Festiboc 2019, les 14 et 15 juin 2019

Je vous ai déjà parlé deux fois du Festiboc ces dernières années, ce chouette petit festival réalisé par une équipe de bénévoles de Bofflens et leurs amis venus souvent d’ailleurs.

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Situé à Bofflens, sur la dernière place de village complètement herbée du canton de Vaud, ce festival porte son nom en relation avec ses habitants, à savoir les Bocanis.

Festiboc, vous avez compris? C’est bien, vous êtes rapides.

J’ai habité pendant 15 ans ce village et j’en garde un bon souvenir, ce qui me fait d’autant plus plaisir de le retrouver chaque année à l’occasion de ce festival décrit ainsi par ses géniteurs, sur son site:

Le Festiboc est né en 2014 dans le cadre d’une fête villageoise. Des Bocanis passionnés de musique avaient organisé une soirée de concerts pour l’occasion.

Au vu du succès rencontré, ils ont eu l’envie de prolonger l’aventure et d’organiser un festival open air chaque année, sur la très belle place du village de Bofflens.

Le Festiboc se déroule mi-juin, en open air et gratuit. Il est organisé sur deux jours, avec des concerts blues-rock, précédés le samedi en fin d’après-midi par des animations et un spectacle pour enfants.

Cette année, la programmation me fait plaisir, je vous laisse la découvrir sur la page dédiée du site du festival. Ah zut, je n’ai pas accès à la page directe, mais vous n’avez qu’à cliquer sur « Programmation » une fois que vous êtes sur la page d’accueil.

Ce que je peux dire, c’est que si vous aimez le blues, le rock, ou le blues-rock, vous allez y trouver votre compte!

Et si vous avez des enfants, un spectacle, toujours de qualité, est proposé le samedi en fin d’après-midi, dès 17 heures 30, mais venez plus tôt, le festival ouvre à 16 heures 30 si vous voulez que les petits soient bien placés…

Bref, je me réjouis d’aller y prendre des photos, puisque j’ai la chance d’y être photographe officiel, comme au Rock’n Poche, dont je vous parlerai dans quelques jours.

Allez, si vous n’habitez pas trop loin, venez, vous verrez, c’est gratuit, c’est convivial, et vous pourrez vous sustenter à des prix pour le moins familiaux, à la portée de toutes les bourses.

En plus, le son est toujours très bon (ce qui est assez rare pour le faire remarquer) et la musique devrait l’être tout autant.

Ah, si jamais, pour les photos de l’an passé, deuxième soirée, c’est ici.

J’avais expliqué en son temps pourquoi je n’ose pas vous montrer celles de la première (soirée donc)…

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Caplan
il y a 4 années

“Et vous pourrez vous sustenter à des prix pour le moins familiaux …En plus, le son est toujours très bon.” 5ce25165b62c4271998126ea.png

Jérôme31
Jérôme31
il y a 4 années

Un peu lojn pour moi…Je me souviens de l’article qui égratignait Canon. J’en connais un qui n’a pas dû être content ;-)Sinon j’ai une question : comment se prépare-t-on (et se renouvelle-t-on) pour des photos de concert ? Est-ce qu’on essaye d'”innover” (angle de vue, flou de bougé, anticipation du post-traitement,…) ou bien le but est de faire du standard (sans que ce soit péjoratif) ?

François Cuneo
François Cuneo
il y a 4 années

C’est vrai.Mais ne bouffez pas la place herbée, Bofflens tient à sa spécificité!

Daniel Pesch
il y a 4 années

Caplan, c’est comme les scouts : toujours prêt !L’à propos, c’est un don et Caplan, tu l’as… ! Bravo !

Micha
Micha
il y a 4 années

ouarf, j’ai bien ri, merci!

François Cuneo
François Cuneo
il y a 4 années

Zit qui était rédacteur sur Cuk et qui est photographe cherchait toujours de nouvelles techniques, des mouvements avec flash lent, des filtres, etc…Moi, le flou de bouger, je trouve que ça va un moment.Le but est de prendre des expressions, mais si c’est un peu net, c’est tout de même plutôt bien… Je trouve…

laurent
laurent
il y a 4 années

Vaste Sujet, voilà 20 ans que j’essaye de faire différend chaque année au RNP. Il faut reprendre les photos des années précédentes, voir ce que l’on a raté et pourquoi (technique, sujets cadrage….) et essayer de s’améliorer. On peut également décider d’un axe particulier pour une édition, la vie dans le public par exemple, ou utiliser exclusivement une focale, fish-eye, grand angle ou télé. La contrainte nous permet parfois de s’échapper de nos habitudes et de créer de nouvelles images que l’on n’aurait pas faites habituellement.

Bioteau Gérard
Bioteau Gérard
il y a 4 années

Je l’ai fait une soirée avec un 50mm, épuisant physiquement, ce n’est plus la focale qui bouge mais le photographe, ceci dit mes cadrages étaient plutôt réussis.

Jérôme31
Jérôme31
il y a 4 années

Oui, bien sûr, une photo nette avec du piqué, c’est bien, très bien. Je posais la question surtout par rapport aux multiples possibilités : les flous de bouger, les jeux de lumières et les forts contrastes, les angles de vue, etc. Sans compter les contraintes au niveau de l’appareil : faible lumière ou lumière aveuglante, montée en iso, Un vrai test pour les appareils (ce que fait d’ailleurs Steve Huff pour pousser les appareils qu’il teste)

Daniel Pesch
il y a 4 années

Je ne suis pas un spécialiste de cette question, mais il se trouve que j’ai eu l’occasion de participer à un workshop Nikon en mai de l’année dernière dont le sujet était la photo de concert. Pour l’occasion, Nikon France m’avait prêté un D850 avec un 50 mm, puisque c’était l’équipement dont j’allais me doter ensuite. C’était le premier contact que j’avais avec ce formidable appareil.Christophe, le formateur Nikon, qui photographie beaucoup de concerts depuis des années, nous a donné quelques conseils : aller vite, se déplacer, chercher des angles non conventionnels (pas simple…), essayer d’établir une connivence avec les musiciens,… C’est ce que j’ai essayé de faire. Nous avions le temps de trois morceaux, environ 10 à 12 minutes, pour faire au mieux. Les musiciens était le “Grupo Compay Segundo” dont le leader est le fils du célèbre Cubain.J’ai fait environ 100 photos ce soir-là, assez inégales. Voici les trois que j’ai choisies (cliquer dessus pour agrandir) :5ce46d303e511678b66a3eaa.jpg1/1000 sec – f/2.5 – 12 800 ISO5ce46d50d2ddfb5e208209e9.jpg 1/250 sec – f/2.5 – 12 800 ISO5ce46d70d912fceb22ee6a32.jpg1/600 sec – f/2.5 – 12 800 ISOLe bassiste est Salvador Repilado, le fils de Compay. Il n’a pas été facile de le photographier, car il jouait de profil, le regard porté vers le lointain de la scène et en me déplaçant vers la droite, l’énorme micro lui cachait le visage… Mais j’aime bien cette image quand même ! (Si je ne me complimente pas, qui le fera… !)

Daniel Pesch
il y a 4 années

Solution : mettre le collimateur hors service et mise au point manuelle ! Je me sers très rarement de la MPA.

Bioteau Gérard
Bioteau Gérard
il y a 4 années

Le piège du micro dans le collimateur qui fait que seul celui ci est net ?Le plaisir est de trouvé une certaine connivence avec l’artiste qui joue avec vous, ce qui n’arrive pas avec un gros télé ,ici on accroche au moins un beau sourire.

Bioteau Gérard
Bioteau Gérard
il y a 4 années

Après m’être fait piéger j’adopte la même approche.

Noisequik
il y a 4 années

Nikon D3500 kit 18-55mm à CHF 299.– chez Migros si jamais. Une superbe offre ! https://www.melectronics.ch/fr/p/793437900000/nikon-d3500-kit-af-p-dx-18-55-mm

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