J’ai beaucoup écrit sur Peakto, ce catalogueur multisources assez incroyable, sur le Blog du Cuk.
Mon dernier article était lié à la version 2.3 du logiciel, vous permettant, entre autres choses, de créer un serveur à demeure, sans passer par le cloud, afin de voir vos images depuis n’importe où, à travers un navigateur Web.
Depuis, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts,
Peakto 2.5 est sorti mercredi, avec son lot de nouveautés.
Il est maintenant notamment possible de partager ses albums avec des collaborateurs en leur donnant plus ou moins de droits, ou de partager des images ou des vidéos précises avec des clients ou des connaissances.
Dans ce domaine du partage et de la collaboration, il est possible d’aller encore plus loin avec un abonnement spécifique qui porte bien son nom à savoir « Professionnel ».
L’interface a également été remaniée pour devenir plus claire, il est aussi possible d’assigner des visages manuellement (en plus de le faire de manière « automatique ») à vos photos, entre autres choses.
Si la photo reste très importante dans Peakto, je suis impressionné par ce que le logiciel peut vous apporter en matière de vidéo.
Faire un prémontage de mes rushs dans Peakto pour l’envoyer dans un logiciel de montage est tellement limpide que cela me ferait presque envie de me remettre à filmer, voyez-vous!
Il y a quelques jours, j’ai eu la chance de pouvoir bénéficier d’une démonstration personnelle du nouveau Peakto pendant un tout petit peu plus d’une heure par l’un des fondateurs de Cyme, Matthieu Kopp, que je tiens à remercier chaleureusement pour le temps qu’il m’a consacré.
Si vous voulez comprendre Peakto en partant depuis les bases du logiciel pour en arriver aux nouveautés des dernières versions, je suis certain que vous allez trouver votre compte dans le film que je vous présente, en exclusivité, ci-dessous.
Rappelons que Peakto existe en version « achat unique », Standard, Professionnelle, et Entreprise.
Je vous laisse regarder la tarification ici.
Il est clair que, pour moi, Peakto continue à mériter son label Too Much Bô.
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