Vous le savez peut-être, je n’aime pas photographier avec mon iPhone.
Pour les photos de scène, pour les portraits, pour les photos familiales, j’ai mon Nikon Z8 avec ses superbes objectifs.
Pour les vacances, les visites de ville, j’ai bien essayé de le prendre avec un 28 mm f2, mais, dès que l’on veut « voler » une image, on est vite repéré et voyez-vous, un appareil tel que le Z8, même avec un tout petit objectif, ça impressionne.
Alors bon, j’ai essayé de photographier à l’iPhone, avec différentes poignées dont la dernière, la Leica, testée ici (j’avais écrit auparavant un test sur a poignée SnapGrip ici et un autre sur la et sur la poignée Fjorden ici).
La seule qui m’a convaincu, c’est la Leica, mais voyez-vous, lors d’une visite familiale à Paris en février, j’ai passé la première journée à me forcer à utiliser mon iPhone avec elle, ce qui a bien joué pour des séances de photos en famille avec mes petits-enfants parisiens.
Mais dès qu’il s’agit de photographier dans la rue, le fait que cette poignée prenne 5 secondes à se connecter quand elle est éteinte, puis se déconnecte au bout de 30 minutes au maximum, exigeant la même reconnexion de 5 secondes, ça n’est pas le top du top.
Cela dit, j’avais prévu le coup, puisqu’avant de partir, j’ai fait l’acquisition d’un Fuji X100 VI que j’ai pu utiliser assez intensément les deux journées suivantes, toujours en vadrouille dans les rues de Paris.
Faut dire aussi que nous avons visité l’exposition Robert Doisneau au musée Maillol, elle est magnifique, et on en sort en se disant une chose, à choix parmi les deux suivantes:
- je suis une merde, et jamais je n’arriverai à la cheville du Monsieur, j’arrête la photo
OU
- purée, c’est beau, et si, avec tes maigres ressources en matière de photographie, tu essayais de t’inspirer du Monsieur, même si tu restes bien évidemment à des kilomètres de son talent?
J’ai donc pris pas mal de photos à Paris avec cet appareil, en essayant de photographier un peu les gens.
J’ai même pris de photos de RAW, en RAW.
Depuis, j’ai également utilisé le Fuji X100 VI lors d’une manifestation de soutien à Gaza, à Berne, en juin 2025.
Et puis, j’ai encore utilisé ce Fuji jusqu’à la semaine passée, notamment pendant mon voyage dans le nord-nord-ouest de la France…
Table des matières
Le Fuji X100 VI: un appareil rare
S’il y a un appareil qui a fait parler de lui quand il est sorti, en février 2024, c’est bien ce Fuji X100 VI!
Impossible de le trouver pendant des mois (ou alors un peu par hasard, comme ça m’est arrivé, parce que j’étais dans le magasin lors d’un abandon de commande).
Encore ce jour, en août 2025, pour le modèle bicolore, il faut 3 semaines pour l’obtenir, et le modèle noir n’est pas livrable avant octobre.
Tout le monde en parle, souvent en bien, parfois en mal, mais il ne laisse pas indifférent.
Ce qui est super avec le Fuji X100 VI
Le Fuji X100 VI est un appareil doté de pas mal de belles qualités.
Un bel objet qui fait parler
Alors, que ce soit bien clair, cet appareil, c’est un peu comme si vous touchiez un objet précieux: il est beau, incroyablement bien construit, compact et dense à la fois.
Son revêtement est superbe, je précise que j’avais le bicolore (comme vous pouvez le voir, pris sur une terrasse de bistrot à Berne, à l’arrache, comme toutes les autres photos de l’appareil que je vous montre plus bas), pour moi le plus sympa des deux modèles disponibles (l’autre est tout noir, pas mal aussi, mais bon).
Croyez-le ou pas (je préférerais la première option), cet appareil attire les gens qui viennent spontanément vous parler.
Quand je l’avais en bandoulière, je crois qu’au moins une fois par jour, j’entendais:
Alors comme ça, vous vous êtes mis à l’argentique?
C’est un Leica?
Vous être revenus à un appareil vintage?
Ouaouh, il est beau, votre appareil!
J’en passe, et des meilleures, mais ce qui caractérise mes interlocuteurs d’un instant, c’est toujours un immense sourire!
Je ne vous cache pas qu’entre le Fuji et la Renault 5, j’ai été servi en matière de sourire et de discussion avec les gens, depuis le mois de février.
Un viseur tellement agréable, même si…
Le viseur du Fuji X100 VI vous offre deux choix:
- viseur optique
- viseur électronique.
Et comme le viseur électronique n’est pas un foudre de guerre (loin de là), c’est bien l’optique qu’il faut utiliser.
Ce viseur est vraiment agréable, et les informations nécessaires sont données en transparence.
Dommage qu’une partie de la visée soit mangée par l’objectif qui empiète sur le coin du bas à droite.
Encore plus dommage qu’avec un pare-soleil (non livré), cet empiétement devienne carrément rébarbatif, prenant un bon cinquième de la visée, au point que j’utilisais ledit pare-soleil comme bouchon (avec le cache objectif fixé dessus).
De plus, viseur optique signifie que… vous ne voyez plus quand l’appareil est déréglé, mais de cela, je vais parler plus bas.
Des barillets et des bagues pour presque remplacer les molettes
L’autre chose qui m’a tout de suite plu, dans cet appareil, c’est le retour à des réglages tels qu’on les connaissait avant l’arrivée des molettes, à savoir
- une bague pour le diaphragme (avec possibilité de la placer sur A pour donner la priorité à l’ouverture)
- un barillet pour régler la vitesse (avec possibilité de la placer sur A pour donner la priorité à la vitesse).
Notez que si la bague et le barillet sont en mode A, vous êtes en mode programme.

- un réglage des ISO dans le même barillet, en soulevant la couronne, pouvant lui aussi être placé sur A, à savoir ISO automatiques.
Et ça, c’est vraiment sympa, et ça permet d’être immédiatement au courant des réglages actifs de l’appareil, sans passer par un écran.
Cela dit, à l’usage, je trouve que la molette avant et arrière des hybrides est presque plus pratique, quand on a l’œil collé au viseur.
Mais bon, j’aime bien cette proposition de retour au classique sur laquelle joue énormément Fuji (mais aussi Nikon, notamment avec Z fc).
Ce qui me plaît encore avec le Fuji X100 VI
J’aime bien sûr le poids modéré (il n’est pas tout léger, il est vraiment « dense »), le soin magnifique porté à sa fabrication.
La focale? 35 mm (équivalent plein format, n’oublions pas que ce Fuji est doté d’un capteur APSC), idéale pour la photo de rue, moins pour la visite des villes.
La définition de 40.2 MP permet également de recadrer dans l’image. Certes, mais nous allons voir qu’elle a au moins un inconvénient, cette définition…
La possibilité de personnaliser son appareil comme nul autre pareil: je n’ai jamais vu autant de commandes de menus que dans cet appareil, il me semble. Le problème, c’est que…
Ce qui me plaît beaucoup moins avec cet appareil
Vous avez lu le titre de cet article: j’ai revendu ce Fuji X100 VI et vous allez voir que ce n’est pas pour rien.
Rebondissons sur la dernière qualité évoquée ci-dessus, celle que j’ai abandonnée en suspension.
Un menu carrément bordélique
Je suis habitué aux menus compliqués de toutes les marques.
Toutes présentent des menus dans lesquels il faut fouiller en profondeur, Nikon, Sony, et même Canon qui est le fabricant qui déploie le plus d’efforts dans ce domaine (si l’on fait abstraction de Hasseblad qui semble présenter une interface juste parfaite de simplicité et de clarté, c’est donc possible, nom d’une pipe!).
Et Leica, avec, notamment, son Q3 dont je vais vous parler un jour parce que j’ai l’occasion de le tester.
Mais alors là, avec le Fuji (et ne me dites pas que c’est une question d’habitude, j’ai eu l’appareil 6 mois dans les mains), c’est le pompon!
Je trouve une fonction après l’avoir cherchée pendant je ne sais pas combien de temps un peu par hasard, et quelques minutes après, je ne me souviens plus où elle est, tellement les menus sont touffus!
Au point que j’ai pris des notes, et que je suis obligé de m’y référer.
Au point aussi que j’ai pris une Master Class très utile, notamment pour savoir par où commencer, mais il faudrait y revenir sans cesse, tant il est difficile de se souvenir des méandres de l’interface des menus.
Ce n’est pas que ma mémoire défaille (quoique…), c’est vraiment que tellement de choses ne sont pas intuitives…
Tout le contraire de la simplicité pourtant vantée avec les bagues et les barillets (simplicité bien réelle, elle)!
Bref, j’ai été autant impressionné par la puissance des réglages que par leur complication.
Rien que ça m’a pas mal agacé.
Un autofocus compliqué
L’autofocus de Fuji X100 VI est moyen, loin des cadors du marché qui font bien mieux, mais il fonctionne assez bien.
Sauf que, comme les menus, il est compliqué, et c’est un nikoniste qui vous parle, Nikon n’étant pas dans les plus simples au niveau de l’utilisation de l’autofocus (qui lui est vraiment performant).
Vous avez des zones qui se confondent avec des choix de collimateur, vous n’y retrouvez plus vos petits. Un petit coupe de molette (il y en a une, mais oui!), et vous avez changé de mode autofocus, de zone, ou alors votre collimateur est passé dans un coin, sans que vous soyez au courant.
C’est insupportable pour moi.
Un mode tactile impossible à vraiment supprimer
Comment ce collimateur passe-t-il dans un coin?
Parce que le mode tactile de l’appareil s’est activé tout seul!
Certes, vous pouvez le désactiver en appuyant (hem) sur l’icône montrée ci-dessous sur l’écran arrière, qui elle reste de toute façon tactile:

Eh bien, croyez-le ou pas, malgré sa toute petite taille, il arrive plus souvent qu’à son tour que l’on repasse en mode tactile en appuyant sur la même icône qui comme je l’ai dit, elle, reste tactile, même si tout le reste de l’écran est désactivé.
Le nombre de photos où j’ai photographié n’importe quoi puisque l’appareil prend des photos au moment où l’on appuie le doigt… ou autre chose, comme votre veste parfois sur l’écran, en mettant la mise au point là où on a appuyé, vous ne pouvez pas savoir!
Il y a peut-être une fonction qui permet de désactiver complètement cette fonction de tactile, mais je ne le crois pas, en tout cas, je ne l’ai pas trouvée.
Le recadrage accidentel
L’un des soi-disant plus du Fuji X100 VI, c’est de pouvoir recadrer dans l’image, au vu de la belle définition offerte.
Bon, moi, je préfère recadrer par la suite, le cas échéant.
Ce recadrage est peut-être quelque chose d’utile pour certains, mais qu’il ne vienne pas m’importuner sans que je l’aie demandé, je m’explique:
L’une des bagues du Fuji X100 VI, c’est celle qui permet, en mode manuel, de faire la mise au point.
Eh bien, par défaut, lorsque vous n’êtes pas en mode manuel, vous tournez cette bague (accidentellement, ça arrive souvent), et vous changez le recadrage de l’image!
Vous me direz que vous le voyez à la visée?
Mais pas si vous êtes avec LE bon viseur optique! Certes, un petit rectangle en transparence (blanc) vous montre ce que vous allez prendre en photo, mais la plupart du temps, puisque vous ne pensez pas recadrer, vous n’y faites pas attention!
Encore heureux qu’en RAW + JPEG, le RAW garde l’image entière, puisque vous ne recadrez qu’en JPEG, mais bon, tout de même…
Par contre, si vous ne photographiez qu’en JPEG, votre cadrage ne correspondra plus à vous attentes.
D’autres déréglages accidentels
Les désagréments ci-dessus sont déjà assez pénibles, mais au fil de mes six mois d’utilisation de l’appareil, d’autres accidents sont venus s’y ajouter.
La bague de réglage de l’exposition est crantée, mais pas suffisamment, ce qui fait que vous vous retrouvez de temps en temps en sous ou surexposition.
Et, là non plus, vous ne le voyez pas, parce que vous prenez vos images avec le viseur optique.
Embêtant tout de même, surtout si vous travaillez en JPEG (ce que je ne vous conseille pas, voir plus bas).
Autre chose? Je me suis souvent retrouvé en mode rafale, sans avoir rien demandé.
Certainement un appui sur le bouton « Drive » à l’avant de l’appareil, mais sans l’avoir désiré.
Et bam, vous prenez de nombreuses images sans l’avoir demandé (c’est qu’il est rapide, le bougre!).
Un écran arrière difficilement lisible au soleil
L’écran arrière du Fuji X100 VI n’est pas mauvais, mais il est simplement illisible au soleil, à moins de pousser au maximum sa luminosité, et encore.
Il est pratiquement impossible de photographier avec lui, en plein soleil.
Certes, c’est un défaut récurent des appareils modernes, mais la concurrence fait souvent bien mieux, tout de même.
Un appareil avec lequel je ne suis pas tranquille
Vous le comprendrez en lisant les points qui précèdent, avec ce Fuji X100 VI je ne suis jamais tranquille.
Certes, il m’est arrivé, avec d’autres appareils, de faire des erreurs: par exemple, d’avoir oublié de revenir en mode ISO autos alors que j’avais réglé, quelques jours plus tôt, les ISO sur 6’400.
Mais ça, c’est de ma faute, et je m’en veux déjà assez.
Là, avec ce Fuji X100 VI, je ne suis jamais tranquille, je ne sais jamais si l’appareil est réglé correctement.
Il n’y a pas eu un seul jour, pendant mon voyage en Bretagne, où cet appareil ne m’a pas joué des tours.
Et parlons de la qualité des images
Venons-en sur la qualité des images de l’appareil.
Les JPEG et les rendus de films Fuji, une force de l’appareil?
Dans les blogs dédiés, beaucoup de créateurs de contenu (c’est comme ça qu’on les appelle?) nous expliquent que la grande force de Fuji, c’est de proposer des rendus de films argentiques ou modernes, que l’on peut aussi télécharger sur le site de Fuji.
Certes, c’est sympa, mais ça ne fonctionne qu’en JPEG, ce qui est d’ailleurs le cas de toutes les marques qui proposent ces types de rendus.
Et alors, excusez-moi, mais j’ai fait beaucoup de photos RAW + JPEG, pour être à même de les comparer.
Oui, certains JPEG sont plus claquants que les RAW, certains noirs et blancs sont chouettes aussi, sauf qu’en JPEG, la dynamique de l’image n’est pas bonne, alors qu’elle est tout à fait acceptable en RAW.
Pour moi qui suis un tantinet exigeant dans le domaine, c’est vraiment une nécessité: il faut photographier en RAW avec un Fuji X100 VI, sans compter qu’il est toujours possible d’ajouter des effets de films après coup avec un logiciel comme FilmPack à ses RAW, ou encore avec des presets dans Lightroom.
Donc la force des rendus JPEG n’en est pas une, en tout cas pas pour moi et ceci dès que les lumières sont un peu difficiles, point barre.
Pour les autres situations, l’avantage des rendus JPEG, c’est qu’ils ne sont pas interprétés par Lightroom parce que justement…
La qualité des Raws (RAF chez Fuji) dans Lightroom
Les appareils Fuji APSC sont basés sur la technologie X-Trans qui est censée apporter plus de qualité que les capteurs à matrice de Bayer, notamment parce qu’ils peuvent se passer de filtre passe-bas.
Sauf que depuis bien des années, beaucoup d’appareils basés sur une matrice de Bayer peuvent se passer d’un filtre passe-bas, les Sony par exemple, les Nikon Z8 notamment.
Les capteurs basés sur la matrice de Bayer ont énormément progressé ces dernières années, et les X-Trans n’ont plus vraiment d’avantages sur eux.
Par contre, bonjour les difficultés avec ces capteurs lorsqu’on les passe dans certains logiciels!
DxO Photolab, par exemple, vient d’accepter ces capteurs avec la version 8, mais en version bêta et le Fuji X100 VI n’est toujours pas supporté pour le débruitage le plus puissant de l’appareil. (N.D.L.R.: le tout nouveau DxO Photolab 9, testé ici, supporte enfin les nouveaux capteurs et donc le X100 VI).
Lightroom?
Les rendus des RAW sont vraiment décevants, et ce n’est qu’en utilisant le nouveau profil « Adaptative Couleur » faisant appel à l’IA que je retrouve des tons agréables, sauf que ce profil ne peut pas être utilisé partout, donnant parfois des rendus proches de photos HDR comme on les trouvait moches à l’époque.
Seule solution: passer par les profils dédiés à l’appareil, notamment ceux proposés par Jean-François Vibert.
Ce qui m’a toujours un peu déçu, c’est que j’avais l’impression d’un léger manque de netteté avec mes images.
Un manque de mordant.
Un manque de piqué, si vous préférez.
Un petit exemple de photo de paysage tout bête et inintéressante, mais qui explique bien ce que je veux dire ici:

Je précise que cette photo est particulièrement démonstrative du problème, que d’autres s’en sortent mieux, mais je ressens toujours ce sentiment de manque de mordant dans mes images, même s’il n’est pas aussi extrême.
À 100%, ça manque de piqué, je suis désolé…
Et je suis allé voir sur Internet si j’étais seul à ressentir ce problème.
Eh bien non!
Il semblerait que l’objectif 23 mm (équivalent 35 mm en plein format) f2 qui est strictement le même que celui du Fuji X100 V, n’arrive pas tout à fait à suivre l’arrivée de la haute définition du capteur de la version VI.
Certains disent qu’il suffit de fermer d’un cran ou deux le diaphragme pour retrouver un bon piqué, je n’en suis pas persuadé, voir le premier exemple ci-dessus.
En conclusion
Ce voyage en Bretagne a été pour moi la confirmation de ce que je pensais depuis plusieurs semaines: ce Fuji X100 VI n’est pas fait pour moi, il ne me rend pas serein lorsque je photographie.,
Au point que les derniers jours, cet appareil m’agaçait tellement que c’est avec mon iPhone 15 Pro Max que j’ai photographié, et je peux vous dire que la colorimétrie de ce dernier était bien meilleure que celle du Fuji.
Il n’y a pas photo: une fois dans Lightroom, je préfère les images du SmartPhone à celles du compact.
Je me suis donc résolu à vendre cet appareil, comme je l’ai écrit en titre, et purée ce que je me sens libéré!
Amis fujistes, pas besoin de me cracher au visage, si ce Fuji X100 VI vous convient, j’en suis très heureux, simplement, il ne me convient pas, et je dis simplement pourquoi.
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100 % d’accord : le mien est à vendre… !
Je ne comprends toujours pas pourquoi certains n’essayent pas la planète OM (Olympus). Oui je sais c’est du µ4/3, mais, même pour des expos, je trouve que ça suffit, et si vraiment… il y a des logiciels maintenant.
En tous cas, cet article m’a bien fait rire.
Hé, salut Guru!
J’ai regardé, même depuis leurs déboires, mais je n’ai pas été convaincu.
Et puis, j’aime trop ce qu’on appelle le plein format.
Peut-être était-ce d’ailleurs un problème pour moi, l’APSC de ce Fuji.
Leurs déboires? Tu veux parler de la transition Olympus -> OM Systems?
Je pense que certains les ont enterrés beaucoup trop tôt: ils ont déjà sorti plusieurs boîtiers, sans compter leurs objectifs récents: 90mm macro, 150-600mm…
Et le boss en France, Thierry Bourque, s’implique énormément dans la communauté pour organiser des formations et autres ateliers photos.
Je pense justement que c’est une marque à (re)considérer!
Établir une liste de menus dans un boîtier photo n’est qu’un exercice de programmation.
il faut donc avoir une idée claire, précise et synthétique de ce que l’on veut mettre en place.
Si j’ai bien compris, le génie des créateurs du boîtier n’a pas été suivi du même niveau de génie des programmeurs des menus.
Ça interroge.
Les ingénieurs ne sont pas toujours photographes.
Idem avec certains problèmes évoqués au niveau physique de boîtier.
Adepte de la marque Nikon et désireux d’être moins lourd et encombré par des boîtiers volumineux et de nombreux objectifs, je me suis tourné vers Fuji à l’époque du XT1 que j’avais équipé d’un 35 mm… il y a donc quelques années maintenant, le bonheur de photographier léger 🙂
Aujourd’hui, XT4 et XT5 avec une kyrielle d’objectifs…. Bel exploit 🙂
Effectivement les menus chez Fuji se résument à un dédale de couloirs plongés dans l’obscurité où l’on cherche compulsivement un interrupteur pour allumer la lumière (en souhaitant ardemment que l’ampoule ne soit pas grillée).
Merci pour cet article lu, comme d’habitude avec beaucoup de plaisir.
Je fus tenté d’acquérir le X100 VI, toujours ce fantasme de photographier léger :-), incorrigible rêveur, mais les délais absolument délirants (et peut-être un semblant de raison) m’ont finalement fait renoncer.
A propos du rendu, vous mentionnez les profils de J.F Vibert, pourquoi pas, en ce qui me concerne, dès que les conditions de lumière deviennent délicates à mon goût, j’utilise un profil linéaire pour lire les Raw, avec certes du travail en plus pour arriver au rendu désiré
Serin ou plutôt serein, facétie du correcteur ?
Au plaisir
Oh que c’est bien dit!😂
Le profil linéaire, faudra que je m’y mette un jour, j’ai essayé une ou deux fois, c’est bien, mais c’est vrai que ça demande du travail.
Peut-être que l’on peut utiliser ensuite un petit preset de gauche dans un deuxième temps, une fois que l’on est content de ses réglages?
J’ai corrigé le serein!:-)
Le meilleur autofocus, c’est quand il n’y en a pas. Un bon vieux ( ou pas ) Leica totalement manuel en zone focusing et tout y est. Qualité , piqué , en street photo. C’est vraiment l’idéal
Bel article! Je resterai fidèle à mon vieux RX1R2…
Et merci pour le serin, même sans photo!
Il faut regarder l’appareil pour voir si le petit oiseau va sortir
😀
J’ai corrigé!
Bonjour,
merci pour cette expérience utilisateur.
Lorsque je recherche la légèreté en plein format, j’utilisais mon RX1R MKII.
Heureux possesseur depuis quelques semaines de la version MK III, je trouve ce boîtier plein format hyper léger comme le compagnon idéal pour qui veut (peut) se contenter d’un 35mm.
Je vous encourage à le tester si ce n’est pas déjà fait et si l’occasion se présente.
A bientôt.
À 5000 euros le bouzin, autant aller jusqu’aux 6500 du Leica M3. Mon banquier me l’interdit…
Aussi heureux possesseur d’un Leica Q3, la différence de taille et de poids est flagrante lorsque l’on a les deux en main.
Et à l’utilisation, une grosse différence d’autofocus est aussi perceptible. Chacun des deux à ses qualités et ses défauts, voir des différences (35mm ou 28mm), mais pour qui recherche la compacité, il n’y a pas « photo ».
A bientôt
Je teste actuellement le Q3, son autofocus n’est pas aussi bon qu’un Nikon, un Canon ou un Sony, c’est clair, mais il fait plutôt bien le job.
C’est effectivement un super appareil photo.
Supers boitiers à ≥ 5000€, non merci
optique (mais non celle du capteur) On peut descendre au 1/15 sans problème (si on n’a pas la tremblote)
Et le Q3 43, il paraît qu’il est encore supérieur (comment est-ce possible!!!).
La stabilisation optique du Q3 est très bonne.
Combien de batteries pour tes voyages?
autant on peut donner un avis sur un boîtier, autant le choix d’un objectif est très personnel.
le 43 à un splendide summicron qui ouvre à f2 comme tous les summicron
en ce qui cnceerne les batteries j’en avais 3 mais j’étais dans des conditions très particulières : dans les Hautes Terres en Islande 5jours loin de toute civilisation et idem en Jordanie, pas mal de désert. J’ai utilisé les 3 mais je ne suis pas tombé en rade. Un peu plus de 1 000 photos.
si je puis me permettre un conseil, un photographe Yann Mathias a fait une master class sur le Q3, 28 et 43 très didactique (à mon goût)
il me semble de très bon conseil et il répond rapidement lorsqu’on le contacte
J’ai fait cette formation la semaine passée.😀
Elle est très bien, très claire, mais il rappelle des évidences (rôle du diaph sur le booké par exemple) qui pourraient être évitées, il me semble que l’acheteur du Leica (idem avec des hybrides « expert ou pro » a passé ces étapes.
Mais c’est chouette, je crois que j’ai bientôt vu tout ce qu’il a fait paraître sur la marque.
Le site est sympa, aussi:
Si je lis entre les lignes, tu as sauté le pas 😁
très bel appareil, très bel objectif
Tout à fait…
Tu peux même mettre un « s » à appareil…😀
https://lejournal.cnrs.fr/diaporamas/curieuses-images-de-science
J’étais tenté à l’époque, c’est un super appareil, mais là, acheter un appareil de 2016, je suis plutôt méfiant.
La version III vient de sortir en août de cette année 😉
Ah! Vous parliez de la version 2.
Je vais regarder, merci!
En même temps, Doisneau, il ne s’enquiquinait pas avec des menus à rallonge… 😉
C’est vrai, mais alors, quel temps passé au tirage!
j’allais le dire, une péloche, un diaph, une vitesse…. et c’est comme ça que je fais avec mon xpro III. Je ne m’occupe des menus que pour formater la carte.
Donc tu prends les images en JPEG si tu parles de péloche.
Et tu t’en fiches de la dynamque, ou alors, elle est meilleure que sur le Fuji X100 VI ?
Toujours en raw, et je me fous de la dynamique,< depuis toujours, je fais avec ce que j’ai.
Si tu photographies toujours en RAW, c’est bien que la dynamique (entre autres) reste importante pour toi.😀
C’est surtout le caractère non destructif du raw qui m’intéresse. Et le fait d’améliorer des images de 2002 avec les tout derniers logiciels.
Pareil pour moi !
Absolument d’accord! Tu reprends des photos de 2002 avec le dernier DxO, et c’est comme si tes images étaient sorties avec un des derniers boîtiers sur le marché (ou presque😀).
Ne me parle pas de DXO !
En ce jour du 19 août concours photo scientifique organisé par CNRS et son homologue canadien
Bonjour,
Super article, merci beaucoup !
Dans ton article, tu dis que tu es un Nikoniste. Je suis curieux de te poser la question : vas-tu investir dans le Nikon Z f pour remplacer le Fuji X100VI ?
Bon début de week-end !
Bonjour Nicola,
Oui, j’y ai pensé, il reprend les codes des appareils vintages.
Cela dit, j’aime bien recadrer, et 24 MP, c’est suffisant, certes, mais ça ne permet pas de le faire beaucoup.
Mais j’adore cet appareil!
Mettre un bon boîtier (que Doisneau aurait adoré) entre les mains d’un mauvais « photographe ». Et oui les RAW sont bruts comparé aux jpeg…. et comme vous avez découvert Doisneau 🙂 (il n’est jamais trop tard 😀) …c’est un comme pour l’argentique votre tirage modifié (par masquage généralement) n’impacte pas le négatif…. Gardez votre Z8 en mode tout automatique, mais surtout essayez de comprendre pourquoi vos photos sont « plates »… la technologie n’y est pour rien
Et dire que je n’ai cessé d’écrire, depuis 20 ans au moins, que le RAW était LA solution, et qu’ici encore, je dis qu’il faut photographier en RAW avec ce Fuji…
C’est de lynchage anti Fuji. La qualité d’un photographe n’est pas d’avoir le meilleur appareil photo mais sa propre inspiration quelque soit son appareil. Doisneau n’avait pas la possibilité de postraitement. Celles ci sont » brut de fonderie ». Pensez y Monsieur. C’est ainsi que vous progresserez. Ou bien rachetez des pellicules. Vous connaîtrez ainsi votre qualité. Je ne suis pas payé par Fuji. J’ai eu des Sony, Canon,Pentax. J’en été satisfait. Je suis maintenant chez Fuji pour ne pas être obligé de postraiter.
Bien sûr que Doisneau avait la possibilité de post-traiter ses photos: ça s’appelle le tirage.
Avez-vous déjà observé le plan de tirage d’un photographe argentique en noir et blanc?
Si ce n’est pas du post-traitement, ça…
Je connais que Nikon et chez eux on peut sortir un JPEG avec un picture contrôle particulier ET un RAW à ajuster à notre guise. Si j’ai compris ce que tu disais, sur le fuji si tu appliques une simulation de film à la prise de vue, tu n’as que le JPEG et pas de raw ?
Si si, on peut, bien sûr, sortir du RAW ET du JPEG.
Et on peut retravailler ses RAW de manière à retrouver un rendu propre à ses goûts, ou alors propre à un rendu de film.
Mais la grande qualité, selon beaucoup de créateurs de contenus, c’est justement que, selon eux, les rendus de films permettent de se passer de post-traitement.
Je ne trouve pas: avec le JPEG, on ne récupère rien ou presque dans les hautes lumières, alors qu’avec le RAW de cet appareil, on peut le faire.
Donc il faut, selon moi, sur cet appareil, photographier en RAW et post-traiter, ce qui ne me dérange pas, soit dit en passant, je l’ai toujours fait et avec tous les appareils.
Toujours distrayant de lire les (bien trop longues) diatribes des amateurs ayant trop de matériel et pas assez de talent. Merci à vous et vos semblables de nous offrir du matériel sur le marché de l’occasion. C’est votre seule utilité.
Mais c’est un plaisir.😉
Ce serait passionnant de pouvoir apprendre grâce aux liens vers vos travaux que vous pourriez joindre à un prochain message.
Quelques « points négatifs » sont faciles à régler.
Il est tout à fait possible de désactiver complètement l’écran tactile dans les réglages. De plus, il me paraît intéressant de modifier la fonction dédiée à la bague de mise au point lorsque l’on utilise l’autofocus, voire de la désactiver complètement, cela évite des recadrages intempestifs.
Les menus sont effectivement un peu fouillis, cela dit j’y suis tellement habitué depuis des années que je trouve facilement ce que je cherche.
La qualité du dématricage avec Lightroom peut être discutée, mais, dans la très grande majorité des cas, il faut vraiment chercher la petite bête pour voir un réel manque de piqué. Nous sommes devenus un peu des cinglés du piqué avec les appareils numériques. Ce n’est pas ça qui fait une bonne photo.
Cela m’amène à la qualité des images jpg qui, pour moi, est vraiment exceptionnelle. Je ne photographie d’ailleurs presque plus qu’en jpg car je ne vois plus réellement d’intérêt à passer des heures à modifier des photos de vacances ou de tous les jours sur un ordinateur. Alors, bien sûr, la dynamique est meilleure en RAW mais à chercher une dynamique incroyable tout le temps, les images perdent de leur authenticité et finissent par toutes se ressembler avec des effets aberrants, comme des ombres parfaitement exposées en contre-jour et un ciel d’un bleu pétant. Il n’y a plus aucune contrainte, plus de créativité. Mais c’est un point de vue.
Le X100VI est pour moi un appareil à faire des photos d’une qualité exceptionnelle très rapidement sans se prendre la tête tout simplement. J’utilise même le transfert directement sur mon téléphone et ne passe même pas par Lightroom.
Bref, il s’agit probablement d’habitudes à prendre également pour profiter de cet appareil.
Oui, je l’écris d’ailleurs dans l’article, on peut désactiver plein de choses.
Cela dit, l’écran tactile, complètement, dites-moi où, dans les menus.
Si c’est le cas, rien que le fait que je n’aie pas trouvé montre que les menus sont bien trop compliqués, je ne suis pas un manche total, tout de même.😀
J’ai bien évidemment désactivé les fonctions de la bague de mise au point, il n’empêche, mon appareil était souvent déréglé (voir dans l’article) sans que je n’aie rien demandé.
Quant à l’habitude… J’ai eu cet appareil 6 mois, il m’a fallu bien moins de temps que ça pour m’habituer au Nikon, et encore beaucoup moins pour m’habituer au Leica Q3.
Cet appareil est juste un bonheur en matière d’interface, en matière de clarté et de simplicité.
Même pas besoin de lire le mode d’emploi.
Quant aux JPEG, vous avez raison, on peut supporter un manque de dynamique, mais quand on s’est habitué à ne prendre des photos qu’en RAW, depuis 20 ans, c’est difficile de se dire qu’on va regretter ce manque de dynamique sur une photo où, justement, on en aurait voulu.
Et comme je ne suis pas le genre à changer le ciel de mes photos avec un logiciel comme Luminar, par exemple, je continue à photographier en RAW.
Il est difficile de convaincre le convaincu…. et pourquoi essayer de convaincre d’ailleurs.
Effectivement les menus Fuji sont tordus.
Je possède un XT5 et ai consacré une matinée à me prendre la tête pour comprendre le truc.
Et puis, une fois passé ce cap, c’est le bonheur 😀
D’une façon générale, je choisis mon film, je reste en JPEG et avec une bonne exposition aucune mauvaise surprise, précis, net, claquant, juste parfois un recadrage. Pour les séquences compliquées, c’est JPEG + RAW
Peu de temps devant l’ordinateur. Les optiques sont excellentes, mais là attention 😡, faut prendre les optiques récentes. Evitez les optiques anciennes f:2 de 23mm, 35mm bourrées d’AC, sauf les 50mm et 90mm toutes deux excellentes, notamment le 90 superlatif. Toutes les focales fixes f:1,4 sont merveilleuses et le dernier zoom version II f:2,8/16-55 un must. Même le petit zoom compact f:2,8-4,8/16-50 est vraiment très bon.
J’ai une assez bonne expérience de ce qui se fait (se faisait) de mieux chez les jaunes, rouges et la pastille de Wetzlar et me suis finalement orienté récemment vers FUJI pour essentiellement des questions de poids/encombrement/possibilités. Pour la dynamique faire du bracketing d’expo. De toute façon l’oeil humain c’est > 20 alors que le « pauvre » Hasselblad X2DII Moyen Format de 100 Mpx tout récent est annoncé à 15,3.
Aucun problème avec l’APSC, je tire du A2 sous EPSON 3800.
Je recommande sur YouTube le site » PAL2TECH « vous y trouverez les meilleures recommandations d’un expert indépendant sur l’enseigne FUJI et notamment XT5. Une richesse pour obtenir toutes les réponses aux questions les plus fines. Mode humoristique en plus.
Au fait, je pratique encore aujourd’hui avec un R6II et Leica M240 M-P, donc aucun lien particulier avec FUJI. Mon propos étant d’apporter un éclairage à François qui s’interroge.
Pour un appareil plus compact que le Z8 il y aurait le Z50 II non?
Bonjour,
Le problème de piqué de l’image ne vient pas du capteur du Fuji X100 VI, mais du traitement des RAW Fuji par Lightroom.
Essayez de les développer avec Capture One et vous verrez la différence.
Cordialement.
Bonjour,
Merci de cette remarque et du lien vers le film de Nohcab que j’apprécie beaucoup.
Magnifique démonstration d’ailleurs, que je viens de regarder. Je constate avec plaisir que j’ai résumé, sans le savoir, ce que l’auteur explique, dans mon article ci-dessus.
Oui, Lightroom n’est pas bon avec Fuji, DxO était à la peine aussi mais a corrigé le coup avec la version PhotoLab 9 testée sur ce site.
Cela dit, c’est bien ce que j’expliquais plus haut: la matrice X-TRANS pose des problèmes à presque tous les logiciels de dématriçage et n’apporte plus grand-chose face à la matrice de Bayer.
Beaucoup disent que Fuji devrait revenir à des choses plus simples pour les éditeurs, dont pour leurs clients.
Cela étant, je viens de retourner sur l’image qui posait des problèmes, comme bien d’autres de paysages, et dont je parlais dans l’article: dans PhotoLab 9, le progrès est là, mais pas flagrant.
Comme beaucoup sur le Web, je pense que l’objectif n’est malgré tout pas à la hauteur et que Fuji aurait dû le revoir au moment de passer à 40 millions de pixels.
J’ai le mien depuis une semaine et j’arrive à la même conclusion. C’est laborieux les menus et idem le recadrage accidentel en voulant juste regarder la photo et zoomer un peu…
Hello,
Alors je te suis presque à 100%
Le rendu des profils couleurs de Fuji. En Jpg, c’est sympa, mais ça manque de Dyn. Ou il faut mettre les paramètres DR200 ou DR400 pour qu’il fasse un pseudo HDR. Et comme toutes les situations n’ont pas besoin de ce genre de « bidouilles » car tu perds en contraste. Ben tu jongles dessus.
Pour ce qui est du RAW… c’est la galère. Pour avoir les profils de couleurs il faut passer par Raw file converter… Et punaise! C’est lent! Car tu dois brancher ton APN sur l’ordi pour que le dématricage et l’association du profil se fasse par ton APN. Ce qui est lent.
Puis grâce au TIFF (ou si tu as de la chance au DNG) tu importes ceci dans Lightroom…
Trop trop trop long. Ou alors, il faut capteur one.
Mais l’avantage de passer par Raw file converter, c’est que tu as le piqué superbe de Fuji… Qui est catastrophique si tu passes directement par Lightroom… et tu as le profil couleur…
Pour le reste, 40MPX, dans un capteur APSC. Ben au dessus de f5.6… ça commence déjà à baisser en qualité.
Reste que le capteur est très bon, bien qu’en obturation électronique il est vite critique. Heureusement, il possède un filtre interne qui diminue l’obligation de passer en obturation électronique.
Il est beau, c’est déjà ça. Franchement, Le XS_20 est génial. Moins de molette à tout va. Processeurs 5 et 26MPX… et beaucoup moins cher.. tu met un 23 f2.8 devant 😉
Toujours sympa ton Blog! Je reviendrais!
Au plaisir de se croiser une fois sur un shooting;-)