Petit coup de gueule en ce jour…
Je vous ai parlé de Fantastical, très bel agenda, que j’ai testé ici, et de CardHop, gestionnaire de contacts, à propos duquel qui j’ai fait de même là.
J’ai beaucoup apprécié ces logiciels, même si j’ai désinstallé finalement CardHop, parce que je me suis rendu compte qu’au final, je ne l’utilisais jamais, préférant BusyContacts, que j’ai testé ici.
Flexibits, l’éditeur de Fantastical et de CardHop est passé à l’abonnement il y a trois ans..
C’est la mode, OK voilà, c’est comme ça.
L’abonnement coûtait (et semble coûter toujours, ce qui est très étrange) 39.96 $ par année.
Sauf que j’ai reçu l’autre jour un courriel indiquant ceci:
Je traduis (merci DeepL):
Mise à jour des prix pour les abonnés
Le prix de l’abonnement à Flexibits Premium augmentera le 3 janvier 2023. Le nouveau prix ne vous sera facturé qu’au moment du renouvellement de votre abonnement.En raison de l’inflation et de la hausse des coûts, c’est la première fois que nous devons augmenter les prix depuis le lancement de Flexibits Premium il y a 3 ans. Le nouveau prix annuel sera de 56,99 $ (US) – soit une augmentation de 1,42 $/mois (US). Les autres monnaies peuvent être légèrement différentes.
Pour continuer à bénéficier des avantages de Flexibits Premium, vous n’avez rien à faire. Nous vous informons simplement du changement de prix à venir.
Si vous préférez annuler, vous pouvez le faire à partir de votre compte Flexibits.
Nous vous remercions sincèrement pour votre soutien continu à Flexibits. En tant que petite entreprise indépendante, cela signifie tout pour nous.
Il faut bien vous rendre compte que depuis qui je suis passé à l’abonnement, certes, les mises à jour ont été nombreuses, mais essentiellement pour corriger des bugs ou pour apporter une meilleure compatibilité avec des rendez-vous liés à des séances effectuées via des vidéoconférences de type Zoom.
Pour moi, rien de nouveau, à part, bien évidemment, le passage aux puces M1 et M2 en natif, et les améliorations de compatibilité avec les nouveaux systèmes.
Des nouvelles fonctionnalités depuis trois ans sinon?
Franchement, je n’en vois pas.
Alors cette augmentation faisant passer le prix de l’abonnement de 39.96$ à 56.99$ sous prétexte d’inflation et du fait que waouh rendez-vous compte, nous n’avons pas augmenté nos prix depuis trois ans (alors que la hausse avait été massive lors du passage de l’abonnement à ce moment-là), c’était la goutte de trop.
J’ai écrit un courriel à Flexibits pour leur dire mon mécontentement.
Ils m’ont répondu qu’ils étaient une petite entreprise qui devait assurer ses arrières, et que ce faisant, ils augmentaient leur prix, mais qu’ils m’offraient un mois gratuit pour la forme.
Lors de ma découverte de Calendar 366 II que j’avais testé ici, je vous avais dit que je pensais me séparer de Fantastical, mais j’hésitais encore un peu, j’utilisais les deux.
Pour la forme, j’avais coupé le renouvellement automatique de mon abonnement, mais je me gardais la possibilité de le réactiver juste avant son expiration.
Suite à mon échange de mail avec l’éditeur, j’ai décidé d’aller plus loin.
Vous allez pouvoir suivre, en léger différé, à un acte fort qui, l’air de rien, me fait vachement mal, parce que je déteste me défaire d’un service.
Voici.
Voilà, ça, c’est fait!
En conclusion
C’est rigolo, parce que le lendemain de ma décision de quitter définitivement Flexbits, un autre éditeur m’annonçait une augmentation de prix: Notion.
Là, on passe carrément du simple au double!
Cela étant, les abonnés fidèles de Notion, tant qu’ils ne changent pas d’abonnement, continueront, si j’ai bien compris, à payer le même prix.
D’autre part, Notion est un système tellement puissant qu’il vaut bien le 96 $ qu’il demande maintenant pour les nouveaux abonnés.
Et puis, Notion utilise de l’espace de stockage qui peut être plus ou moins… énorme selon les utilisateurs, ceci peut justifier une augmentation.
Enfin, la version gratuite de Notion vous permet de faire un nombre de choses incroyable, et si vous avez des besoins qui n’ont pas besoin de faire sauter les limites généreuses, vous n’aurez donc rien à payer.
Fantastical aussi, d’ailleurs, nous offre un mode gratuit, mais tellement limité qu’il n’apporte pas grand-chose, donc inutile d’alourdir mon Mac et mes iPhone et iPad avec lui et avec Cardhop.
Voilà, c’était mon coup de gueule du jour.
J’ai arrêté d’utiliser Fantastical. Je m’étais abonné par erreur (j’avais oublié d’annulé l’essai). Je n’arrive pas à me plier à sa logique de “listes de calendrier”, car je n’arrive pas à avoir une constance dans mon emploi. Je préfère la simplicité du calendrier intégré.
Et donc ce sera Tchô Berthe aussi bientôt !
Bon, c’est un truc pourtant pas mal de Fantastical, je trouve: tu peux te faire des sets de calendriers différents.
Il y a des fois où je ne veux voir que les rendez-vous privés, c’est fait d’un clic, même s’il y a plusieurs calendriers liés à ce set, idem avec le professionnel.
Mais comme BusyCal est compris dans Setapp, et que de toute manière, c’est mon calendrier préféré, qu’en plus, il a aussi les groupes de calendriers, noooooooon rien de rrrrrrieeennnnnnn, noooooooooon je ne rrrregrrrettte rrrrrieeeeennnnnnnn…
Ouais… j’ai jamais réussi à me faire à ces sets. Au bout d’un moment j’en ai autant que de calendriers.
Je préfère choisir en fonction de mon besoin.
Le seul truc que j’aime bien dans Fantastical, c’est sa capacité à créer des événements avec du texte copié d’ailleurs…
Mais c’est pas toujours efficace… Donc je l’utilise pas.
C’est un des trucs les plus dangereux, je trouve: tu crois qu’il a compris juste, mais non…
Alors, si c’est pour tout vérifier trois fois, autant faire avec ses petits doigts.
Cela dit, tous ces calendriers qui travaillent avec le langage naturel sont aussi dangereux que lui.
Tout à fait… Je me méfie de ces automatismes… En vrai je les utilise pas.
A propos de calendrier, j’en cherche un (et je suis pas le seul) qui puisse publier des événements dans un calendrier vertical. Comme ci-joint.
ça semble tout simple, mais aucun truc que j’ai essayé n’arrive faire ça…
(il me semble?).
Aucune idée de qui sait faire ça…
C’est fou non ?
C’est pourtant simple comme idée !
Oui, mais on s’approche d’un gestionnaire de projets.
Tiens, je suis presque sûr qu’on doit pouvoir faire ça avec Notion…
J’ai regardé. Mais déjà pas de moyen simple de lier un calendrier externe à Notion il me semble.
mais je vais voir du côté des gestionnaires de projets.
Ah, et ton DayLite ne peut pas faire ça???
Utilisateur de Fantastical (certainement suite à une présentation ici) depuis plusieurs années, je ne l’utilise plus depuis leur passage au modèle d’abonnement.
Pour certaines applications (1Password) ce modèle ne me dérange pas, mais pour un calendrier qui a peu d’évolution j’ai du mal à accepter de payer une licence annuelle.
Je suis passé sur Busycal, j’ai toujours quelques difficultés ou bug d’utilisation (souvent sur l’iphone, lorsque je créé un nouvel évènement il le place par défaut en début de semaine au lieu de le placer sur la date du jour, ça m’a valu quelques surprises…)
Hormis ceci il fait très bien son boulot, bonne intégration avec le mac et l’iphone, et plus ergonomique (de mon point de vue) que l’application native Calendrier.
J’utilise beaucoup BusyCal dès qu’il s’agit d’ouvrir une vraie fenêtre de calendrier. C’est le seul qui accepte d’ailleurs de mettre un titre d’événement sur plusieurs lignes dans la vue Mois.
Par contre, je n’aime pas son menu permanent, raison pour laquelle j’utilisais Fantastical et maintenant Calendar 366 II.
Sur iPhone, je suis sur plein d’applications: TimePage, Calendar 366, mais pas BusyCal que je trouve pas terrible sur iOS.
François : j’ai aussi désinstallé (avec App Cleaner) Fantastical dont je ne me servais plus. Pourrais-tu vérifier que CleanMyMac a bien mis à la corbeille les fichiers suivants :
Hello!
J’ai vérifié et c’est tout bon!
Tu sais, CleanMyMac fait un excellent boulot.
Parfois, il va certainement rater quelques fichiers qu’AppCleaner aura trouvés, et souvent c’est pareil dans l’autre sens.
Merci d’avoir vérifié. Je ne doute pas que CMM fasse du bon boulot, mais, si je ne trompe, il n’indique pas les fichiers qu’il trouve et supprime dans les bibliothèques. Hier je lui ai demandé de supprimer une app en provenance de chez Kensington et ce matin j’ai découvert par hasard (en cherchant les traces laissées par Peakto) qu’il y avait encore des fichiers, 600 ko seulement !) dans un dossier KensingtonKonnect dans le dossier Application Support.
Quant à Peakto, dans le même dossier Application Support, il a créé, suite à l’importation de mon catalogue LRclassic et la librairie de Photos, un dossier contenant en particulier les Thumbnails et quelques autres fichiers pour un total de 12,5 Go pour environ 320 000 éléments.
Si si, CleanMyMac montre bien les fichiers qu’il va effacer. I faut aller sur la petite flèche bien à droite du nom et déployer la chose, c’est super bien fait.
Normal qu’il ne trouve pas tout cela étant pour toutes les applications. Il y avait un temps un truc en tâche de fond qu’il utilisait pour surveiller les installations, je ne sais pas si c’est toujours valable.
Ah! Oui, j’avais su pas vu, merci. On apprend plein de truc ici ! 😉 Faut dire que CMM est particulièrement touffu.
Mais qu’est-ce qu’il est bien!
je suis globalement d’accord. Je n’ai qu’un seul doute: quand il “nettoie” les fichiers système, si tu refis la manip c’est comme s’il ne s’était rien passé la première fois
En second lieu, CMM est ukrainien.
Bonjour,
J’ai quitté NOTION depuis un an pour CRAFT qui est beaucoup plus souple et rapide !
Ah oui, mais alors rien à voir à ce que j’ai pu voir au niveau base de données.
Notion ne m’intéresse pas une seconde pour sa prise de notes, par contre, il remplacera certainement très bien FileMaker.
Craft est lui plus centré sur les prises de notes, mais ne touche pas ces tableaux de base de données multi-vues géniaux.
Et je constate, en plus, que Craft est intégré dans Setapp!
Ah la la, ce Setapp, quelle merveille!
Je propose un nouveau label Cuk:
Je le prends?
Je peux?
Non, sérieusement, sur ce logiciel, ce serait fort après lui avoir donné un Too Much Bô! 😄
Quand tu en trouveras un qui n’est pas assez esthétique, tu pourra utilisé ce nouveau label :
Ah, quand un concept est bon, on peut le décliner à toutes les sauces! 😄
En tant qu’éditeur de logiciel, j’avoue avoir été un peu choqué par cette affirmation de François. Celle-ci et quelques autres parsemées dans le texte donnent à penser que l’abonnement ne se justifie en réalité, qu’en présence d’ajouts continus de fonctions dans un logiciel, mais que support et maintenance ne nécessitent pas rémunération.
Nous aussi, chez Quartesoft, étudions sérieusement la possibilité de changer de modèle pour passer à l’abonnement pour MacPay+, et ce justement, pour pouvoir rémunérer la maintenance et le support.
Notre cas est assez spécifique dans la mesure où nous dépendons de deux environnements différents qui exigent tous deux une grosse dose de maintenance (je regroupe sous ce terme l’ensemble des tâches de développement qui permet à MacPay+ de rester compatible avec les derniers macOS d’une part et avec l’environnement bancaire suisse d’autre part).
Le rythme des nouveaux OS annuels imposé par Apple est extrêmement rapide pour une petite force de développement. Parfois, il suffit de peu d’adaptations, mais parfois, nettement plus; ce fut le cas toutes ces dernières années, sans même parler du passage aux nouveaux processeurs qui, pour une application complexe et rétrocompatible avec de nombreuses versions de macOS comme MacPay+, ne ressemble pas aux portages éclairs de la conférence des développeurs. Les changements dans une application ancienne peuvent être extrêmement chronophages et nécessiter de longues phases de test.
Les changements fondamentaux du système suisse de trafic des paiements ces dernières années (passage à la norme ISO 20222, QR-facture) ont nécessité et continuent de nécessiter un travail important qui malheureusement a apporté très peu de valeur ajoutée à nos clients, voir même selon les établissements bancaires une certaine régression. Ce travail n’est pas terminé chez nous, mais la révision de la norme ISO 20222 est déjà en arrivée d’ici 2024. Ici, nous n’avons pas de choix: ou nous sommes à l’heure au rendez-vous, ou nos clients perdent l’usage du logiciel au moment du passage effectué par les banques comme ce fut le cas lors de l’abandon des anciens bulletins de versement au profit de la nouvelle QR-facture.
Ces gros changements de l’écosystème bancaire sont malheureusement accompagnés de changements non annoncés et absolument pas coordonnés à l’échelon des banques: telle banque modifie un processus de production de ses données, change un point ici ou là et casse la connexion avec MacPay+. Et malheureusement, ce sont nos clients qui en font les frais et nous avertissent: MacPay+ ne marche plus, il faut investiguer et si c’est un changement côté banque, redévelopper la partie modifiée. En urgence, car si MacPay+ semble pour beaucoup un logiciel secondaire, entre le 28 du mois et le 2 du mois suivant, il devient «mission critical». Pour mieux éclairer la situation, je peux vous donner l’exemple d’une banque avec laquelle nous offrons une connexion directe qui a changé de fournisseur IT et de système serveur. Il a fallu sans doute investir au moins 4 semaines de développement full-time (répartis sur des mois en raison de systèmes de tests inaccessibles, normes obsolètes, interlocuteurs absents, etc.) pour redévelopper toute une interface de connexion complexe. Nous avons moins d’une douzaine de clients dans cette banque.
Tout manager non dément dira que cette affaire n’a pas de sens. Economiquement, c’est absolument vrai, mais ce n’est pas la seule valeur à laquelle nous sommes attachés: nous avons des clients d’une longévité et d’une fidélité exceptionnelles (y compris François jusqu’à la semaine dernière) et nous ne nous voyons pas simplement leur annoncer que MacPay+ n’ira pas au-delà de la dernière révision de macOS ou de la norme bancaire.
Et nous avons aussi des projets que nous aimerions mener à bien, pour nos clients et pour notre satisfaction personnelle: il manque à MacPay la possibilité d’exploiter de manière active l’ensemble des données bancaires téléchargées. Les formats camt de la norme ISO 20222 ouvrent de nouvelles perspectives dans ce domaine que nous aimerions pouvoir développer et offrir dans de nouvelles versions.
Financer de manière récurrente les activités présentées ici est la clé pour garantir la pérennité de MacPay+ et son développement. Il n’y a pas d’autre voie à part éventuellement le crowdfunding qui malheureusement est tellement énergivore que nous aurions de la peine à le mettre en place dans notre équipe actuelle. L’idéal serait de pouvoir fonctionner sur la croissance continue de la base de clientèle, mais le marché suisse est ce qu’il est. Même sans concurrent direct à égalité de prestations, MacPay+ ne croit pas assez à l’heure actuelle. Le matraquage des banques est trop fort. Certains produits tournés vers la clientèle PME et vont plus loin que MacPay+ comme Bexio ou Klarna ont investi des sommes considérables dans le développement de leurs plateformes.
Nous sommes convaincus que nous perdrons des clients en passant à l’abonnement, mais finalement, comme François l’a fait, chacun sera obligé de se positionner et de réfléchir à ce que lui apporte ou ne lui apporte pas MacPay+
Alors ça, ça doit être le commentaire le plus complet que je n’aie jamais reçu sur ce blog.
Je te remercie d’avoir pris le temps de l’écrire, et bigrement bien, en plus.
François, je n’ai jamais été contre les abonnements, je crois que tous ceux qui suivent ce blog le savent.
Maintenant, pour reprendre ce qui t’a choqué dans mon article, Fantastical n’est pas MacPay.
Les modifications apportées par Flexibits sont mineures (en tout cas en apparence), et ce qui doit être pénible pour eux, ce sont juste les plateformes de visioconférences qui doivent, comme les banques, changer de temps en temps leurs API, mais c’est tout et ça doit être bien moins compliqué que ce que vous vivez.
Apple, elle aussi, doit être aussi compliquée à suivre, mais je suis persuadé que la suivre doit être moins difficile pour des gestionnaires de contacts ou d’événements.
La preuve, de tout petits éditeurs (une personne comme Calenard 366) s’en sortent “en direct live”.
Je suis désolé, mais Fantastical n’évolue que très peu depuis quelque temps.
Ainsi, augmenter le prix de l’abonnement n’a pas de sens pour moi, je ne dis pas que ça n’en a pas pour eux.
En ce qui concerne MacPay+, c’est tout autre chose qui me fait le quitter au moins provisoirement.
Comme je te l’ai dit il y a un mois par téléphone, je ne l’utilise plus que pour trois ou quatre transactions par mois, donc je ne centralise plus rien avec lui.
Tout le reste de mes paiements se fait soit sur les sites des vendeurs, soit sur le site des banques, au fur et à mesure que je reçois les factures avec code QR qui font tout le job de recensement des données nécessaires à un paiement à l’aide d’un simple téléphone.
Je n’ai plus besoin de la calculette UBS ni de celle de la poste, et en plus, il y a Twint qui aide dans de nombreuses situations.
MacPay+ ne me sert plus vraiment dans le monde dans lequel nous vivons.
L’idée pour moi était de pouvoir retrouver mes paiements et les factures qui vont avec dans votre logiciel, ce qui était le cas puisque je payais tout à travers lui.
Depuis quelques jours, j’essaie à nouveau MoneyDance qui, lui, centralise tous mes paiements très facilement et intègre sans problème les pièces jointes, d’où qu’elles viennent.
Je sais bien que vous bossez comme des dingues pour MacPay+ qui est un excellent produit, je l’ai assez dit ici.
C’est simplement que ce type de logiciels ne répond plus à mes attentes à moi, personnellement, mais qu’il rendra certainement des services à ceux qui font des paiements en masse.
François, je ne veux tout de même pas payer un abonnement pour passer trois factures par mois (tu m’as d’ailleurs dit que tu comprenais parfaitement cela), c’est pour ça que je pars, pas parce que vous faites du mauvais travail, au contraire, vous en faites de l’excellent.
Reste le problème du passage aux processeurs M quelque chose.
Franchement, pour moi, le fait qu’un logiciel ne soit pas natif M1 après plus de deux ans d’arrivée de cette technologie processeur m’inquiète.
Voilà, je souhaite vraiment, du fond du cœur, un plein succès à votre entreprise, à MacPay.
Et merci tout le travail accompli jusqu’ici, et celui à venir.
Bien amicalement.
Mon commentaire se voulait plus générique que ton cas particulier qui est un peu différent: tu as fait le choix de splitter tes moyens de paiements et MacPay ne peut pas te suivre dans cette voie, ce n’est pas son rôle, donc évidemment tu choisis une autre voie, c’est logique et parfaitement compréhensible. Ton problème n’est pas lié à l’abonnement mais au produit.
Personnellement, si je peux me permettre, je pense que ce n’est pas un bon choix. En séparant la facture de son paiement, tu perds en sécurité (j’ai classé cette facture, mais l’ai-je bien payée ?) Il faut une très grande rigueur dans le processus pour ne pas devoir lever le doute par une connexion et recherche sur le site de la/les banques/s. Tu te prives aussi du téléchargement de tes opérations et e-documents de manière centralisée.
Nous avions remédié à ton problème de base en intégrant dans MacPay+ le téléchargement des e-factures qui permettait de garder la cohérence des canaux de paiements. La place financière suisse a supprimé cette possibilité à notre grand regret. Tu es sans doute la démonstration vivante du coût de cette décision car je suis presque certain que tu serais encore utilisateur si cette possibilité existait.
Oui, je pense aussi que je n’aurais pas pris cette décision.
Pour moi, la suppression de cette fonction a été une claire régression, mais je sais bien que vous n’y pouvez rien.
Mais bon, si tu veux que j’image, les paiements, c’est un peu comme l’abonnement… Je n’attends plus l’équivalent des mises à jour majeures (le 28 du mois par exemple) pour les faire, je paie au fur et à mesure qu’ils arrivent, avec les moyens que l’on me propose et qui sont souvent instantanés.
Qui ne paie pas avec TWINT un certain nombre de commandes, en Suisse?
La facture avec QR Code est également une sacrée facilité, liée avec nos téléphones.
PayPal, les cartes de crédit tout éclate, les moyens de payer aussi.
Les factures électroniques n’en sont qu’une partie.
Pour le stockage, c’est vrai qu’il faut de la rigueur, mais je n’entre mes factures dans MoneyDance que lorsque je les ai payées, donc je ne me pose pas la question.
Il y a aussi les entrées automatiques, mais je les valide lorsque je vois qu’elles sont passées.
J’indique aussi dans MoneyDance le moyen de paiement, ce qui me permet d’aller rapidement voir ce qu’il en est sur le site de la banque ou de la carte de crédit.
J’ai fait moi l’inverse de François. Dès que j’ai pris une licence MacPay, j’ai annulé tous mes ordres e-bill. Et tout passe, via des factures pdf ou scannées par le logiciel.
a vrai dire, je n’utilise pas la moitié du quart des fonctions. Et je vous avoue au passage que certaines fonctions sont encore trop complexes à gérer (les doublons de destinataires et leur base de donnée, les paiements permanents ou récurrents)… ceci dit je m’en fiche un peu. J’aime avoir toutes mes factures au même endroit. Ce qui me facilite mes traitements de fin d’année (je suis pas très fidèle à ma compta personnelle en cours d’année). Et je retrouve tout via la liste des destinataires ou des paiements.
C’est aussi une manière de faire, mais alors, tu ne paies rien avec Twint (par exemple)?
Avec twint presque jamais rien. Je transfère parfois des sous à des gens (des amis ou des trucs achetés sur Ricardo). Et ce sont des choses pour lesquelles je n’ai pas besoin de garder une trace autre que le débit sur mon compte.
(je déteste payer avec Twint dans les magasins…. Ça peut être tellement lent!)
je paie beaucoup avec les cartes de crédits. Dans ce cas je paie la facture de carte avec macpay et je retrouve mes paiements dans le pdf de la facture. Et si la dépense est importante (santé ou gros achat) je range le pdf de la facture en vrac dans un dossier qui va bien (perso, impôts, ménage), et si besoin échéant dans une feuille Numbers qui nous sert de « vague comptabilité ».
c’est pas tes organisé mais c’est bien suffisant.
on fait de la compta ad hoc pour le job (et elle est fort bien tenue), mais pour le perso j’ai lâché prise il y a fort longtemps.
En fait macpay me permet juste de retrouver ce dont j’ai besoin quand j’en ai besoin (donc rarement).
Eh bien alors c’est top! 😀
Je sais bien que c’est un excellent programme.
Effectivement, à part pour le transfert entre amis, Twint est plus que pénible, sans comparaison avec ApplePay. Nous avons aussi renoncé à nos e-factures malheureusement qui étaient une fonctionnalité géniale en intégration dans MacPay mais mal aimée des banques qui veulent absolument amener les clients sur leurs e-bankings.
Oui, je ne paie jamais en magasin avec TWINT (au début, j’ai essayé, mais ça plante souvent). Je paie avec ma montre.
Mais au marché, chez certains artisans qui ne veulent pas d’un système à cartes, je le fais souvent.
Et je paie énormément directement avec TWINT sur l’ordinateur, via le QR code.
Bien évidemment, comme toi, pour donner de l’argent rapidos à ma famille.
Non… à part en magasin, TWINT, c’est vraiment très bien fait.
Effectivement, la gestion implicite des destinataires utilisée dans les premières versions n’était pas top. La version 6 a introduit une interface de gestion plus explicite pour cela mais qui est sans doute sous-utilisée. On y gère aussi la récurrence et la conversion d’anciens paiements en nouvelles transactions.
Alors justement l’interface de gestion, je m’y perds un peu. Mais étant surchargé ces derniers temps je deviens un utilisateur impatient. Il faut que j’y replonge avec un œil neuf.
On est toujours à l’écoute des suggestions ou dispos pour des explications si nécessaire.
Promis! La prochaine fois je vous écrit si j’ai une question. Ça fait un moment que je n’ai plus d’autre temps que de balancer mes pdf dans le logiciel a mesure de leur arrivée et d’effectuer les paiements à la fin. Je et pour ça il me convient parfaitement. Worth every penny! 🤩
Bonjour mirou,
Par curieux, comment les factures arrivent directement MacPay ? Parce que je ne vois pas comment.
Je ne vois pas comment passé.
J’étais l’ancien MacPay, y a plus 10 ans, je me souviens que je n’ai même pas réussi payer les factures depuis MacPay et j’ai donc abandonné ce logiciel et revenir mon habitude de paiement…
Aujourd’hui, je trouve que les paiements avec le mobile est plus pratique et facilement valider un seul clic des factures via ebill.
Je vous remercie d’avance pour l’explication et bon dimanche
Elles y arrivent pas directement. En fait je les scanne, ou reçoit les pdf par mail, et je les glissent dans le logiciel.
Bonjour mirou,
D’accord,je vois comme manuel. Mon cas, avec e-bill, c’est plus pratique de recevoir les factures directement e-bill ça gagne le temps…
Mon vieux scanner Brother ne fonctionne pas sur Mac, donc il faudra que je prendrai le soin de réacheter un nouveau scanner qui sera capable avec Mac. (je suis flemmard de scanner depuis Windows et puis je les transfère vers Mac, c’est beaucoup du temps…).
Bonne journée
Cette fonctionnalité existait, on pouvait s’abonner aux e-factures de l’époque et activer une connexion automatique depuis MacPay qui téléchargeait ces e-factures pour paiement. Les banques ont supprimé cette possibilité qui n’existe donc plus dans MacPay+ actuellement.
Bonjour Quartesoft,
Oui, les banques ne gèrent plus aux e-factures parce que C’est SIX qui développe actuellement e-Bill donc les banques intègrent tout simplement e-bill, mais ils ne prennent pas la responsabilité sur le développement d’e-bill. C’est plutôt normal que les banques suppriment cette fonctionnalité.
Mais son seul défaut, les factures ne stockent que 6 mois seulement… C’est vraiment embêtant.
Mais sur le site, je ne vois pas les prix d’abonnement, mais un prix d’une licence.
Je vous remercie pour votre message et meilleures salutations
Bonjour Nicola, les e-factures ont toujours été gérées par Six et MacPay effectuait une connexion chez Six pour les récupérer. Lorsque nous disons “les banques”, nous utilisons un raccourci pour parler de la place financière suisse en général. Les décisions ne sont d’ailleurs pas prises par Six mais bien par les différents comités et groupes de projets où les grandes banques et PostFinance sont majoritaires. Six exécute les décisions.
Il n’y a pas de prix d’abonnement car la décision n’est pas encore prise. Elle sera liée à la sortie d’une nouvelle version 7 prévue pour le printemps.
Si je comprends bien, ce n’est plus possible non plus avec PostFinance? J’envisageais de supprimer mes factures E-Bill de mon compte bancaire pour les connecter à PostFinance et les rapatrier dans MacPay. Il faudrait plutôt que je supprime tout et demande des factures par mail?
Effectivement, PostFinance a sauvé la situation pendant un certain temps mais n’a pas pu aller au-delà en raison d’une modification générale du système de production des ex e-factures, désormais e-bills. La possibilité pourrait réapparaître à terme mais dans l’intervalle, la meilleure solution est d’opter pour l’email partout où c’est possible.
Merci, voilà qui est clair. Je vais faire ainsi. J’aime bien avoir mes factures dans MacPay et en général j’exporte le PDF “tamponné” dans DEVONthink après paiement.
Il y a une méthode qui fonctionne aussi en indexant dans DevonThink le dossier de PDFs qui se trouvent dans MacPay+ (en effectuant un clic droit sur le document MacPay+ puis en ouvrant le paquet et en créant un simlink à côté du document). DevonThink pourra ainsi le voir et indexer toutes les factures.
Excellent, merci, je vais essayer ça.
Il faut dire que tu parles à un spécialiste de MacPay+, bien sûr, mais aussi de DevonThink!
Mais tu as raison François de Quartesoft (pas moi donc), j’ai même fini par quitter Evernote (c’était la grande bagarre entre nous, lui sur DT, moi sur Evernote), mais pour Notes d’Apple, alors que j’ai la dernière version de DevonThink!
Alors j’emploie DT pour l’archivage de documents (PDF, texte, bureautique), mais aussi Notes d’Apple pour les bricoles en accès rapide.
Mais aussi Drafts et Obsidian pour du texte “brut” et iA Writer pour les trucs un peu plus longs, après en avoir essayé pas mal d’autres gestionnaires de notes (Simplenote, Joplin, Standard Notes, Evernote bien sûr et j’en passe…)
Je suis un peu “instable” de ce côté-là 😉
Alors là…
👏 👏 👏 👏 👏 👏
Respect!
Bon… Moi, c’est Notes pour le tout-venant, Noteplan pour mes réseaux, Agenda pour les notes de vie qu’elle soit privée ou professionnelle.
Le danger, c’est de ne plus savoir ou trouver tout ça.
Noteplan, pas de problème, vu que c’est du Markdown, Spotlight trouve, mais pas Agenda, par exemple.
Honnêtement je comprends la nécessité de l’abonnement, mais la multiplication des éditeurs à y passer c’est un enfer pour le consommateur au final. Je reste persuadé qu’un modèle économique à choix entre un abonnement ou un achat fixe avec rabais pour mises à jour est le meilleur choix. Ou l’intégration setapp.. Ça permet d’éviter l’aspect négatif du passage à l’abonnement. Et l’idéal serait l’ajout de features pour les mises à jour majeur, mais il est vrai que vous êtes un peu différent vu que les normes vous imposes une lourde charge de travail pour garder une connexion aux banques
Je comprends, nous sommes aussi consommateurs et pas spécialement tournés vers l’abonnement. Sa multiplication n’est toutefois pas le fruit du hasard ou d’un complot des éditeurs. L’industrie du soft est sans doute arrivée à une certaine maturité avec des produits qui font dans la majorité des cas plus que ce que les utilisateurs sont en mesure d’absorber.
Nombre de fonctions restent inutilisées dans tous les logiciels y compris dans macOS lui-même. Il devient dès lors compliqué et contre-productif de devoir systématiquement développer de nouvelles fonctions pour pouvoir effectuer une mise à jour régulière qui soit attrayante pour l’utilisateur. Ces nouvelles fonctions augmentent aussi la maintenance, la quantité de tests, de bugs, de support, etc. Alors que sans doute la consolidation et l’amélioration qualitative de l’existant seraient plus importantes.
Dans notre cas, un peu particulier, je le reconnais (mais nous avons tous nos contraintes), l’abonnement représente une forme de transparence des coûts: il dit: voilà ce que coûte le maintien en vie d’un logiciel comme le nôtre sur le marché suisse en 2022. A titre d’illustration, nous avons publié 18 versions depuis août 2020, date de sortie de MacPay 6. Certaines comprennent bien entendu des corrections de bug mais la plupart sont des ajustements à l’environnement Apple ou bancaire.
Ah j’y pense! Est-ce qu’il existe une app iPhone qui permette d’avoir l’arrivée d’un prochain bus (lausannois) sur un arrêt donné sous forme de widget sur son iPhone?