Eh oui, un petit retour dans le domaine de la course à pied sur ce blog!
Ce n’est pas parce que je n’en parle presque plus que je n’en fais plus.
Certes, j’ai délaissé les courses officielles, mais je cours pour mon plaisir au minimum deux fois 10 km par semaine, pour le plaisir, pour repousser Alzheimer (il semblerait que ce soit efficace selon certaines études), pour ne pas prendre trop de poids et pour le plaisir.
Je commence d’ailleurs ces lignes juste avant de partir courir dans ma forêt préférée.
Forêt préférée qui va d’ailleurs être détruite dans les prochaines années pour faire place à une carrière qui va rapporter des centaines de millions à certains et assouvir les besoins en béton dus à une explosion des constructions absolument dingue dans notre canton de Vaud. Un excellent article dédié à cette forêt et aux besoins démesurés des architectes et ingénieurs vaudois, article instructif, édifiant et drôle à la fois, est disponible sur le site de Heidi.news. Si vous êtes abonné, n’hésitez pas, c’est une pépite, cette “exploration” en 6 épisodes.
La disparition de cette forêt me rend malade…
Bon.
Cette introduction faite, j’arrête de procrastiner, je pars courir, je vous retrouve dans deux heures.
…
Voilà, c’est fait, 11.44 km, je suis de retour, douché et tout et tout (il vaut mieux pour vous).
J’habite au pied du Jura, à une altitude de 700 mètres.
Cette année, malgré le réchauffement climatique, nous avons eu un hiver qui méritait son nom, avec passablement de neige.
Or qui dit neige dit glace, qui dit glace dit glissade, qui dit glissade dit passage éventuel à l’hôpital, ce qui n’est pas vraiment une bonne idée en cette période de pandémie, il vaut bien mieux laisser de la place à ceux qui pourraient en avoir besoin, inutile de surcharger les services médicaux pour des loisirs qui pourraient mal tourner.
J’ai donc, avec regret, abandonné l’idée de courir tout un week-end quand la neige s’est mise à tomber.
Ça a duré, et l’idée de m’encroûter m’a rendu à moitié dépressif.
Et puis, j’ai eu un téléphone avec un ancien collègue, Philippe, grand sportif devant l’Eternel, qui m’a dit que je n’avais qu’à m’acheter des chaussures adéquates, à savoir des chaussures de trail.
Je précise que quelques années auparavant, j’en avais eu l’idée, mais la conseillère de mon magasin de sport me disait qu’elle, elle courait avec les mêmes chaussures toute l’année, qu’elle n’était pas douillette, et que je n’avais qu’à pas l’être non plus (bon, la fin de cette phrase était sous-entendue, mais lourdement).
Je précise encore que j’avais des Brooks GORE-TEX® depuis… plus de 5 ans, que j’utilise quand les conditions ne sont pas bonnes. Super contre le froid, mais elles glissent comme une paire de chaussures normales.
Philippe m’a donc envoyé en quelques minutes des liens vers diverses chaussures qui correspondaient toutes à des chaussures de trail, dotées:
- d’une tige montant sur la cheville;
- d’un chausson composé de GORE-TEX®;
- d’une semelle en partie Vibram® ou équivalente.
L’un de ces liens m’amenait vers ma marque préférée, à savoir Hoka OneOne dont j’ai déjà parlé ici à propos de son modèle Gaviota.
Je précise que depuis, j’ai acheté une deuxième paire de ces chaussures, puis une troisième encore, améliorée, la Gaviota 2 qui corrige entre autres une fragilité au niveau des anneaux de laçage, fragilité toute relative puisque j’ai couru 1500 km avec ma deuxième paire sans le moindre problème (la première en avait eu), ce qui est bien trop, mais au vu de la pandémie l’année passée, c’était compliqué d’acheter une nouvelle paire, il a bien fallu que je les tire à la limite.
Dites, vous ne trouvez pas que je commence à un peu trop allonger mes paragraphes, moi?
Bref.
Je suis tellement dingue de la marque Hoka que j’en ai immédiatement commandé une par téléphone à mon petit magasin, et j’ai pu en prendre possession sur rendez-vous quelques jours plus tard.
Pourquoi Hoka One One?
Ceux qui n’ont jamais mis le pied dans une Hoka One One ne peuvent pas comprendre.
C’est comme si vous entriez dans un baquet de formule un, sauf qu’à la place des fesses, ce sont les pieds qui nous offrent cette sensation assez fantastique.
Une tenue à nulle autre pareille, tout en restant tout à fait confortable.
Attention: je ne dis pas que les Hoka One One conviendront à tout le monde, les chaussures ont leur spécificité pour différents types de pieds.
Mais pour moi qui suis pronateur, cette chaussure est une merveille.
Je voulais ressentir la même sensation avec mes chaussures de trail.
Mais avant de parler de mes sensations, voici comment Hoka One One présente sa chaussure:
Mi-Speedgoat, mi-chaussure de randonnée mi-haute, la Speedgoat Mid GTX 2 est idéale pour les coureurs de trail et les randonneurs. Doté d’un bracelet conçu de manière anatomique pour mieux maintenir la cheville, la Speedgoat Mid GTX 2 s’accommode de tous les temps, grâce à un chausson imperméable en GORE-TEX®. Chaussure de randonnée rapide équipée d’une semelle extérieure Vibram® Megagrip, la Speedgoat Mid GTX 2 est une véritable force au quotidien.
Intègre un chausson imperméable en GORE-TEX® léger et respirant de qualité qui maintient vos pieds au sec par tous les temps
Hoka One One
La tige en mesh résistant à l’eau est idéale en toutes saisons
Le bracelet en mousse moulée conçu de manière anatomique apporte un meilleur soutien de la cheville
La semelle intermédiaire intègre une nouvelle mousse légère pour une foulée plus réactive
L’avant-pied plus large assure des foulées plus stables et un ajustement confortable
La semelle extérieure en caoutchouc Vibram® Megagrip adhère sur terrain humide et sec
Les crampons échelonnés de 5 mm améliorent le soutien et la stabilité
La position stratégique des inserts de caoutchouc apporte soutien et stabilité
Et voici les caractéristiques techniques de ces chaussures:
Mes impressions à propos de la Hoka One One M SpeedGoat Mid 2 GTX
J’ai enfilé ces chaussures, avec un peu plus de difficultés d’ailleurs, soit dit en passant, qu’avec de chaussures de courses: il faut toujours prendre bien soin de délacer une chaussure de trail puisqu’il faut plonger le pied dedans et qu’elle remonte sur la cheville.
Bon, attention: il faut savoir (merci mon magasin qui s’était renseigné auprès du représentant) que la couche GORE-TEX® prend un peu de place et que vous devez prendre une taille au-dessus par rapport à la chaussure d’été.
Typiquement, pour moi, 44 pour la chaussure de trail alors que je chausse du 43 1/3 pour la Gaviota 2.
Et là, immédiatement, j’ai senti que ça le faisait.
Tout à fait l’impression ressentie dans les Gaviota: cette tenue, ce confort, le bonheur absolu.
Je suis parti courir immédiatement 10 kilomètres dans la neige, et c’était formidable:
- tenue incroyable du pied (c’est chouette cette tige montante);
- confort parfait, pas la moindre douleur alors que c’était la première fois que je les portais;
- sensation de grande sécurité dans la neige et sur la glace et dans la boue, comme jamais ressentie auparavant;
- aucun problème de froid;
- pieds secs au bout de ma course, alors que je courais dans 15 centimètres de neige dans la forêt.
Je précise que dans une course de 10 kilomètres, je fais 2,5 km de bitume pour arriver à la forêt, 5 kilomètres dans cette dernière et 2.5 kilomètres à nouveau sur le bitume pour regagner ma maison.
Et non, pas question de prendre ma voiture pour partir directement dans la forêt, je cours, je n’ai pas envie de polluer avant ou après.
Sur le bitume enneigé avec de la glace sous la neige, la semelle Vibram® Megagrip associée aux crampons échelonnés de 5 mm font des miracles.
Bon… Il y a des limites tout de même: soudainement, et heureusement que je l’ai vu à l’avance: je suis arrivé sur un chemin privé qui avait été déneigé, mais pas salé, ce qui fait que sur 15 mètres, il fallait passer sur une plaque de glace pure, équivalente à une surface de patinoire en pente.
Je ne faisais pas le malin, et j’ai été bien content d’avoir un muret pour tenir debout!
Mais sinon, la chaussure est impressionnante de tenue.
Sur une descente d’un kilomètre parsemée de glace pure, j’ai préféré courir dans 15 cm de neige sur le talus la bordant, absolument pas aplani. Je n’aurais jamais pu faire ça avec mes chaussures d’été, et là, aucun problème.
J’y suis retourné plusieurs fois depuis, toujours sous et sur la neige, et j’ai connu le même plaisir et ce même sentiment de sécurité.
Soyons clairs: depuis quelques jours, il fait chaud, il n’y a plus un pet de neige (comme on dit chez nous), et je recours avec les Gaviota 2.
Mais, et même en été, dès qu’il pleuvra, dès que le terrain sera un peu glissant, je mettrai mes Hoka One One M SpeedGoat Mid 2 GTX, de même quand il s’agira de courir en montagne.
Oui, ces chaussures, c’est une merveille.
Elles coûtent 220 francs suisses, j’ai vu qu’on pouvait les trouver 40 francs moins cher sur Internet, mais je préfère payer un peu plus et faire tourner mon magasin spécialisé qui doit être déjà bien à la peine.
Ah, encore une chose: Philippe, merci pour tes conseils, toujours précieux!
Il n’y en a qu’un que je ne suivrai pas, c’est abandonner mon Apple Watch pour une montre Garmin. Oh, je sais, elles sont meilleures pour le sport que les Apple Watch, mais elles ne font pratiquement que ça, alors que les montres d’Apple me servent à plein d’autres choses.
En attendant, un Too Much Bô pour Hoka!
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Hello François, merci pour ce test. Je possède le modèle concurrent Salomon Speedcross et c’est vrai que cela va bien sur des chemins enneigés.Les tiennes ont l’air quand même assez lourdes vu que la tige est montante et qu’elles sont imperméables.Je vais bientôt remplacer les miennes et je cherche un modèle à peine plus polyvalent, c’est à dire sous les 300g.60375b5bfe857f1f4adbc7e6.jpeg
Jolies 🙂
Les rares fois où je suis allé courir sur la neige ou la glace, j’ai mis des Yaktrax (que j’utiliser surtout en montagne quand c’est gelé mais pas suffisamment enneigé pour mettre des raquettes) sur mes chaussures. ça fait le job très bien. L’avantage c’est que ça tient vraiment, même sur la glace. Le désavantage, c’est que ça s’abime vite si on court en partie sur le goudron.
Je profite pour déconseiller absolument la marque pourtant suisse “On”. J’ai acheté une paire de chaussures basses pour la randonnées, de celles qu’on peut utiliser pour courir en montagne aussi. Très agréables et très belles, mais une qualité horrible. Déjà, c’est pas du gore-tex, donc je transpire dedans. Ensuite, après la première randonnée, une petite déchirure sur le côté (à cause d’un caillou sur lequel j’ai glissé…), après la deuxième, un bout qui se décolle. Elles ont été utilisée deux mois, on dirait des vieilles chaussures de plusieurs années, usées de partout…
https://www.sportxx.ch/fr/p/499665000000/yaktrax-pro
Le but pour moi est de courir avec dans la neige, de tenir debout, de ne pas avoir froid et de ne pas avoir les pieds mouillés.
La tige montante est presque obligatoire.
En matière de poids, c’est tellement bien réparti que tu ne le sens pas.
Cela dit, je cours avec mes Gaviota 2 ces temps, quand il fait chaud.
Le GORE-TEX est inutile dans ce cas.
“Ceux qui n’ont jamais mis le pied dans une Hoka One One ne peuvent pas comprendre.”
Ah oui! Déjà le titre, j’ai de la peine! Ça me rappelle mon voyage à Louxor…
Sympa ces crampons.
Mais bon, ça doit couper passablement les sensations, non?
Pour tes chaussures, tu ne les as pas ramenées? Franchement, ils doivent te rembourser!
?
C’est vrai que le titre… ça fait peur!
Ouais, j’ai des ASICS pour la route et sinon les Salomon pour le tout terrain, la boue, montagne et neige.
Et sinon l’elliptique quand les conditions sont affreuses ?
Ah? J’aurais pris plutôt un vélo pour travailler d’autres muscles…
Sauf erreur, sur Internet en France, on les trouve à moins de 150 €
Les crampons faut s’habituer mais quand c’est enneigé et gelé (en ville) de toutes façons au niveau sensation on est que dans la nouveauté perpétuelle 🙂
Pour le On. Oui. Mais je les ai achetée sur un coup de tête dans un magasin ou je suis pas vraiment repassé juste après. Je voulais leur écrire et j’ai renoncé parce que j’avais la flemme. Alors j’ai opté pour j e méthode très helvétique pour cette marque suisse: la « critique par derrière ». ????
Oui, en Suisse aussi, c’est ce que je disais. J’en ai vu à 170 francs suisses.
J’ai donc payé 50 francs de plus, c’est considérable.
Mais mon petit magasin n’est pas seul responsable.
J’avais d’ailleurs écrit un article à ce propos ici.
AH Hoka Hoka. Pour ma part, j’utilise les Clifton pour la route et les Challenger ATR pour les sorties mixtes. J’achève mes salomon de trail avant de voir si je reste chez Salomon pour le trail ou si je vais chez Hoka
Le prix conseillé par le fabricant c’est souvent celui qu’on paie au commerçant du coin… Etant le dernier de la chaîne, il a peu de moyen de faire autrement.En tant que vendeur, fabricant, si tu perds un gros, très gros client, tu perds beaucoup trop d’un coup, si tu perds un petit client de temps en temps ça n’influence pas trop la balance.Les prix facturés en Suisse sont souvent surfait.
Merci pour ce retour de vécu.
Pour tes On (on rappelle juste que On n’a rien à voir avec Hoka One One), je pense qu’un petit courriel au fabricant pourrait faire l’affaire.
En tout cas, on me les avait déconseillées pour diverses raisons, dont le fait qu’elles ne sont pas faites pour les pronateurs.
Ben au moins, comme ça, tu as un avis de plus!:-)
C’est clair, même si nos salaires sont plus élevés qu’ailleurs.
Au final, je me demande si ça ne revient pas au même au niveau pouvoir d’achat.
Loyers plus hauts, idem médicaments, idem nourriture, idem bistrots, idem…
Là ou je tique le plus, c’est quand le fabricant vend directement au particulier, souvent au même prix qu’à un grossiste, finalement il doit couvrir ses frais, et garantir au minimum sa marge de fonctionnement. Naturellement qu’on se doit de privilégier le commerce de proximité.Un calcul qui nous est souvent présenté, c’est l’adaptation du prix final en fonction du revenu médian par pays, par exemple pour le prix d’une voiture, dans ce cas tu ne peux pas le comparer en fonction de la valeur d’une monnaie par rapport à celle du pays producteur, encore moins pour les médicaments. Un exemple frappant le prix de la viande, entre la Suisse et la France.Un vaste débat en soi.
Petite précision, tu as écris “malgré le réchauffement climatique” (comme pratiquement tout le monde), en réalité on devrait plutôt dire “changement climatique”. Oui, il se réchauffe, mais pas que ! Le fait que la température se réchauffe apporte des changements de taille, et entre autre la frontière entre climat polaire et climat tempéré s’affaiblît. La frontière qui autrefois était à une lattitude plutôt constante, bouge bcp plus aujourd’hui. C’est ce qui fait que le Texas, cette année, a subit des jours de froid record, que Paris a de plus en plus de neige qu’avant durant l’hiver etc, etc. Et aussi que nous avons des épisodes de redoux en plein hiver dans certaines région plus au nord, et le verglas au Québec est devenu une constante annuelle quand il y 30 ans, c’était rarissime.
PS, le 1er janvier 2019, une température positive a été obervsé au Pôle nord !
Donc, tu auras plus souvent de la neige dans ton coin de pays maintenant, et si tu as des épisodes de redoux aussi, tu auras forcément plus de glace.
Je serait curieux de savoir si la vendeuse a ou pas changé de chaussures depuis ?? ?
Tu as raison, merci pour ces renseignements.
Il n’empêche, en gros, si on fait une moyenne, on va plutôt vers un réchauffement, tous s’accordent à le dire.
J‘allais me motiver à leur écrire (j‘avais la flemme) et ma maman me signale ce reportage de Kassensturz / A bon entendeur: https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/11962566
Heureusement que je n‘ai pas écrit, ça m‘aurait énervé.
Oui, oui – c’est bien ce que ma deuxième phrase dit.
Mais disons que c’est la pointe de l’iceberg, et ce qui est sous l’eau est bcp plus dangereux.
Par exemple, en 2020, on a eu 31 tempêtes tropicales (nouveau record), et elles ont été plus puissantes, dont 2 de niveau 5 au même endroit sur le Nicaragua en l’espace d’1 mois env. – jamais vu.
Si tu veux, écoute la première heure de “James Finance contre Docteur Carbone” sur youtube (ps: il n’y a pas de son pour 1m15 au début), c’est un résumé des efftets du changement climatique et d’où il vient.
Ah, eh bien évidemment… Ça ne leur fait pas vraiment de la bonne pub…
Hahah, non.
ça m’a fait pensé à une autre marque suisse fort déceptive: Freitag. Si ses sacs sont (ou étaient en tous cas) incroyablement solides (qu’on aime ou qu’on aime pas leur tronche), certains vêtements et accessoires sont carréments nuls. J’ai acheté un pantalon hors de prix (mais fort joli). Il s’est usé à l’entrejambe plus vite qu’un jeans H&M de base, les poches pareilles… Ils sont soit-disant compostables, on comprends pourquoi…
1500 km avec une paire ? Et dire que si je dépasse les 800-900 km j’ai déjà des problèmes.
Elles ont l’air très bien ces Hoka, je me cherche des bonnes chaussures pour le trail mais je pense plutôt m’orienter sur un modèle bas (j’aime avoir les chevilles libres). Je vais considérer les Speedgoat 4, elles m’ont l’air très bien.
François,
Je suis content de savoir que mes conseils ont pu t’être utiles.
Tu as bien bien fait de préciser que les Hoka ne peuvent peut-être pas convenir à tous les types de pieds. Perso, j’ai essayé, mais au final, je suis passé sur Saucony (Ride 13, Endorphin Shift et Peregrine 10), après bien des essais (New Balance, ON running).
Pour la montre, ce n’est qu’une question de temps 😉
C’est le cas de le dire!:-)
Bonjour et merci pour ce test!
À votre avis, ces godasses tiendraient-elles le “choc” du GR5?
Je l’ai “fait” en 2018 avec des Lowa basses, qui ont encore subi un GR (Genève – Moissac) en 2019, et une semaine suisse en 2020: en tout env. 1700 km et 55’000 m de dénivelé (positif). Pourrais-je espérer une qualité comparable (exceptionnelle pour moi), voire mieux?
Mon avant-dernière paire de Hoka One One Gaviota a parcouru 1500 km sans problème (même s’il faudrait idéalement la changer avant).
Celles testées ici me semblent solides, mais me prononcer sur une durée et un usage que vous décrivez, ça, je ne peux pas faire.
Maintenant, il me semble que vous faites des courses d’été, je pense que ces chaussures ne sont pas tellement dédiées à cela.
Merci pour la réponse.
Pour l’été:trop chaud? semelles trop rigides?
Tu calcules comment les KM parcourus par chaussures ? Tu regardes les KM et tu pars du principe que tu as toujours la même paire par défaut ?
je sais que certaines apps permettent d’indiquer la marque.
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Les petites nouvelles après 2 ans et demi de bons services.
Oui, Rubitrack que j‘ai testé ici il y a longtemps me permet d’attribuer une paire à chaque course, tout comme Strava d’ailleurs.
Oui, le GORE-TEX, ce n’est pas pour l’été.
Pourquoi pas? Pour une promenade comme le GR5, le GORE-TEX est bienvenu, et j’en ai presque toujours été pourvu, du moins pour les courses en montagne comme Sierre-Zinal ou le (défunt) défi des Muverans …
Ce que je crains plutôt, c’est la relative rigidité des VIBRAM!