Retour vers Lightroom, oui mais pas n’importe comment (partie 1)

Je sais.

Vous allez dire que je ne sais pas ce que je me veux.

Je l’admets bien volontiers, la curiosité m’amène à tout essayer, à trouver pas mal de bonnes choses dans chaque logiciel qui me permet de retoucher mes photos, et puis, et puis…

Et puis je me dis parfois qu’au lieu de passer des heures et des heures à essayer de comprendre tous ces « ailleurs », je ferais bien mieux de m’occuper de mes images en maîtrisant bien comme il faut un, deux, voire trois logiciels, ce qui est déjà quelque part se disperser.

J’étais au début d’un nouvel article sur ON1, le premier, vous l’avez peut-être lu, c’est ici, était consacré au module bibliothèque. Puissant, ce module, certes, mais plein de bugs.

J’avais aussi présenté Brillance AI de ON1 2024 ici, sans être pleinement convaincu des résultats que l’éditeur nous annonçait comme époustouflants.

L’article que je commençais à écrire était dédié aux outils d’édition, très chouettes et puissants, certes toujours, mais presque aussi bugués que le module bibliothèque.

Là, j’ai un peu craqué, et, par lassitude, je me suis retourné sur Lightroom, que depuis un peu plus d’un an, je n’utilisais plus que pour cataloguer mes images et les classer bien comme il faut sur mon disque.

Pour tout dire, jusqu’en 2022, l’entier ou presque de mes photos hors iPhone était édité dans Lightroom, et depuis ce moment, je classais avec Lightroom, mais je partais directement de DxO et d’ON1 pour éditer mes images, regroupant ensuite le tout dans Peakto dont j’ai parlé de nombreuses fois sur ce blog.

Je reprochais à Lightroom un rendu de mes NEF (les RAW de Nikon) et avant cela de mes ARW (les RAW de Sony) bien moins agréable que ce que me donnait DxO ou ON1, et surtout, je trouvais le moteur de développement, notamment dans le débruitage, largement au-dessous des concurrents énoncés dans le paragraphe précédent.

Il faut savoir que Lightroom n’a que très peu évolué au niveau de la gestion du bruit dans l’image depuis quelques années, à moins d’employer le débruitage piloté par l’AI qui nous sort malheureusement des DNG pesant 2 fois le poids de l’original, ce qui est insupportable, je l’ai expliqué ici.

Cela dit, ce débruitage AI est excellent, au niveau de celui de DxO, ce dernier gardant l’avantage pour ses corrections optiques, liées à chaque fois au boîtier utilisé.

J’en étais là dans mes pensées négatives à propos de toute cette technologie liée à l’image, et puis…

Purée — que je me suis dit —, et si je me penchais à nouveau sur Lightroom, avec autant d’attention que je l’ai fait ces derniers temps avec ON1 ou DxO?

Le débruitage AI de Lightroom en mode “économique”? Mais oui c’est possible!

Attention! Je ne veux aucunement ici faire des comparatifs en DxO, ON1 et le débruitage AI de Lightroom. Je l’ai fait rapidement dans cet article.

Pour commencer, j’ai eu une idée: et si j’utilisais ce débruitage AI intégré à Lightroom, quand c’est nécessaire (nous allons voir dans la deuxième partie qui suivra dans quelques jours qu’en fait, c’est plus rare que je ne le pensais), tout en ne bouffant pas une place incroyable sur le disque?

Et j’ai trouvé, je crois, et comme j’aime partager avec vous, lecteurs chéris, je vous propose cette solution.

Prenons une image prise à 16’000 ISOs, un peu bruitée, issue d’un Nikon Z9.

J’attribue pour commencer un profil d’appareil à mon image, j’explique tout ça en partie 2.

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Je la recadre ou pas, comme bon me semble

Je lance le débruitage AI

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Là, je vois que le résultat est vraiment bon (dans ce cas, un taux de débruitage de 50 % est largement suffisant), mais que la taille du DNG est insupportable (pour moi).

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Plus de deux fois la taille de l’original, ici!

Pour régler le problème, dans un premier temps, j’exporte le DNG en JPEG, plein pot, avec la meilleure qualité possible, et déjà, là, j’obtiens un fichier bien plus acceptable que le DNG en matière de poids, mais toujours bien lourd.

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Pour gagner de la place, je donne JPEG à JPEG Mini pro qui me le réduit encore, sans que cela se voie, même à 100%.

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Bam! Je passe d’un DNG de 131 Mb à un JPEG de 16.5 Mb.

Je supprime le DNG bien trop lourd depuis Lightroom en prenant bien soin de choisir l’option “Supprimer du disque” (au besoin, je pourrais de toute manière le recréer à partir du RAW en quelques secondes…).

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J’importe le JPEG traité par JPEG Mini Pro en prenant bien soin de ne pas attribuer de paramètre de développement.

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J’empile le NEF avec le JPEG dans Lightroom

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image 6

Le tour est joué.

image 7

Bien évidemment, je garde le NEF, j’en aurai besoin dans quelques années peut-être, quand les logiciels auront encore évolué et pourront faire mieux en matière de développement.

Deux mots sur JPEG Mini Pro

J’ai présenté JPEG Mini Pro, sur Cuk.ch de l’époque, reprenant à la base l’article de Cerock sur la version “non pro“, Cerock qui était l’un des rédacteurs du site.

En résumé, JPEG Mini Pro compresse les fichiers JPEG et HEIC et ceci “sans perte visible”, et franchement, je dois bien l’admettre, je n’ai jamais vu la différence entre un fichier sorti de ses pattes et l’original.

Il peut également s’occuper des vidéos en MP4 ou MOV, mais là, je n’ai pas essayé, je ne peux pas vous en parler.

Pour l’utiliser, vous glissez vos images sur la fenêtre de JPEG Mini Pro ou vous naviguez à partir du seul bouton disponible sur sa fenêtre.

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Oui, je sais, je vous ai déjà montré cette capture d’écran, mais bon, ça vous évite de scroller, comme ça, merci qui?

Les préférences sont toutes simples, on peut ou pas remplacer l’original, choisir

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Le modèle commercial est basé sur une licence perpétuelle, avec droit de mise à jour d’un an. Après, vous devrez (ou pas) repasser par la case “je donne des sous” à raison de 70% du prix de la version pleine.

image 9

JPEG Mini Pro est indispensable pour vos galeries en ligne qui prendront bien moins de place sur le Web, et qui seront facilement chargées par votre public adoré.

En conclusion de cette première partie

Cette nouvelle manière de faire aurait pu me suffire à revenir sur Lightroom, en faisant traiter toutes mes images de scène, les plus difficiles au niveau de la lumière et donc du bruit, par l’AI intégrée de Lightroom et en les faisant suivre le flux décrit plus haut.

Mais en fait, souvent, cela n’est même pas nécessaire, parce que Lightroom a deux armes redoutables: les profils d’appareils (personnalisés, pas ceux offerts par le logiciel qui ne sont pas bons) et les Préréglages ISOs adoptifs.

C’est de cela dont je vous parle dans ma deuxième partie.

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35 Commentaires
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Gilles
Gilles
il y a 3 mois

François, je lis ton article en étant confiné, puisque je suis à La Réunion et que, dans quelques heures, on va se prendre directement le cyclone le plus puissant et potentiellement le plus dévastateur depuis des dizaines d’années.

Pour revenir à Lightroom Classic – et je suis étonné que tu ne l’as pas remarqué – mais depuis la version 13.0, les DNG générés par le débruitage AI reposent désormais sur la technologie JPEG XL, ce qui permet de réduire considérablement la taille des fichiers sans perte visible de qualité (voir l’article du 14/10 sur mon blog).

Cela vaut aussi pour les DNG issus des autres fonctions Accentuer (Super Résolution) ainsi que la fusion HDR et panorama.

Quant à ton workflow, tu devrais garder DxO (au moins PureRAW, qui d’ailleurs va bien évoluer) et virer le reste. Je n’ai jamais vraiment compris l’intérêt de l’utilitaire JPEG Mini.

En ce qui concerne la gestion des images, je pense que la prochaine version du plug-in Excire Search, que je teste actuellement, va donner des ailes à la gestion des images dans Lr et, donc, je reste tout aussi dubitatif sur le besoin d’un “uber-catalogueur” comme Peakto, même si je reconnais que ses fonctions de recherche AI sont intéressantes, mais je préfère ne pas me disperser et utiliser Excire, au sein même de Lr Classic.

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Gilles

Dernière modification le il y a 3 mois par Gilles
Gilles
Gilles
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

je ne vois pas très bien le rapport entre la sortie DNG pour le débruitage, et la sortie JPEG Mini pour publication web ?

Dernière modification le il y a 3 mois par Gilles
Gilles
Gilles
il y a 3 mois

Autre interrogation : dans tes captures, je suis étonné de voir que tu sembles aussi utiliser les anciens curseurs de débruitage, en plus du débruitage AI. C’est comme si, après avoir utilisé DxO DeepPRIME, tu rajoutais une couche de débruitage HQ, ça n’a pas de sens.

Gilles
Gilles
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Oui, le débruitage AI toujours en amont du moindre traitement. Avec cet outil, il est clair que les profils adaptatifs ISO sont quasiment devenus obsolètes.

Gilles
Gilles
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Je parle bien entendu de l’ancien moteur de débruitage, qui est obsolète, y compris au niveau des presets adaptatifs.
Le débruitage IA, ce n’est pas que pour les hauts ISO et les images difficiles.
Par exemple, j’y passe mes images au drone à ISO 100. Le capteur étant petit, elles sont forcément granuleuses, et plus particulièrement dans le ciel bleu.
Et donc, Denoise AI ou DeepPRIME font des miracles et rehaussent la qualité des images.

Gilles
Gilles
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Mais le moteur de base n’est pas mauvais mais voilà, les technologies ont évolué. Quand on a goûté Denoise AI ou DeepPRIME, difficile de revenir en arrière.
Tempête non, mais cyclone, qui a fait pas mal de dégats, mais pas autant que ne le craignaient les autorités. On a été confinés quasiment 3 jours.

jerome3167
Active Member
il y a 3 mois

Bonjour,

Je suis très étonné par cette histoire de doublement (ou plus) de la taille en cas de réduction du bruit par l’IA de LR. Je ne l’ai en tout cas jamais observé, que ce soit sur des fichiers RAW Panasonic ou Fujifilm. J’observe une augmentation de l’ordre de 20 à 30%, ce qui reste plus que raisonnable pour les quelques images qui ont vraiment besoin de ce traitement. La manip consistant à passer par du jpeg me semble un peu lourde.

Sinon, au fil des articles de l’na dernier sur les outils photos, ma conviction a été renforcée dans ce constat : il vaut mieux savoir (très) bien utilisé un logiciel, ce qui permet à terme d’obtenir de très bons résultats et d’être très efficace, que d’aller chercher ailleurs un outil qui donnera peu ou prou les mêmes résultats.

L’ergonomie de LR n’est en soi pas meilleure que celles des concurrents, mais je commence à la maîtriser à peu près et donc elle me convient parfaitement. Et quant aux résultats de traitement, franchement, LR n’a rien à envier aux autres, sachant qu’il en est plus très facile d’obtenir le résultat des concurrents qui ont tendance à un peu saturer les couleurs d’emblée, ce qui fait un mini-effet “whaoou”, mais pas toujours nécessaire ni souhaité.

ysengrain
ysengrain
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

François, nous avons déjà échangé à ce sujet.
Avec des RAW issus de mon A7R3, je ne constate pas les mêmes augmentations de valeur que toi.
Il y augmentation, mais mesurée

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jerome3167
Active Member
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

J’ai peut-être une explication. Quand tu créés le DNG, est-ce que tu mets l’option pour inclure le RAW dans le DNG ? Si oui, il est fort possible que le DNG créé pour la réduction de bruit garde le RAW initial et y ajoute le DNG de la réduction. D’où le doublement de taille.

jerome3167
Active Member
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Il faut aller dans Edition/Préférence/Gestion des fichiers

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JanPol
JanPol
il y a 3 mois

Je n’avais pas bien compris ton “emballement” pour On1. J’ai aussi essayé sa mouture 2024, et j’ai vite été lassé. Je trouve que, outre les bugs et la mauvaise traduction en français récurrente, il tend à produire des photos dégradées sans qu’on ait un réel contrôle sur ce que l’on fait. On peut être bluffé à la première vision, mais quand on y revient…
Mais peut-être est-ce parce que je ne le maîtrise pas.
Je préfère en tous cas rester avec Lr Classic, qui continue à s’améliore régulièrement, et qui permet des aller-retours faciles avec Photoshop lorsque c’est nécessaires. J’en suis utilisateur depuis ses débuts, je pense bien le maîtriser, et ça me va !
La taille des .dng produits par le débruitage AI ne me gêne pas. Il est vrai que j’en fais une utilisation modérée, mais je préfère avoir besoin d’utiliser un stockage plus important, et aussi bien gérer mes originaux en éliminant ce qui n’est pas à garder, plutôt que compliquer mon flux.
La future version d’Excire dont je viens de recevoir l’annonce semble en effet intéressante. Toutes mes photos étant gérées par Lr, j’ai aussi testé Peakto, et j’ai trouvé qu’il me compliquait les choses (mais c’était une des premières versions).

Gilles
Gilles
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

La traduction est mauvaise car confiée à un robot pour que ça ne coûte pas cher, et comme il ne semble pas y avoir de relecture… Je leur ai proposé mes services à plusieurs reprises, mais ils m’ont toujours laissé entendre, chez On1, que la localisation (traduction) de leur logiciel n’était ni une priorité, ni même vraiment un souhait.
Mais le plus risible, ce sont les traductions des mots-clés AI. Comme “clé-haute” pour “high-key”. Ce n’est pas sérieux…
Je viens d’ailleurs de supprimer mon abonnement, je ne m’en servais pas, et j’ai tout désinstallé.

Caplan
il y a 3 mois

😉

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Gilles
Gilles
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Si la version FR de On1 est assez risible, ce splashscreen de Lr Classic l’est tout autant. Des fois, j’ai du mal à comprendre…

Guy
Guy
il y a 3 mois

Bonjour,
Depuis quelques temps, lorsque je veux faire une économie de taille pour des fichiers qui ont échappé de peu à la corbeille, j’utilise l’export Lightroom en DNG compressé.
J’ai essayé la manip avec des DNG linéaires issus de DXO après un débruitage DeepPrime AI et j’arrive aux résultats suivants:
taille Raw d’origine 49 614 Ko (Pentax K1 II)
taille DNG linéaire 130 638 Ko
taille DNG linéaire compressé 10 738 Ko:
Sauf si je passe à coté de quelques chose d’important, c’est la méthode que je vais adopter pour conserver les fichiers débruités avec DXO, car, en plus, le DNG compressé par LR conserve les valeurs des paramètres de développement du DNG non compressé, que l’on peut copier si besoin vers un nouveau DNG linéaire que l’on serait amené à créer:
Votre avis? Bien amicalement:Guy

Guy
Guy
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Voici mon flux: importation des photos et développement avec Lightroom, transfert vers Photolab pour débruitage DeepPRIME et corrections optiques si je juge le débruitage LR insuffisant.
Ensuite export depuis PhotoLab en DNG linéaire corrections optiques et débruitage seul vers LR, réajustement éventuel des paramètres de développement LR, puis export LR du DNG linéaire en DNG compressé vers le dossier d’origine avec catalogage, suppression du DNG linéaire.
Ainsi, tout au long du flux, les paramètres de développement LR sont conservés, sauf bien sur la correction optique et le débruitage remis à zéro car remplacés par ceux de Photolab.
Cela peut paraitre lourd, mais en créant un preset LR d’export en DNG compressé que l’on peut appliquer sur un lot de photos, cela me va.
Je conserve, bien entendu, le Raw originel:

desboisch
desboisch
Member
il y a 3 mois

Pour ma part, après être passé chez Capture One, il y a quelques années à cause des fichiers Raw Fuji, au vu des progrès de Lightroom, je suis revenu depuis deux ans sur ce logiciel que j’avais gardé uniquement pour le catalogage. J’ai fait des formations Lightroom et Photoshop avec Antonio Gaudencio (merci le CPF), et je commence à me débrouiller à peu près correctement. En tout cas, suffisamment pour moi. J’avais pris l’abonnement Peakto dès le début, car l’idée me plaisait bien et je voulais soutenir le logiciel. Mais je vais arrêter, je me rends compte que je ne m’en sers quasiment pas. J’espère que la nouvelle version de Excire Search va mettre Lightroom presque au même niveau. Plus je vieillis, plus je considère qu’il vaut mieux se servir du minimum de logiciels, mais de les maîtriser. Pour l’instant, Lightroom a de l’avance sur les autres et je ne me vois pas le remettre en cause. Le poids des fichiers est pour moi un faux problème, le stockage ne coûte pas si cher. Mais dans ma pratique, il y a assez peu de photos qui m’obligent à avoir recours au débruitage de PureRaw ou de Lightroom.

ysengrain
ysengrain
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

Je ne comprends pas bien l’intérêt de dépenser 149€ pour faire une recherche alors que LR contient cette fonction parfaitement fonctionnelle, dans mon expérience: toutes mes photos sont marqués de mots-clés

Matthieu
En réponse à  François Cuneo
il y a 3 mois

L’approche d’Excire qui nécessite la création d’un nouvel album à chaque recherche me semble peu flexible. Cela rajoute de la confusion dans la zone des albums et impose la discipline d’aller effacer les albums résultants de chaque recherche. D’autant que tous ces albums sont statiques: ils ne se mettront pas à jour automatiquement quand les contenus évolueront. Il faudra donc recréer un nouvel album à chaque recherche même si le prompt de recherche est identique.
La solution plugin permet certes de rester dans l’outil mais avec des limitations qui sont trop importantes.
C’est précisément pour cela que nous avons décidé de créer Peakto non pas comme un plugin mais comme un outil autonome, qui se synchronise avec les différents outils d’edition de photo qui donne plus de liberté dans les modes de visualisation et d’organisation contextuelle des photos. Avec une recherche conversationnelle qui aille plus dans le détail que des keywords ou qui vienne palier à leurs absences. 
Un outil de consolidation/annotation (automatique)/recherche/visualisation fluide et rapide sur l’ensemble des contenus est donc la proposition de valeur unique de Peakto. On s’adresse à ceux qui soit n’ont pas le temps d’annoter, ont trop de photos pour les avoir dans un seul catalogue, ont différentes sources ou veulent pouvoir combiner plusieurs outils d’édition pour avoir le meilleur de tous les mondes.

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