Alors voilà!
J’ai installé DxO PhotoLab 4, sorti mercredi après-midi.
J’ai déjà tellement parlé de ce génial logiciel français qui a pour but d’améliorer la qualité de vos images, depuis tant d’années que je ne sais pas si ça vaut la peine de le représenter ici…
Quand je dis « tant d’années », le premier article dont j’ai retrouvé la trace sur Cuk, c’est celui-ci, qui date de juillet 2004.
Depuis cette époque, DxO est le meilleur « développeur de fichiers RAWs », la chose est reconnue par à peu près tous.
Il fut un temps où ce programme a été freiné dans son élan par une protection qui posait bien des problèmes à ses utilisateurs honnêtes, cela fait des années qu’il n’en est plus rien. Si vous restez sur ce souvenir douloureux, redonnez une chance à DxO, l’enregistrement du programme est depuis longtemps un modèle de ce qu’il faut faire.
DxO n’a cessé de s’améliorer pour rester toujours devant, avec succès, et a changé de nom il y a 3 ans en devant DXO PhotoLab.
Il intègre depuis trois ans une ébauche de catalogueur qui s’améliore à chaque version, mais ce n’est pas pour cela que ce logiciel est intéressant.
Ce sont ses fonctions de correction d’images qui sont à la pointe, et qui en font un incontournable du genre, qui plus est parfaitement complémentaire à Lightroom.
Au fil des versions, nous avons vu le moteur de développement lui aussi devenir encore meilleur, à la fois en qualité, notamment avec Prime (qui débruite l’image parallèlement au dématriçage) qui permet d’améliorer la gestion du bruit depuis des années et que l’on réserve aux photos vraiment difficiles, parce que son utilisation est gourmande en ressources des processeurs.
DeepPrime, mieux que Prime, avec tous les avantages!
C’est la grande nouveauté de DxO PhotoLab 4: le moteur de développement fait encore un pas en avant, en particulier si l’on utilise les tout nouveaux algorithmes de DeepPrime qui fait appel à l’intelligence artificielle (encore elle, mais cette fois, elle fait des miracles).
Appartenant à la classe des réseaux de neurones convolutifs, la structure de DeepPRIME est directement inspirée par les recherches neuroscientifiques sur le fonctionnement du cerveau humain. La détermination des valeurs du réseau est donc laissée entièrement à l’ordinateur. On parle alors de « Deep Learning », ou « apprentissage profond »: le réseau est capable d’apprendre seul.
Depuis plus de 18 ans, DxO a analysé et calibré dans ses laboratoires des milliers de combinaisons d’appareils photo et d’optiques selon un protocole d’une étendue unique dans l’industrie. Distorsion, vignetage, aberrations chromatiques, perte de piqué optique et bruit numérique ont été mesurés sur des images RAW avec un haut niveau de précision. Cette connaissance des performances des équipements photographiques a été regroupée dans une base de données de plusieurs millions d’images.
Site DXO
DeepPrime débruite et dématrice en une seule étape, comme Prime, et fait encore gagner selon l’éditeur deux valeurs de sensibilité ISO.
Force m’a été de constater que cette nouveauté apporte un réel plus à la qualité des images.
Là où Prime laissait parfois des artefacts, DeepPrime est beaucoup plus précis.
Il réduit le bruit en préservant les détails.
Lightroom peut aller gentiment se rhabiller, les autres aussi.
Voyez plutôt sur une image du public du Rock’n Poche (pour lequel j’ai une pensée émue en ses moments difficiles pour la culture), prise pratiquement sans lumière, à 16’000 ISOs (seize mille).
Je précise que je vous montre ici des images qui ont été traitées automatiquement par Lightroom et DxOPhotoLab 4.
Mais voyons deux détails de l’image, maintenant.
Le premier:
Et le second:
Évidemment, on voit tout le travail qu’effectue DxO qui est très différent de celui de Lightroom, notamment dans les corrections de distorsions diverses, on constate un lissage du bruit mais qui protège les détails.
Je vous en donne la preuve, et pour ceux qui trouvent que l’image donnée par DxO est un peu plus plate je vous montre qu’il est possible de contraster l’image de DxO sans détériorer son débruitage.
En diminuant le Smart Lightning (la compensation des ombres) automatique de DxO et en renforçant un poil le contraste, on obtient ceci:
Même à cette taille, on voit que les couleurs sont mieux préservées sur Dxo.
Reprenons un détail maintenant, toujours avec un contraste augmenté et le Smart Lightning moins invasif:
Il nous faut maintenant aussi comparer DeepPrime avec Prime et HQ (le mode standard de DxO).
Soit la photo suivante à dix mille ISOs.
Commençons par un détail DxO DeepPrime versus Lightroom:
Passons à la comparaison interne que vaut d’abord DeepPrime par rapport à la version standard de DxO (HQ)
Et puis maintenant DeepPrime par rapport à Prime.
Vous rendez-vous compte du gain en détails du traitement DeepPrime? C’est tout simplement spectaculaire.
Voulez-vous les temps de traitement d’export en JPEG de l’entier de l’image précédente?
Pour information, voici ce que pèse l’image en RAW:
Lightroom | 11 secondes |
DxO HQ (Standard) | 9 secondes |
DxO Prime | 41 secondes |
DxO DeepPrime | 19 secondes |
Comme vous le constatez, il faudrait être fou pour se passer de DeepPrime lorsque les images sont bruitées.
Notez que DxO en standard donne de meilleurs résultats qualitatifs que Lightroom, mais ça, on le savait déjà, et qu’en plus il est plus rapide à l’export que ce dernier: il me semble que c’est la première fois que je vois DxO gagnant dans ce domaine.
C’est fou comme ces programmes font des miracles maintenant: il fut un temps où DxO était extrêmement lent dans le développement des RAWs (je parle des premières versions), et là, il est le meilleur.
Et puis, en matière de taille des exports JPG, le résultat est assez étonnant:
Eh oui, DeepPrime est celui qui donne des JPEG les plus légers!
Quant à Prime, je me demande bien pourquoi on l’emploierait encore: DeepPrime fait mieux (nettement), plus léger et plus vite, alors…
Un espace de travail exactement comme vous le désirez
Il fut un temps où retrouver ses petits était parfois assez difficile dans DxO.
La version PhotoLab 4 règle définitivement le problème.
Tout peut être personnalisé, et vous pouvez même effectuer une recherche sur un outil de votre choix, voyez plutôt cette démonstration tirée du site de DxO, je ne vais tout de même pas réinventer la roue.
Cette nouvelle réorganisation des outils avec des onglets les présentant groupés (flèche rouge) et la recherche des outils (flèche verte) changent la donne!
Bon… petite demande: ce serait chouette de pouvoir trouver un outil dans tous ceux qui sont disponibles, pas uniquement ceux qui se trouvent dans l’onglet actif.
De même, je trouve très sympa de pouvoir montrer les réglages actifs sur la photo, mais toujours par rapport à l’onglet ouvert: une option pour pouvoir afficher tous les réglages actifs d’une photo serait bienvenue.
Un historique pour remonter le temps
DxO PhotoLab 4 nous offre désormais une palette qui nous montre l’historique de notre image. Un clic sur chaque étape nous montre instantanément où nous en étions au moment de son édition.
On va dire qu’il était temps, mais la chose est fort bien réalisée.
Les filigranes sont désormais de la partie
Nous en parlions lors de leur arrivée dans Lightroom Cloud récemment, les filigranes font également leur apparition dans DXO PhotoLab 4 et ce de manière extrêmement simple et efficace, à l’aide d’un onglet qui lui est en partie dédié.
Les filigranes peuvent être de type images ou textes, et de nombreux réglages leur sont dédiés.
Il a fallu attendre, mais c’est arrivé, et de belle manière.
Copier-coller des réglages sur d’autres images
Avant, on pouvait appliquer des presets sur des images, on le peut toujours d’ailleurs, on l’oublie trop souvent avec DxO, ils sont d’ailleurs très nombreux, bien fichus, et on peut en créer soi-même, je remontre juste leur fenêtre dédiée:
Mais bon, on peut aussi avoir envie de reporter quelques réglages pour une série de photo sans avoir besoin de créer un preset.
Eh bien, on peut le faire, à la manière de Lightroom Cloud.
On commence par copier les réglages d’une image, et puis on les colle sur une série d’autres.
Lorsqu’on clique sur Coller, on trouve une zone de dialogue qui nous fait furieusement penser à celle de Lightroom:
Notez, comme vous l’avez vu dans l’avant-dernière figure ci-dessus, qu’il est également possible de copier directement les réglages sélectionnés auparavant, et les réglages locaux auxquels vous avez accès chez DxO via les U-points, ou si vous préférez, les points de contrôle, ainsi que les masques (pinceau).
Renommer ses fichiers en série
La nouvelle version 4 de PhotoLab vous permet également de renommer des fichiers en série.
C’est une très bonne chose, même si l’option est ici moins complète que sur Lightroom Classic.
Mais encore
Je n’aimerais pas terminer ce test sans dire et répéter que DxO s’intègre magnifiquement à Lighroom.
Ce dernier lui envoie les RAWs qui sont traités par DxO et peuvent être renvoyés depuis DxO vers Lightroom après traitement en DNG linéaire comportant soit toutes les corrections optiques et tous les débruitages, soit l’intégralité du travail de DxO, Lightroom ne devenant plus alors qu’un catalogueur. Reste à savoir si vous voulez dans ce cas conserver le RAW d’origine, ce qui prendra de la place sur votre disque dur.
Et puis, vous dire que DxO, et ce depuis la version 3 et l’intégration des mots-clés, devient un excellent explorateur de fichier, doté de fonctions de recherche pas si mal que ça.
Le problème? Il n’existe actuellement aucun module qui reprend le catalogue de Lightroom avec toutes nos retouches vers DxO.
Donc, si je voulais faire de DxO mon catalogueur, il faudrait que je reprenne toutes mes photos et toutes mes retouches à la main, ce qui est assez impensable.
Et puis, quel dommage que DxO ne soit toujours pas capable de voir l’intérieur des dossiers imbriqués en sélectionnant le dossier parent!
Mais en l’état des choses, si je devais repartir de zéro, je serai tout de même bien tenté par le logiciel testé ici, qu’on se le dise.
En conclusion
Qu’on se le dise, DxO fait encore une fois progresser la photographie numérique, ça devient une habitude pour eux.
Il mérite à ce titre un label Too Much Bô.
Prix du programme:
- Version Essential (vraiment pas intéressante si vous travaillez en RAW, voir les différences de fonctions ici): 99.99 €, prix dans lancement, 129 € prix normal;
- Version Elite 149.99 € prix de lancement, 199 € ensuite.
Mises à jour:
Version Essential: 49.99 € en prix de lancement, 69 € ensuite;
Version Elite: 99.99 € en prix de lancement, 139 € ensuite.
Si vous aimez la photo numérique, DxO est un must absolu.
Mais toujours pas de developpement des fichiers Fuji. Capture One reste le meilleur !
Excellent article qui donne envie d’upgrader DxO.
Mais
1. Il me semble (j’espère) que les photos de gauche sont LR et celles de droite DxO, contrairement aux légendes.
2. Le prix d’un upgrade de DXO3 vers DxO4 est actuellement de 69.99€
Bien cordialement, Jean-Pierre
Résultats impressionnants. Jusqu’à maintenant, je m’autocensure, en ne shootant pas en condition de lumière acrobatique. Je vais peut-être changer d’idée.
Ton œil ne te trompe pas. C’est ta lecture des légendes qui t’induit en erreur : les photos DxO sont à droite mais pour les voir, il faut pousser la barre à gauche.
Sur ce point!:-)
Eh oui!:-)
Oui, BARRE à gauche, c’est DxO, Barre à droite, LR.
Donc oui, photo de gauche LR, photo de droite DxO!:-)
Plus d’espoir pour moi de voir les fichiers RAF traités par Dxo… question dit-on de relations entre Fuji et Dxo, le petit Dxo n’intéresse peut-être pas Fuji… Lightroom qui reste mon outil de base traite bien mieux maintenant les RAF du capteur X-Trans, mais donc pas de possibilité de finaliser un traitement dans Dxo. J’ai malgré tout fait l’update vers Dxo 4 que je teste avec de vieux RAW Canon ou Panasonic, la différence est réellement exceptionnelle.
Ma décision sera probablement d’abandonner mon Fuji XT1 qui a rendu de bons et loyaux services pour passer au Sony a7c, moins cher que les R3 et 4, avec l’avantage du capteur plein format.
Merci. Pas facile car sur la main gauche le pouce est à droite.
Bonjour,
Excellente décision. Vous me direz pour le a7c ce que vous en pensez?
Oui, mais quand du es au Rock’n Poche, tu es obligé de t’y frotter!
Et j’adore ça d’ailleurs.
Mais vu que l’éclairage est en grande partie à l’arrière et que les techniciens adorent les utiliser, tu dois compenser ce que tu vois toi sur scène…
Avec plaisir… mais il faut déjà qu’il soit disponible ! Bon, ça ne devrait plus tarder !!!
Je me suis dit en voyant les photos de gauche que j’étais en train perdre la vue car je trouvais celles de droite bien meilleures.?
Merci pour cette excellente présentation, qui ne peut pas me convaincre concernant DxO, car je le suis déjà depuis la version 5 ! J’ai testé PL4 avec des photos ARW prises en basse lumière par mon feu Sony Alpha 300. Eh bien, c’est étonnant! Quelle différence! Je suis très déçu en bien, comme on dit chez vous. Je pourrais retravailler certaines photos que j’ai laissé tomber car trop bruitées.
Ah, c’est vrai, ce n’est pas simple.
Quand j’ai lu ton intervention, je me suis dit, ça y est, je me suis à nouveau planté! Pourtant, qu’est-ce que j’ai fait gaffe d’essayer d’être clair!:-)
Mais non, sur ce coup-là, ce n’est pas moi, youpeee!:-)
D’où l’avantage du RAW! Des années après, on peut améliorer ses images!
Je viens de faire la mise à jour et mon compte sera débité de “seulement” 69,99 € (et non pas 99,99 comme tu l’indiques, François). Offre de lancement.Je vais explorer les nouveautés à partir de demain et vérifier que cela vaut bien 70 Brouzoufs…Tu indiques que cette mise à jour mérite le label Too Much Bo, mais tu ne l’as pas attribué. Une distraction ou c’est volontaire ?
Ce n’est pas une question de relations DxO – Fuji, mais DxO se refusant à proposer une simple adaptation de son moteur de dématriçage, comme les autres, et pour des résultats parfois discutables, la solution idéale, et conforme à leur philosophie de recherche de la qualité d’image maximale, serait de réécrire le moteur de dématriçage. Ce que personne ne veut faire vu l’extrême petitesse du marché actuel.
Jeudi soir, 19h, je présente une webinaire pour DxO, et dans lequel on parlera de PhotoLab 4 (inscription via leur site).
J’en profite aussi pour signaler que le guide utilisateur a été mis à jour apr mes soins, et que vous y trouverez en détail le fonctionnement des nouveautés présentées ici par François 😉
Merci Gilles de cette explication, qui me conforte dans mon intention d’évoluer vers Sony.
Quand je vois cette image, je me demande ce que Dxo pourrait y modifier. Sony a9II, Processed and cropped in Adobe Camera Raw.
ISO 12800 | 1/1000 sec | F2.8
On peut le voir en différé ce webinaire?
Oh, quand on la regarde en taille réelle, on peut encore faire quelque chose!
Mais c’est vrai que c’est tout bon!
J’ai oublié le Too Much Bô!
Donc je l’ai rajouté, merci.
Pour le reste, tu as de la chance, enfin… je pense, parce que le site dit bien que la version Elite est à 99€ au prix de lancement.
Etrange.
En ce qui me concerne j’ai la possibilité d’avoir la version 4 au prix de 69.99 €Je mets le tableau de mes anciennes factures de DxO Elite, là je ne pense pas faire le pas5f98518835d386353e32efc8.png
Ah oui ça commence à chiffrer ! après cela dépend de ton utilisation et si c’est dans un cadre professionnel…
Eh oui, mais bon faut savoir évaluer ses besoins5f9917c9e3261cb15d1ca369.png
À ce prix-là, je n’hésiterais pas.
Bonjour,
Pour être tout à fait honnête, je ne suis pas super emballé. Certes, c’est spectaculaire techniquement et les grossissements le montrent aisément : mais qui regarde ces photos en les grossissant à 200 ou 300% (à part pour faire de la correction localisée) ?
Si je regarde la 1ère photo, je dirais que :
– le niveau de bruit est finalement acceptable si l’on reste à des résolutions “normales” et je pense qu’elle passerait sans problème une impression en 10×15
– je suis un peu gêné par le changement colorimétrique : sans doute lié à la réduction du bruit, mais n’y a-t-il pas un réglage qui tend à saturer un peu plus l’image ?
– les rides sur le front du monsieur du milieu
– je trouve que la réduction génère quelques aplats sur les visages (aplats très maîtrisés je le reconnais)
Dans un cas d’utilisation extrême comme les photos de ce concert, l’outil est sans doute indispensable. Mais l’est-il vraiment dans les autres 99% d’utilisation ? je n’en suis pas convaincu.
Par ailleurs, il aurait fallu comparer avec l’outil de débruitage de LR, certes moins performant dans l’absolu, mais qui permet déjà de réduire légèrement le bruit, ce qui peut suffire dans beaucoup de cas (et qui, lui, est très rapide).
Mais Dxo est un très bel outil technologique (évidemment).
Oui, beaucoup n’ont pas forcément besoin de débruiter les images, mais DxO, c’est aussi beaucoup plus que cela. Là, je montrais les nouveautés.
C’est vrai que LR permet de glisser le curseur de réduction de bruit de luminescence et de réduire le bruit, mais les détails aussi, ce que fait très peu DxO en mode DeepPrime.
Cela dit, je comprends ton opinion aussi.
Ben voila, c’est payé
Il n’y a pas besoin de zoomer à 200 % ou 300 % pour voir la différence et apprécier le résultat, ça se voit immédiatement et la préservation des détails et des couleurs est remarquable. Ensuite, cette fonction ne se limite pas aux images à très haute sensibilité. Bien au contraire.
Oui, il est publié quelques jours après.
Même si c’est déjà bon, on peut obtenir bien mieux.
Très bien, merci, j’ai un cours de violon à ce moment, impossible pour moi de le regarder en direct.
Ça vient du capteur Fuji n’est n’est pas basé sur une matrice de Bayer. DxO ne veut pas développer une adapter ces processus pour le capteur Trans de Fuji.
Bonjour, j’aimerais savoir si tu utilise DXO Photolab comme logiciel principal sans Lightroom et autres logiciel tiers. Le logiciel version Elite est à 199 euros et pour le prix pas de bouton importation ?
Bonjour,
J’utilise surtout PhotoLab depuis Lightroom.
Pour le bouton d’importation, nul besoin puisque DxO est un navigateur de fichier et qu’il travaille directement avec l’arborescence du disque dur.
Je comprends mais un bouton importation ne serait pas un luxe même si Bridge CC est juste un explorateur, il possede une solution d’importation. Et je me pose une autre question, pourquoi l utilisation de DXO en tant que plugin avec LR ?
Je répète, on n’importe pas des images dans DxO, on les traite en direct.
Et on les retrouve ensuite dans la phototèque.
Et je l’utilise en plug-in, comme énormément d’utilisateurs, pour les photos particulièrement difficiles pour Lightroom où ce dernier est largement moins bon que DxO.
Je l ai bien compris lol