RPTLBDC (13) De la lecture pour Noël 2021

Mais dites voir, c’est que ça fait deux ans que je ne vous ai pas proposé de RPTLBDC (Revue de Presse Technique Le Blog du Cuk), la dernière fois, c’était pour Noël 2020!

La Covid est passée par là, dirait-on.

Bon, vu que ça fait un an, je me permets de répéter ce que j’ai déjà expliqué ici à plusieurs reprises, mais ça va mieux en le disant: oui, je passe en revue des livres d’Eyrolles, parce que cet éditeur a la gentillesse de me les envoyer et que ces livres m’intéressent, cela ne m’a jamais empêché de dire ce que je pensais de certains ouvrages également quand je ne les appréciais pas.

Donc, voilà, une flopée d’ouvrages dédiés à la photo que j’ai le plaisir de vous proposer juste avant les fêtes, histoire d’avoir des idées de cadeaux à demander à vos proches.

Mission photo pour les photographes en herbe

  • Titre : Mission photo pour les photographes en herbe
  • Sous-titre : Résous le mystère de la photographie!
  • Auteur(s) : Anne-Laure Jacquart
  • Éditeur(s) : Eyrolles
  • Parution : 3 juin 2021
  • Édition : 1ère édition
  • Support : aucun
  • Nb de pages : 144 pages
  • Format : 25 x 18
  • Couverture : Broché
  • Poids : 538 g
  • Intérieur : Quadri
  • Diffusion : Geodif
  • ISBN13 : 978-2-416-00310-3
  • EAN13 : 9782416003103
  • Prix: 18 €

Anne-Laure Jacquart n’en est pas à son premier ouvrage pédagogique à propos de la photo, et on sent dans ce livre un vrai savoir-faire.

Le but de ce livre?

Je ne résiste pas à vous faire lire son 4e de couverture:

Très cher enquêteur photographe,

Es-tu prêt à saisir ton appareil ou ton smartphone et à explorer ce qui se trouve autour de toi pour faire des super photos?! Je l’espère! Car si nous avons besoin de toi aujourd’hui, ce n’est rien de moins que pour résoudre le mystère de la Photographie. Et nous allons mener cette enquête ensemble, en nous amusant!

Sauras-tu trouver suffisamment d’indices et effectuer les bonnes déductions? Attention, ta stratégie pour faire de chouettes photos en dépend! Parviendras-tu à mettre la main sur les armes redoutables, qui feront de toi un super héros de la création d’images? Jeune aventurier, je t’envoie en mission! À toi de sauver la Photographie!

Un livre entier sur le cadrage et la composition!

Vous pensez que ça va être rébarbatif?

Eh bien pas le moins du monde, c’est drôle, intelligent, passionnant.

Les premiers conseils de ce livre s’adressent aux parents pour des conseils en vus de l’achat d’un appareil fort simple pour leurs enfants. Idéalement, un appareil pas trop grand, avec un mode macro, un flash débrayable, un réglage de la luminosité disponible. Cela suffit déjà.

Je dirais même qu’un téléphone mobile de qualité (ou pas d’ailleurs) pourrait suffire.

Le but de l’auteur est de faire manipuler les enfants, de les faire bouger, mais pas forcément avec l’appareil: un cadre en carton est à découper à la fin du livre et leur permet de faire des essais de cadrage sur des photos du livre ou dans leur environnement.

Je crois que l’extrait du livre que vous trouvez ici est tout à fait parlant de ce que l’enfant va devoir effectuer comme activités. Regardez plutôt, les dernières pages consacrées aux photos “fouillis” et aux sujets stars.

C’est tout de même super bien amené.

Et ce que vous ne voyez pas, c’est qu’aux pages suivantes, l’enfant devra cadrer son ou ses sujets stars sur une photo d’aquarium du livre, à l’aide du carton découpé.

Il faudra ensuite repérer des parasites sur les photos et trouver des stratégies pour les éliminer, apprendre à décaler son sujet, et j’en passe.

Moi, je trouve ce livre assez génial, et vous savez quoi? Il est dédié aux enfants, certes, mais il pourrait très bien l’être à un photographe en herbe plus âgé.

Une belle manière de commencer la photographie quand on n’y connaît rien, ou que l’on se contente de déclencher à l’aide de son téléphone mobile, sans jamais se poser des questions sur rien.

Ce livre est certes destiné aux enfants, mais pas seulement.

J’ai personnellement eu du plaisir à le parcourir et à m’arrêter sur certains chapitres.

Super bien fait (graphiquement, c’est impeccable), rigolo et, l’air de rien parce que l’on s’amuse, le débutant apprend plein de choses intéressantes sans être dans la souffrance.

Assez rare pour être relevé!

Passons au livre suivant

Lightroom Classic, la méthode de Scott Kelby

  • Titre : Lightroom Classic
  • Sous-titre : La méthode de Scott Kelby
  • Auteur(s) : Scott Kelby
  • Editeur(s) : Eyrolles
  • Parution : 4 nov. 2021
  • Edition : 1ère édition
  • Support : aucun
  • Nb de pages : 264 pages
  • Format : 20 x 25
  • Couverture : Broché
  • Poids : 920 g
  • Intérieur : Quadri
  • Diffusion : Geodif
  • ISBN13 : 978-2-416-00462-9
  • EAN13 : 9782416004629
  • Prix: 27 €

On ne présente plus Scott Kelby, qui doit être l’un des seuls auteurs à être capable de vous apprendre le fonctionnement d’un logiciel de manière approfondie, tout en vous faisant marrer à chaque coin de page.

Ou comment ne pas se prendre au sérieux tout en l’étant jusqu’au bout des ongles.

Il vaut la peine de bien lire les premières pages dans lesquelles Kelby explique son but: vous faire travailler à partir d’images que vous pourrez télécharger, en 7 points clés, pratiquement toujours les mêmes, pour que ça entre dans votre petite tête que vous n’oubliez pas, à force de répéter le travail, avec des nuances, et dans un ordre qui peut être différent, sur 21 leçons. Cela dit, l’auteur précise bien que les 7 points ne sont pas à utiliser à chaque fois (vos photos ne sont pas toutes loupées à ce point-là vous indique-t-il), mais en les ayant en tête, vous devriez pouvoir corriger vos photos en en utilisant un ou plusieurs.

L’idée est de suivre les leçons de la 1 à la 21, puisque certaines notions seront détaillées dans les premières, puis plus dans les suivantes.

Comme l’explique Kelby, ce livre va évoluer avec vous.

À noter que ce livre s’adresse, contrairement à ce que peut faire penser son titre, aussi bien aux utilisateurs de Lightroom Classic qu’à ceux de la version Cloud, et qu’il est traduit et adapté par Gilles Theophile, bien connu sur ce site.

Dernière chose, le lien donné dans l’ouvrage pour télécharger les images n’est pas tout à fait le bon!

Le site de l’éditeur nous donne le bon en “errata”, c’est donc celui-ci qu’il faut utiliser.

Ah, et puis un détail encore: j’ai fait la leçon 1 en suivant scrupuleusement les étapes données: si tout s’est bien passé, je me suis trouvé face à une capture d’écran qui n’est plus tout à fait celle de la dernière version de Lightroom, et je n’ai pas pu faire exactement ce qu’on me demandait, tout comme les explications dans les corrections avec un dégradé linéaire qui ne tiennent pas compte de la grande modification à propos des masques dans Lightroom dont je vous ai parlé ici.

Rien de grave, l’important étant de savoir ce que l’on doit faire, mais cela pourrait perturber le débutant.

Et voici le résultat de ma première leçon, à droite de la photo:

Partons dans les hautes sphères nocturnes, maintenant.

Photographier le ciel nocturne

  • Titre : Photographier le ciel nocturne
  • Auteur(s) : Adam Woodworth
  • Editeur(s) : Eyrolles
  • Parution : 10 juin 2021
  • Edition : 1ère édition
  • Support : aucun
  • Nb de pages : 208 pages
  • Format : 23,5 x 25,5
  • Couverture : Broché
  • Poids : 885 g
  • Intérieur : Quadri
  • Diffusion : Geodif
  • ISBN13 : 978-2-416-00173-4
  • EAN13 : 9782416001734
  • Prix: 28 €

Vous voyez la couverture de cet ouvrage?

Magnifique n’est-ce pas?

Eh bien le livre regorge d’images plus belles les unes que les autres, inquiétantes, poétiques, ou simplement superbes.

À chaque fois, l’auteur nous explique comment il s’y est pris en assemblant parfois une multitude d’images.

Attention: si vous cherchez à photographier la lune, ce n’est avec cet ouvrage que vous vous en sortirez, Adam Woodworth nous expliquant que son livre touche le domaine des étoiles ponctuelles, et que s’il avait fallu couvrir l’entier de la photo astronomique, il aurait été immensément plus épais.

En matière de technique, c’est clair que j’y trouverais mon compte si j’avais le temps, parce que partir dans ce domaine photographique, c’est un monde de patience tant en matière de prise de vue qu’en postproduction, patience que je dois bien admettre ne pas avoir.

Ou alors quand je serai à la retraite, allez savoir!

Cela étant, j’ai parcouru ce livre plutôt comme un ouvrage d’art, et nom d’une pipe, c’est beau, le monde nocturne, pris en photo.

Presque plus beau, ou carrément plus beau que la réalité, c’est dire!

Photographier mois après mois

  • Titre : Photographier mois après mois
  • Sous-titre : Une année de pratique photo
  • Auteur(s) : Tom Ang
  • Editeur(s) : Eyrolles
  • Parution : 4 nov. 2021
  • Edition : 1ère édition
  • Support : aucun
  • Nb de pages : 360 pages
  • Format : 19,5 x 23,5
  • Couverture : Relié
  • Poids : 1286 g
  • Intérieur : Quadri
  • Diffusion : Geodif
  • ISBN13 : 978-2-416-00283-0
  • EAN13 : 9782416002830
  • Prix: 29.90 €

Ce livre est assez dingue.

Il nous promène à travers les mois, les sujets et les particularités du moment, et part un peu dans tous les sens, avec des centaines de photos, et des recettes toutes simples, sans mots compliqués.

Au départ, on se dit que c’est un peu éclaté (te tcheu, c’est quoi ça?), et puis, on s’y retrouve très vite et on comprend l’idée de nous faire abandonner notre routine, voire cette foutue lassitude photographique qui nous fait parfois (souvent ces temps) laisser notre boîtier dans son sac.

Vous tournez quelques pages de ce livre et bing, vous vous dites: ah de dzou, rigolo ça, si j’essayais!

Eh bien si ça vous fait le même effet à vous qu’à moi, sûr que ces presque 30 € seront rentabilisés très vite!

Un livre qui dépasse la technique et qui vous donne des tonnes d’idées, c’est chouette non?

Le livre suivant est conçu également pour vous donner envie d’utiliser votre appareil pour des images auxquelles vous n’auriez peut-être pas pensé.

52 défis photo – Lumière

  • Titre : 52 défis photo – Lumière
  • Auteur(s) : Antony Zacharias
  • Editeur(s) : Eyrolles
  • Collection : 52 défis
  • Parution : 21 oct. 2021
  • Edition : 1ère édition
  • Support : aucun
  • Nb de pages : 128 pages
  • Format : 14 x 21
  • Couverture : Broché
  • Poids : 316 g
  • Intérieur : Quadri
  • Diffusion : Geodif
  • ISBN13 : 978-2-416-00438-4
  • EAN13 : 9782416004384
  • Prix: 12.90 €

L’idée de l’ouvrage est, vous l’avez compris, de vous titiller et de vous sortir de votre zone de confort en matière de jeu avec la lumière, sur 52 leçons ou défis, chacun étant présenté de manière rapide, efficace, sans vous perdre dans des explications compliquées:

Une description courte du sujet avec votre mission, le matériel nécessaire, quelques explications, des astuces, deux ou trois notes, et le tour est joué.

Le tout tient chaque fois sur deux pages, c’est nerveux.

Bon, je souris un peu en voyant sur certains sujets un cadre “Carnet de bord” vous laissant la place d’écrire vos commentaires, ce qui fait penser que l’auteur n’avait plus grand-chose à vous dire sur le sujet, alors qu’à d’autre, les deux pages sont bien plus denses et ne le proposent pas.

Un chouette petit livre cela étant, et pas cher du tout en plus, qui vous donnera le petit coup de pied là où il faut pour vous faire repartir dans les activités photographiques.

Je termine par un livre assez exceptionnel, parce que très différent de ce qui se fait habituellement en matière de livre photo.

Acquérir une culture photo

  • Titre : Acquérir une culture photo
  • Sous-titre : Une exploration des coulisses de la création photographique en 200 questions esthétiques et pratiques
  • Auteur(s) : Jean-Christophe Béchet, Samuel Decklerck
  • Editeur(s) : Eyrolles
  • Parution : 13 mai 2021
  • Edition : 1ère édition
  • Support : aucun
  • Nb de pages : 200 pages
  • Format : 17 x 21
  • Couverture : Broché
  • Poids : 532 g
  • Intérieur : Quadri
  • Diffusion : Geodif
  • ISBN13 : 978-2-416-00093-5
  • EAN13 : 9782416000935
  • Prix: 28 €

J’ai choisi, pour expliquer le but de ce livre, de vous offrir un extrait de l’avant-propos de l’un de ses auteurs, Samuel Decklerck:

… si la maîtrise de la technique photographique est indispensable, elle ne sera jamais un moyen d’expression personnelle, ni d’affirmation d’un regard d’auteur si elle n’est pas accompagnée par une culture photographique nourrie par la fréquentation des musées et des expositions, et bien sûr la lecture de livres photo. Quoi de plus évident, me dira-t-on ? Imagine-t-on devenir écrivain sans connaître les classiques de la littérature ? Ou musicien de jazz en ignorant les œuvres de Miles Davis ou Duke Ellington ? Pourtant, s’agissant de la photographie, cette évidence « culturelle » est souvent négligée.

Samuel Decklerck

Les auteurs ont choisi de vous faire cheminer à travers quatre chapitres thématiques que je reprends également tels quels pour ne pas réinventer la roue et ne pas les trahir:

Le portrait. Où il sera question de Marylin Monroe, de l’éditing, de Pablo Picasso, des objectifs, de Richard Avedon, d’Irving Penn, de l’engagement, de Diane Arbus, de la timidité, de Nadar et de bien d’autres sujets…

Le paysage. Où il sera question de couchers de soleil, de stations-service, d’Ansel et Robert Adams, des formats de cadrage et de bien d’autres notions…

La photo de rue. Où il sera question de spécificités nationales, du photojournalisme, d’humour, de focales fixes, des « Friedlanderiens » et des « Winograndiens ».

La photographie créative, plasticienne et conceptuelle. Où il sera question de l’évolution des techniques, du marché de l’art, de l’hybridation et des convergences, de la spécificité du médium, de Sophie Calle et de Denis Brihat, de la « photo-photo » et même de la « post-photographie »…

Ce livre est tout à fait étonnant, parce qu’il est conçu comme une interview, Samuel Declerck, photographe amateur et ancien président d’un club photo, mais aussi professeur de philosophie (ce qui n’est pas un détail dans ce livre), posant 200 questions à Jean-Christophe Béchet, photographe reconnu dans de nombreuses expositions et qui a publié une vingtaine de livres, Jean-Christophe Béchet que vous connaissez certainement si vous avez lu Réponses Photo ces dernières années.

Cela donne un livre dynamique, tout simplement passionnant à lire.

Cette idée d’interview sortant des sentiers battus, des idées reçues, est un vrai bonheur et devrait normalement vous remettre en question sur les domaines que j’ai listés là, juste plus haut.

Voilà, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter de belles lectures!

0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

21 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Gilles Theophile
Gilles Theophile
il y a 2 années

Hello, quelques précisions en ce qui concerne le Kelby, dont j’ai assuré la traduction :
– le lien de téléchargement qui figure dans le livre est celui de l’édition originale, et l’éditeur US, pour une raison obscure, l’a modifié après coup, mais la redirection est automatique (en tout cas chez moi).
– le livre ayant été traduit avant l’été, bien évidemment, il n’était pas possible de tenir compte des changements et du nouvel outil Masquage. Il n’empêche que ça fonctionne quand même, c’est juste l’accès aux outils et le nom de certains qui a changé.

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

Bonjour à tous,Ce sont sans doute de très bons ouvrages sur la photo que nous présente ici François, mais je vais saisir l’occasion (cela aurait pu être le sujet d’un open-bar, mais l’occasion ne s’est pas faite) pour présenter un ouvrage, hors sujet pour cet article, dont le propos me semble être la grande priorité des temps qui courent, et qui devient une tendance ici même d’après les orientations que prennent les thèmes abordés par François. À qui cela ne devrait pas déplaire, puisqu’il s’agit d’une BD, dont je n’ai lu quasiment que des recensions positives, et qui pourra faire sans aucun doute un beau cadeau de Noël.Il s’agit de “Le monde sans fin”, de Christophe Blain et Jean-Marc Jancovici, qui aborde la question des grands enjeux qui nous attendent sur cette planète, on parle de climat, énergie, croissance, économie, écologie, société, etc. Je pense que plus personne n’a jamais entendu au moins une fois “Janco” évoquer ces questions, quant à Blain, comme je ne suis pas très BD je ne le connais pas particulièrement, mais d’après ce que j’ai pu voir, c’est un auteur apprécié.61b2ed77d8a64e185199d960.jpgÀ voir ici : https://jancovici.com/publications-et-co/livres/le-monde-sans-fin/Voilà, vous m’excuserez cette diversion, le sujet est très tendance depuis quelque temps, et essentiel à l’approche de l’échéance électorale qui vient en France, et j’ose croire que cela ne pourra qu’être profitable au plus grand nombre.Bon WE à tous,Jean

Francois Cuneo
Francois Cuneo
il y a 2 années

Oh! Il est dans izneo!

Je vais l’acheter, je pourrai parler ensuite en connaissance de cause de Jancovici dont je me méfie pour sa défense assez incroyable du nucléaire.

Cela étant, il n’est pas dans l’abonnement, donc ce sera 20 € pour lire quelqu’un qui risque un tantinet, au moins sur ce sujet, de m’énerver la moindre…

Francois Cuneo
Francois Cuneo
il y a 2 années

Hello!

Oui, je l’ai dit d’ailleurs que ce n’était pas bien grave.

N’empêche que les masques, ça aurait été chouette que ce soit dedans, je suis sûr que ça aurait fait partie de ses 7 étapes, remplaçant les outils de correction locale “d’avant”.

Mais oui, bien sûr, on peut s’en sortir très bien.

Gilles Theophile
Gilles Theophile
il y a 2 années

Impossible, François. Même si je testais déjà ces outils, un éditeur ne peut pas prendre le risque d’envoyer un livre en production avec du contenu qui n’est ni officiel, ni certain d’être présent. Que se passerait-il si le bouquin arrive en librairie et que, finalement, pour des raisons techniques, Adobe décide de reporter les nouveaux outils à une version ultérieure ? De plus, d’un point de vue strictement légal, on ne peut pas publier des captures de versions non-publiques d’un logiciel.

Yvanchen
Yvanchen
il y a 2 années

Merci François, tu m’as convaincu pour Mission photo pour les photographes en herbe. Ma fille à déjà reçu un appareil photo, ça devrait la motiver d’essayer. Avec moi aussi, voilà un moment que je n’ai plus fait de photos..

Christian Zeender1
Christian Zeender1
il y a 2 années

les grands photographes n’ont jamais eu besoin de livres, ni d’ailleurs d’écoles de photo. Et depuis que mon ami Jean-Maris Sépulcre, dont Eyrolles a publié plus sieurs livres. c’est vrai que je m’y intéresse moins.

Christian Zeender1
Christian Zeender1
il y a 2 années

Faire de la pub pour une bande dessinée “tendance” dans les commentaires d’un article consacré aux livres sur la photo c’est tout démêle un peu osé

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

J’en ai bien conscience, c’est ce que précise en début et à la fin de mon texte, mais sinon qui sait quand j’aurais pu le placer…

Francois Cuneo
Francois Cuneo
il y a 2 années

Eh bien moi je ne trouve pas, c’est très bien comme ça!
Du coup, j’ai acheté le livre, 16.9€ et pas 20, comme indiqué ailleurs.

Francois Cuneo
Francois Cuneo
il y a 2 années

Oh je sais, c’est évident, je ne demandais pas que tu fasses ce genre de choses, ni lui d’ailleurs, vous êtes sous le secret (et vous avez bien de la chance!?).

Francois Cuneo
Francois Cuneo
il y a 2 années

Oui, mais cela n’empêche pas qu’on parle de livres de photo, si vous le voulez bien…

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

En tout cas, c’est un bon prix ! Je crois qu’il est à 27 € en librairie !

Francois Cuneo
Francois Cuneo
il y a 2 années

Oui, en plus, faire ça à deux, c’est une manière de passer du temps ensemble, ça risque d’être chouette!

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

Jancovici et le nucléaire, c’est en effet tout un programme. Il ne trépigne pas en disant “je veux du nucléaire, je veux du nucléaire” ! Simplement il est hyper pragmatique, ne raisonne qu’avec les lois de la physique et en faisant des règles de trois. Il dit que pour maintenir notre niveau de vie actuel (PIB, confort, etc), le renouvelable ne suffira pas, et sans le nucléaire, ça va décroitre dur, qu’on le veuille ou non. Et il ajoute ” mais si les gens ne veulent pas de nucléaire, on ne fera pas de nucléaire” (tout en poussant pour), il faudra faire avec les moyens disponibles…De plus son raisonnement sur les dangers du nucléaire me parait pertinent et bien fondé. Le charbon, comme bien d’autres choses, a tué énormément plus que le nucléaire à ce jour, et personne ne s’en est jamais offusqué plus que ça.Bref, je ne vais pas vous embêter ici avec tous les aspects de toutes ces questions qui pourraient faire l’objet d’une longue discussion… (d’où mon intervention à propos de cette BD !)

Christian Zeender1
Christian Zeender1
il y a 2 années

Oui, petit moment d’humeur, ne le prenez pas mal. Il se trouve que je travaille à une étude sur l’utilité des écoles de cinéma et de photo, des métiers qui s’apprennent selon moi d’abord sur le tas. Je me suis un peu laissé entrainer… La plus belle leçon que j’ai reçue, c’est Mario Chiari, décorateur de Visconti, qui me l’a donnée : “N’oublie jamais que a caméra n’a qu’un seul oeil”. Et j’ai passé pas mal de temps à Parme avec Vittorio Storaro, le chef-op de Bertolucci pour Novecento – le tournage à duré une année.

Christian Zeender1
Christian Zeender1
il y a 2 années

Oui bien sûr, je comprends. Moi-même je m’abstiens ici de parler des livres que je lis en ce moment : Proust amoureux de Mimouni, Minuit au Pera Palace -j’ai été à plusieurs reprises un hôtede palace de Consatantinople en habitant ls chsmbre Pierre Loti et j’aimais prendre les sublime ascenseur avant de boire un raki au bar – ainsi que Murnau des ténèbres.

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

Pas de souci, je comprends que mon irruption avec ce sujet un peu perturbant de bon matin puisse surprendre !
Ceci dit, il se trouve que j’approuve totalement votre point de vue sur les métiers qui ne s’apprennent que sur le tas, C’est ce que j’ai fait pour le mien, du dessin pour l’archéologie, dessins d’objets et plans des structures dégagées, en trainant mes guêtres sur de nombreux sites prestigieux du Proche-Orient. Et que le meilleur moyen de comprendre un objet ou un site est de mettre les mains … dans la poussière et que toutes les nouvelles technologies, drones, photogrammétries, etc, n’ont aussi qu’un œil pour capturer le sujet !

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

Il est évident qu’il y a des lectures bien plus palpitantes que celle de Jancovici et que les charmes de l’orient on un autre attrait que les perspectives qu’il annonce…

Christian Zeender1
Christian Zeender1
il y a 2 années

J’avais aussi pas mal trainé par là. Palmyre et Ebla entre autres.Ce dernier site avait fasciné mon ami Nabil Maleh, le grand cinéaste syrien, au point d’avoir donné le nom d’Ebla à sa fille.

Jefrart
Jefrart
il y a 2 années

Comme quoi les diversions peuvent mener loin, et avoir du bon ! J’ai moi plus travaillé sur les périodes classiques et plus récentes, que sur les périodes anciennes.

21
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x