. Donc retour à l’AF sur le bouton de déclenchement…
Récemment les AF ont beaucoup évolué, maintenant le bouton AF-On, je l’attribue au suivi.
Bref chacun son truc en fonction des sujets à photographier…
Merci François pour l’article, je n’avais jamais compris ça non plus.
Daniel, dans mes bras ;o), depuis mon premier boîtier autofocus, le F4S, que j’ai eu en 1991, je n’ai jamais été satisfait de l’autofocus et préfère faire la MAP à la main, avec les Leica M, la question ne se pose pas…
J’utilise régulièrement un Olympus, tout comme un Nikon et encore les M,
c’est juste compliqué (impossible pour moi) de se souvenir de quel côté tourner la bague de MAP pour aller vers l’infini : c’est à l’opposé chez Nikon par rapport aux autres, mais c’est crucial avec l’optique que j’utilise le plus en atelier (pour faire des images de mes bricolages) : le magnifique 2,8/60 macro Olympus, sa course est super longue, ce qui assure une grande précision, mais du coup, quand je me trompe de sens, j’en ai pour un moment avant de trouver quelque chose de net 8^).
Je sais que c’est un réglage configurable dans les menus extrêmement touffus de chez Olympus (ce n’est pas une vraie bague de MAP, mais une bague qui commande un micro-moteur, comme, malheureusement à mon goût, toujours sur les optiques récentes), comme le sens de rotation et même l’attribution de la fonction des mollettes pouce et index, mais j’aime bien faire de la photographie le plus simplement possible et, bien que je lise les f…ing manuels pour avoir connaissance des fonctions proposées, je suis toujours en tout manuel, tant l’exposition que la MAP.
En macro, en petit format, de toute façon, quand on est sur des rapports de reproduction importants (à partir d’1/2), la bague de MAP ne set à rien : on choisis son rapport de reproduction et la mise au point se fait en approchant ou éloignant l’ensemble boîtier/objectif, en s’aidant d’un banc micrométrique pour le confort, c’est top, et surtout, on a le même rapport de reproduction pour toutes les images.
J’ai quand même récemment été bluffé par l’autofocus du Z6II en très faible lumière, pour les photos des festivaliers, le soir, au RN’P, même si je n’étais en général pas d’accord avec l’endroit où il faisait le point ;^).
Mais la MAP la plus simple, c’est quand même avec une chambre : tirage = focale et on est à l’infini; tirage = focale x 2 et on est au rapport un sur un avec perte d’un diaphragme. Et avec une monorail (la chambre de studio), on a la règle sur le rail, et une précision de mise au point redoutable, avec une bonne loupe sur le dépoli ;oP
Cher Zit, entièrement d’accord avec toi !
Personnellement, je n’ai qu’un 50mm sur le Nikon, faire le point est donc assez rapide. Je sais d’instinct dans quel sens tourner la bague idoine.
Une règle qu’il est bon de rappeler de temps à autre pour les gens qui font de la photo de rue (ou de choses qui bougent) : l’hyperfocale !
Pour ce qui concerne le sens de rotation des objectifs c’est effectivement problématique, il change d’une marque à l’autre, et peut être encore compliqué si l’on utilise des objectifs de marque tierce, qui ont aussi leur préférences. Moi je m’en fiche, je suis dyslexique 😉
Concernant les autofocus des appareils actuels, il ne pas croire la pub, vous pouvez avoir le modèle à 8000.- avec l’IA, le processeur à 120 calculs à la seconde, la détection de l’oeil du hanneton, si vous voulez attendre le presque 100 pour cent de résultats, c’est à vous de mettre le bon collimateur au bon endroit.
Et quand ça bouge, l’hyperfocale ne va pas trop pouvoir être utilisée en basse lumière avec une focale un bout plus longue qu’un 50mm…
J’espère ne pas être trop pédant cette fois 😉
Bref chacun a ses dada, spécialités et passions en photo, mais ça implique des pratique parfois diamétralement opposées.
Tout est dit :
Hello tout le monde, merci François pour ce petit rappel…
J’ai utilisé cette technique durant environ 10 ans à la fin des années 90, puis j’ai arrêté progressivement dans les années 2005 (je crois avec l’arrivée de l’EOS 5D).
Désormais je considère cette technique assez “obsolète et inutile” ; depuis environ 2018 / 2019 (depuis les AF performants des hybrides Nikon Z et Canon EOS R. Et peut-être même un peu avant avec l’AF des Sony A7).
Oui, en 2024 : les Autofocus récents sont devenus tellement performants, que vraiment cela ne sert plus à rien de s’encombrer avec cette technique… (qui me semblait pourtant indispensable en 1996 😉 Sauf rares exceptions…
C’est un peu comme utiliser un correcteur orthographique, alors que désormais tous les logiciels intègrent (plus ou moins) la fonction. Souvent on perd plus de temps que l’on en gagne, en compliquant les choses…
Hello Jean-François,
Oui, je sais, tu m’avais même proposé, il y a quelques années, de faire confiance à l’autofocus de l’appareil en photos de spectacle.
Mais c’était trop tôt.
Depuis que j’ai mes Nikon, c’est bon, je suis en AFC en permanence, profitant du génial mode 3D (on choisit le sujet avec un collimateur, on fait le point dessus et c’est parti, l’AFC effectue un travail incroyable).
J’adore ce mode, mais bon, il y a tout de même des fois où j’aimerais passer en mode ponctuel (sans doute ce que tu appelles “de rares exceptions”.
Comme l’AF-ON ne me dérange pas, je profite ainsi du meilleur des deux mondes.
Ca me fait plaisir de voir qu’autre photographe a le même avis que moi 😉
J’ajouterais qu’il faut absolument attribuer une autre fonction importante au bouton AF-ON car c’est le 2eme bouton le plus accessible après le déclencheur, aussi vrai pour les monoblocs en mode portrait.
Pour du spectacle, sport, photographie animalière, je mets le suivi.
Sur un autre bouton proche du déclencheur j’ai choisi d’appeler successivement un choix de maximum 4 sortes de collimateur sur les 14 proposés sur mon appareil.
Oui, après, je comprends que l’on utilise parfois certaine méthodes : non pas parcequ’elles sont “meilleures”…
Mais simplement car loin y est habitué. Et il fait savoir que passer du temps à changer ses habitudes (dans tous les domaines) est parfois très chronophage…
Et que gagner un peu de temps avec une nouvelle méthode, ne justifie pas toujours le changement de méthode.
C’est pour ça que : aux photographes qui utilisent ce bouton AF-ON, je dis continuez…
Et aux autres qui ne l’utilisent pas : je dis laissez tomber il n’en veut pas le coup… (en 2024, car nous ne sommes plus en 2004 😉