Pourquoi j’ai vendu mon Fuji X100 VI

Vous le savez peut-être, je n’aime pas photographier avec mon iPhone.

Pour les photos de scène, pour les portraits, pour les photos familiales, j’ai mon Nikon Z8 avec ses superbes objectifs.

Pour les vacances, les visites de ville, j’ai bien essayé de le prendre avec un 28 mm f2, mais, dès que l’on veut « voler » une image, on est vite repéré et voyez-vous, un appareil tel que le Z8, même avec un tout petit objectif, ça impressionne.

Alors bon, j’ai essayé de photographier à l’iPhone, avec différentes poignées dont la dernière, la Leica, testée ici (j’avais écrit auparavant un test sur a poignée SnapGrip ici et un autre sur la et sur la poignée Fjorden ici).

La seule qui m’a convaincu, c’est la Leica, mais voyez-vous, moi qui rentre de Paris au moment où j’écris ces lignes, j’ai passé la première journée à me forcer à utiliser mon iPhone avec elle, ce qui a bien joué pour des séances de photos en famille avec mes petits-enfants parisiens.

Mais dès qu’il s’agit de photographier dans la rue, le fait que cette poignée prenne 5 secondes à se connecter quand elle est éteinte, puis se déconnecte au bout de 30 minutes au maximum, exigeant la même reconnexion de 5 secondes, ça n’est pas le top du top.

Cela dit, j’avais prévu le coup, puisque, depuis février, j’ai fait l’acquisition d’un Fuji X100 VI que j’ai pu utiliser assez intensément les deux journées suivantes, en vadrouille dans les rues de Paris.

Faut dire aussi que nous avons visité l’exposition Robert Doisneau au musée Maillol, elle est magnifique, et on en sort en se disant une chose, à choix parmi les deux suivantes:

  • je suis une merde, et jamais je n’arriverai à la cheville du Monsieur, j’arrête la photo

OU

  • purée, c’est beau, et si, avec tes maigres ressources en matière de photographie, tu essayais de t’inspirer du Monsieur, même si tu restes bien évidemment à des kilomètres de son talent?

J’ai donc pris pas mal de photos à Paris avec cet appareil, en essayant de photographier un peu les gens.

J’ai même pris de photos de RAW, en RAW.

Femme assise devant une boutique avec un café.

Je l’ai également utilisé lors d’une manifestation de soutien à Gaza, à Berne, en juin 2025.

Manifestation avec pancartes et drapeaux.

Et puis, j’ai utilisé ce Fuji jusqu’à la semaine passée, notamment pendant mon voyage dans le nord-nord-ouest de la France…

Tentes rayées sur plage urbaine ensoleillée.

Table des matières

Le Fuji X100 VI: un appareil rare

S’il y a un appareil qui a fait parler de lui quand il est sorti, en février 2024, c’est bien ce Fuji X100 VI!

Impossible de le trouver pendant des mois (ou alors un peu par hasard, comme ça m’est arrivé, parce que j’étais dans le magasin lors d’un abandon de commande).

Encore ce jour, en août 2025, pour le modèle bicolore, il faut 3 semaines pour l’obtenir, et le modèle noir n’est pas livrable avant octobre.

Tout le monde en parle, souvent en bien, parfois en mal, mais il ne laisse pas indifférent.

Ce qui est super avec le Fuji X100 VI

Le Fuji X100 VI est un appareil doté de pas mal de belles qualités.

Un bel objet qui fait parler

Alors, que ce soit bien clair, cet appareil, c’est un peu comme si vous touchiez un objet précieux: il est beau, incroyablement bien construit, compact et dense à la fois.

Appareil photo compact argenté sur table rouge.

Son revêtement est superbe, je précise que j’avais le bicolore (comme vous pouvez le voir, pris sur une terrasse de bistrot à Berne, à l’arrache, comme toutes les autres photos de l’appareil que je vous montre plus bas), pour moi le plus sympa des deux modèles disponibles (l’autre est tout noir, pas mal aussi, mais bon).

Croyez-le ou pas (je préférerais la première option), cet appareil attire les gens qui viennent spontanément vous parler.

Quand je l’avais en bandoulière, je crois qu’au moins une fois par jour, j’entendais:

Alors comme ça, vous vous êtes mis à l’argentique?

C’est un Leica?

Vous être revenus à un appareil vintage?

Ouaouh, il est beau, votre appareil!

J’en passe, et des meilleures, mais ce qui caractérise mes interlocuteurs d’un instant, c’est toujours un immense sourire!

Je ne vous cache pas qu’entre le Fuji et la Renault 5, j’ai été servi en matière de sourire et de discussion avec les gens, depuis le mois de février.

Un viseur tellement agréable, même si…

Le viseur du Fuji X100 VI vous offre deux choix:

  • viseur optique
  • viseur électronique.

Et comme le viseur électronique n’est pas un foudre de guerre (loin de là), c’est bien l’optique qu’il faut utiliser.

Ce viseur est vraiment agréable, et les informations nécessaires sont données en transparence.

Dommage qu’une partie de la visée soit mangée par l’objectif qui empiète sur le coin du bas à droite.

Encore plus dommage qu’avec un pare-soleil (non livré), cet empiétement devienne carrément rébarbatif, prenant un bon cinquième de la visée, au point que j’utilisais ledit pare-soleil comme bouchon (avec le cache objectif fixé dessus).

De plus, viseur optique signifie que… vous ne voyez plus quand l’appareil est déréglé, mais de cela, je vais parler plus bas.

Appareil photo argentique avec écran arrière et boutons.

Des barillets et des bagues pour presque remplacer les molettes

L’autre chose qui m’a tout de suite plu, dans cet appareil, c’est le retour à des réglages tels qu’on les connaissait avant l’arrivée des molettes, à savoir

  • une bague pour le diaphragme (avec possibilité de la placer sur A pour donner la priorité à l’ouverture)
  • un barillet pour régler la vitesse (avec possibilité de la placer sur A pour donner la priorité à la vitesse).
    Notez que si la bague et le barillet sont en mode A, vous êtes en mode programme.
  • un réglage des ISO dans le même barillet, en soulevant la couronne, pouvant lui aussi être placé sur A, à savoir ISO automatiques.

Et ça, c’est vraiment sympa, et ça permet d’être immédiatement au courant des réglages actifs de l’appareil, sans passer par un écran.

Cela dit, à l’usage, je trouve que la molette avant et arrière des hybrides est presque plus pratique, quand on a l’œil collé au viseur.

Mais bon, j’aime bien cette proposition de retour au classique sur laquelle joue énormément Fuji (mais aussi Nikon, notamment avec Z fc).

Ce qui me plaît encore avec le Fuji X100 VI

J’aime bien sûr le poids modéré (il n’est pas tout léger, il est vraiment « dense »), le soin magnifique porté à sa fabrication.

La focale? 35 mm (équivalent plein format, n’oublions pas que ce Fuji est doté d’un capteur APSC), idéale pour la photo de rue, moins pour la visite des villes.

La définition de 40.2 MP permet également de recadrer dans l’image. Certes, mais nous allons voir qu’elle a au moins un inconvénient, cette définition…

La possibilité de personnaliser son appareil comme nul autre pareil: je n’ai jamais vu autant de commandes de menus que dans cet appareil, il me semble. Le problème, c’est que…

Ce qui me plaît beaucoup moins avec cet appareil

Vous avez lu le titre de cet article: j’ai revendu ce Fuji X100 VI et vous allez voir que ce n’est pas pour rien.

Rebondissons sur la dernière qualité évoquée ci-dessus, celle que j’ai abandonnée en suspension.

Un menu carrément bordélique

Je suis habitué aux menus compliqués de toutes les marques.

Toutes présentent des menus dans lesquels il faut fouiller en profondeur, Nikon, Sony, et même Canon qui est le fabricant qui déploie le plus d’efforts dans ce domaine (si l’on fait abstraction de Hasseblad qui semble présenter une interface juste parfaite de simplicité et de clarté, c’est donc possible, nom d’une pipe!).

Et Leica, avec, notamment, son Q3 dont je vais vous parler un jour parce que j’ai l’occasion de le tester.

Mais alors là, avec le Fuji (et ne me dites pas que c’est une question d’habitude, j’ai eu l’appareil 6 mois dans les mains), c’est le pompon!

Je trouve une fonction après l’avoir cherchée pendant je ne sais pas combien de temps un peu par hasard, et quelques minutes après, je ne me souviens plus où elle est, tellement les menus sont touffus!

Au point que j’ai pris des notes, et que je suis obligé de m’y référer.

Au point aussi que j’ai pris une Master Class très utile, notamment pour savoir par où commencer, mais il faudrait y revenir sans cesse, tant il est difficile de se souvenir des méandres de l’interface des menus.

Ce n’est pas que ma mémoire défaille (quoique…), c’est vraiment que tellement de choses ne sont pas intuitives…

Tout le contraire de la simplicité pourtant vantée avec les bagues et les barillets (simplicité bien réelle, elle)!

Bref, j’ai été autant impressionné par la puissance des réglages que par leur complication.

Rien que ça m’a pas mal agacé.

Un autofocus compliqué

L’autofocus de Fuji X100 VI est moyen, loin des cadors du marché qui font bien mieux, mais il fonctionne assez bien.

Sauf que, comme les menus, il est compliqué, et c’est un nikoniste qui vous parle, Nikon n’étant pas dans les plus simples au niveau de l’utilisation de l’autofocus (qui lui est vraiment performant).

Vous avez des zones qui se confondent avec des choix de collimateur, vous n’y retrouvez plus vos petits. Un petit coupe de molette (il y en a une, mais oui!), et vous avez changé de mode autofocus, de zone, ou alors votre collimateur est passé dans un coin, sans que vous soyez au courant.

C’est insupportable pour moi.

Un mode tactile impossible à vraiment supprimer

Comment ce collimateur passe-t-il dans un coin?

Parce que le mode tactile de l’appareil s’est activé tout seul!

Certes, vous pouvez le désactiver en appuyant (hem) sur l’icône montrée ci-dessous sur l’écran arrière, qui elle reste de toute façon tactile:

Interface d'affichage de camera avec icônes et flèches rouges.

Eh bien, croyez-le ou pas, malgré sa toute petite taille, il arrive plus souvent qu’à son tour que l’on repasse en mode tactile en appuyant sur la même icône qui comme je l’ai dit, elle, reste tactile, même si tout le reste de l’écran est désactivé.

Le nombre de photos où j’ai photographié n’importe quoi puisque l’appareil prend des photos au moment où l’on appuie le doigt… ou autre chose, comme votre veste parfois sur l’écran, en mettant la mise au point là où on a appuyé, vous ne pouvez pas savoir!

Il y a peut-être une fonction qui permet de désactiver complètement cette fonction de tactile, mais je ne le crois pas, en tout cas, je ne l’ai pas trouvée.

Le recadrage accidentel

L’un des soi-disant plus du Fuji X100 VI, c’est de pouvoir recadrer dans l’image, au vu de la belle définition offerte.

Bon, moi, je préfère recadrer par la suite, le cas échéant.

Ce recadrage est peut-être quelque chose d’utile pour certains, mais qu’il ne vienne pas m’importuner sans que je l’aie demandé, je m’explique:

L’une des bagues du Fuji X100 VI, c’est celle qui permet, en mode manuel, de faire la mise au point.

Appareil photo Fujifilm avec flèche rouge sur bague.

Eh bien, par défaut, lorsque vous n’êtes pas en mode manuel, vous tournez cette bague (accidentellement, ça arrive souvent), et vous changez le recadrage de l’image!

Vous me direz que vous le voyez à la visée?

Mais pas si vous êtes avec LE bon viseur optique! Certes, un petit rectangle en transparence (blanc) vous montre ce que vous allez prendre en photo, mais la plupart du temps, puisque vous ne pensez pas recadrer, vous n’y faites pas attention!

Encore heureux qu’en RAW + JPEG, le RAW garde l’image entière, puisque vous ne recadrez qu’en JPEG, mais bon, tout de même…

Par contre, si vous ne photographiez qu’en JPEG, votre cadrage ne correspondra plus à vous attentes.

D’autres déréglages accidentels

Les désagréments ci-dessus sont déjà assez pénibles, mais au fil de mes six mois d’utilisation de l’appareil, d’autres accidents sont venus s’y ajouter.

La bague de réglage de l’exposition est crantée, mais pas suffisamment, ce qui fait que vous vous retrouvez de temps en temps en sous ou surexposition.

Et, là non plus, vous ne le voyez pas, parce que vous prenez vos images avec le viseur optique.

Embêtant tout de même, surtout si vous travaillez en JPEG (ce que je ne vous conseille pas, voir plus bas).

Autre chose? Je me suis souvent retrouvé en mode rafale, sans avoir rien demandé.

Certainement un appui sur le bouton « Drive » à l’avant de l’appareil, mais sans l’avoir désiré.

Et bam, vous prenez de nombreuses images sans l’avoir demandé (c’est qu’il est rapide, le bougre!).

Un écran arrière difficilement lisible au soleil

L’écran arrière du Fuji X100 VI n’est pas mauvais, mais il est simplement illisible au soleil, à moins de pousser au maximum sa luminosité, et encore.

Il est pratiquement impossible de photographier avec lui, en plein soleil.

Certes, c’est un défaut récurent des appareils modernes, mais la concurrence fait souvent bien mieux, tout de même.

Un appareil avec lequel je ne suis pas tranquille

Vous le comprendrez en lisant les points qui précèdent, avec ce Fuji X100 VI je ne suis jamais tranquille.

Certes, il m’est arrivé, avec d’autres appareils, de faire des erreurs: par exemple, d’avoir oublié de revenir en mode ISO autos alors que j’avais réglé, quelques jours plus tôt, les ISO sur 6’400.

Mais ça, c’est de ma faute, et je m’en veux déjà assez.

Là, avec ce Fuji X100 VI, je ne suis jamais tranquille, je ne sais jamais si l’appareil est réglé correctement.

Il n’y a pas eu un seul jour, pendant mon voyage en Bretagne, où cet appareil ne m’a pas joué des tours.

Et parlons de la qualité des images

Venons-en sur la qualité des images de l’appareil.

Les JPEG et les rendus de films Fuji, une force de l’appareil?

Dans les blogs dédiés, beaucoup de créateurs de contenu (c’est comme ça qu’on les appelle?) nous expliquent que la grande force de Fuji, c’est de proposer des rendus de films argentiques ou modernes, que l’on peut aussi télécharger sur le site de Fuji.

Certes, c’est sympa, mais ça ne fonctionne qu’en JPEG, ce qui est d’ailleurs le cas de toutes les marques qui proposent ces types de rendus.

Et alors, excusez-moi, mais j’ai fait beaucoup de photos RAW + JPEG, pour être à même de les comparer.

Oui, certains JPEG sont plus claquants que les RAW, certains noirs et blancs sont chouettes aussi, sauf qu’en JPEG, la dynamique de l’image n’est pas bonne, alors qu’elle est tout à fait acceptable en RAW.

Pour moi qui suis un tantinet exigeant dans le domaine, c’est vraiment une nécessité: il faut photographier en RAW avec un Fuji X100 VI, sans compter qu’il est toujours possible d’ajouter des effets de films après coup avec un logiciel comme FilmPack à ses RAW, ou encore avec des presets dans Lightroom.

Donc la force des rendus JPEG n’en est pas une, en tout cas pas pour moi et ceci dès que les lumières sont un peu difficiles, point barre.

Pour les autres situations, l’avantage des rendus JPEG, c’est qu’ils ne sont pas interprétés par Lightroom parce que justement…

La qualité des Raws (RAF chez Fuji) dans Lightroom

Les appareils Fuji APSC sont basés sur la technologie X-Trans qui est censée apporter plus de qualité que les capteurs à matrice de Bayer, notamment parce qu’ils peuvent se passer de filtre passe-bas.

Sauf que depuis bien des années, beaucoup d’appareils basés sur une matrice de Bayer peuvent se passer d’un filtre passe-bas, les Sony par exemple, les Nikon Z8 notamment.

Les capteurs basés sur la matrice de Bayer a énormément progressé ces dernières années, et les X-Trans n’ont plus vraiment d’avantages sur eux.

Par contre, bonjour les difficultés avec ces capteurs lorsqu’on les passe dans certains logiciels!

DxO Photolab, par exemple, vient d’accepter ces capteurs avec la version 8, mais en version bêta et le Fuji X100 VI n’est toujours pas supporté pour le débruitage le plus puissant de l’appareil.

Lightroom?

Les rendus des RAW sont vraiment décevants, et ce n’est qu’en utilisant le nouveau profil « Adaptative Couleur » faisant appel à l’IA que je retrouve des tons agréables, sauf que ce profil ne peut pas être utilisé partout, donnant parfois des rendus proches de photos HDR comme on les trouvait moches à l’époque.

Seule solution: passer par les profils dédiés à l’appareil, notamment ceux proposés par Jean-François Vibert.

Ce qui m’a toujours un peu déçu, c’est que j’avais l’impression d’un léger manque de netteté avec mes images.

Un manque de mordant.

Un manque de piqué, si vous préférez.

Un petit exemple de photo de paysage tout bête et inintéressante, mais qui explique bien ce que je veux dire ici:

Paysage côtier breton avec falaises et mer bleue.
f5.6, 1/1600e de seconde, 250 ISO, mode programme, pas de risque de flou de bouger donc, je ne suis pas à pleine ouverture, mais aucun risque de diffraction.
Fortification sur une presqu'île devant la mer.
J’ai un peu l’impression, à 100%, que rien n’est net

Je précise que cette photo est particulièrement démonstrative du problème, que d’autres s’en sortent mieux, mais je ressens toujours ce sentiment de manque de mordant dans mes images, même s’il n’est pas aussi extrême.

Mouette posée sur un muret au bord de mer.
f5.6, 2000e de seconde, ISO 125
Gros plan d'une tête de mouette.
100%, et la compression WordPress enlève encore un peu de qualité, ici donc, ce n’est pas mal
Homme souriant avec déguisement amusant dans la rue.
f2, 1400e de seconde, ISO 125

À 100%, ça manque de piqué, je suis désolé…

Et je suis allé voir sur Internet si j’étais seul à ressentir ce problème.

Eh bien non!

Il semblerait que l’objectif 23 mm (équivalent 35 mm en plein format) f2 qui est strictement le même que celui du Fuji X100 V, n’arrive pas tout à fait à suivre l’arrivée de la haute définition du capteur de la version VI.

Certains disent qu’il suffit de fermer d’un cran ou deux le diaphragme pour retrouver un bon piqué, je n’en suis pas persuadé, voir le premier exemple ci-dessus.

En conclusion

Ce voyage en Bretagne a été pour moi la confirmation de ce que je pensais depuis plusieurs semaines: ce Fuji X100 VI n’est pas fait pour moi, il ne me rend pas serin lorsque je photographie.,

Au point que les derniers jours, cet appareil m’agaçait tellement que c’est avec mon iPhone 15 Pro Max que j’ai photographié, et je peux vous dire que la colorimétrie de ce dernier était bien meilleure que celle du Fuji.

Il n’y a pas photo: une fois dans Lightroom, je préfère les images du SmartPhone à celles du compact.

Je me suis donc résolu à vendre cet appareil, comme je l’ai écrit en titre, et purée ce que je me sens libéré!

Amis fujistes, pas besoin de me cracher au visage, si ce Fuji X100 VI vous convient, j’en suis très heureux, simplement, il ne me convient pas, et je dis simplement pourquoi.


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Daniel Pesch
Daniel Pesch
il y a 52 secondes

100 % d’accord : le mien est à vendre… !

Dernière modification le il y a 13 secondes par Daniel Pesch
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