DxO est une solution de dématriçage qui devient la première étape dans votre flux de travail RAW quel que soit votre outil dédition photographique.
On pourrait également décrire PureRAW 4 comme un DxO PhotoLab 7 dont j’ai longuement parlé ici, sans tous les outils d’édition de PhotoLab, se bornant (si l’on peut dire) à dématricer l’image, gérer son débruitage (les eux en une seule et même étape), et à corriger les distorsions, le vignettage ainsi que les aberrations chromatiques.
DxO est le spécialiste de la connaissance des qualités et des défauts d’un nombre incroyable de couples d’objectifs et de capteurs, c’est cela qui a toujours fait sa force pour les corriger dans notre flux de travail.
Les corrections optiques sont donc, comme sur PhotoLab 7, basées sur une étude très poussée (de loin la meilleure du marché) du couple boîtier-objectif utilisé lors de la prise de vue.
Imaginez le nombre de couples créés pour tous les appareils et objectifs existants, ils se comptent en dizaines de milliers.
N’oublions pas que DxO effectue un travail conséquent, un objectif étant tout sauf homogène, les bords étant souvent moins bons que le centre, les défauts variant selon l’ouverture ou la focale, dans ce dernier cas quand il s’agit d’un zoom.
La correction doit donc être adaptative, elle doit s’adapter aux différences dans les coins et dans le centre de l’image.
Le dématriçage et le débruitage de PureRAW 4
DxO PureRAW 4 et DxO PhotoLab sont des produits qui développent votre fichier RAW (dématriçage) et diminuent le bruit dans l’image en essayant d’en préserver les détails et les couleurs dans une première étape.
DeepPrime et DeepPRIME XD2 sont deux algorithmes basés sur l’IA afin de gérer au mieux le bruit à partir d’un apprentissage profond de milliards d’images, contrairement aux deux premiers niveaux que sont Haute Qualité et Prime qui sont, eux, basés sur des algorithmes traditionnels basés sur des méthodes dites déterministes.
Dans les faits, les modes de PureRAW que nous allons utiliser sont ceux basés sur l’intelligence artificielle, les deux autres étant d’ailleurs cachés par défaut, si on veut les voir, il faut les activer dans les préférences.
Comme je l’ai déjà écrit plus haut, DeepPRIME et DeepPRIME XD2 effectuent la réduction de bruit en même temps que s’effectue le dématriçage, ce qui est un réel plus selon l’éditeur.
DeepPRIME sera utile pour les images sans difficultés particulières selon l’éditeur, alors que DeepPRIME XD2 le sera pour des images particulièrement difficiles.
DxO nous explique que l’amélioration de la version 2 de DeepPRIME consiste à rendre les détails plus croustillants tout en respectant les zones de flou apportés par le booké. L’idée est de trouver la meilleure balance entre les deux.
J’ai pu faire quelques essais difficiles à montrer pleinement sur un blog WordPress au vu de la compression des images.
Soit un RAW pris à 16’000 ISOs, dans de très mauvaises conditions lumineuses
Voici un détail 1:1 du RAW original:
Et voici maintenant le travail effectué par DeepPRIME et DeepPRIME XD2
Si la comparaison n’est pas flagrante, voici les images séparées:
Et dites-moi, qu’est-ce que donne DeepPRIME XD1, intégré à PhotoLab 7?
Curseur tout à gauche, vous avez DeepPRIME XD2, curseur tout à droite, vous avez DeepPRIME XD1
Comme plus haut, je vous montre les images séparément, que vous pouvez agrandir en cliquant dessus:
Il faut savoir que DeepPRIME XD1 a été traité avec PhotoLab, et que ce dernier ajoute des corrections de luminosité, contraste, et tant d’autres choses, alors que DeepPRIME XD2 a été traité avec PureRAW 4 qui lui se contente du dématriçage, du débruitage et des corrections optiques sans appliquer d’autres corrections que vous devrez faire dans votre logiciel d’édition.
Enfin, pour comparaison, voici ce que donne la correction avec AI fournie par Adobe Lightroom
Dans cette nouvelle version 4 de PureRAW, des curseurs à droite permettent d’ajuster le niveau d’application des algorithmes, ce qui est une très bonne chose.
Corrections des défauts des objectifs
Pure RAW 4 améliore, toujours selon l’éditeur, son algorithme de gestion de la netteté des objectifs, ceci notamment pour éviter des liserés qui pouvaient intervenir avec la version précédente entre un détail et un fond.
DxO explique être le seul à proposer cette amélioration de la netteté automatique adaptée à un objectif et à un capteur, de manière adaptive.
Cela dit, ici également, vous pouvez gérer la force de cette correction de netteté.
Mais DxO ne s’intéresse pas qu’à la netteté, il cherche aussi à régler les problèmes de distorsions qui appartiennent aux objectifs, notamment aux grands-angles, mais pas que.
Pure RAW, comme Photolab 7 et leurs prédécesseurs règlent en beauté les problèmes de distorsions en coussinet, en barillet et en trapèze.
Une correction de la distorsion implique souvent un plus ou moins léger recadrage, PureRAW vous permet de gérer comment il se comportera.
Comme je l’ai écrit plus haut, les aberrations chromatiques sont traitées tout comme le vignettage.
Le flux de travail
PureRAW 4 s’utilise principalement dans un flux de travail avec des applications d’édition d’images, comme Lightroom, CaptureOne, Photoshop (mais pas Photos d’Apple, en tout cas pas en direct), mais peut aussi s’utiliser en tant qu’application autonome si vous ne voulez pas passer par un tel logiciel.
Ici, le traitement avec aperçu en temps réel qui vous permet de comparer l’original avec ce que va sortir PureRAW (tiens, j’aimerais bien l’avoir dans PhotoLab, moi, cette option!), c’est nouveau dans la V4, mais pour aller plus vite, dans des situations avec de nombreuses photos dans la liste d’attente (voir plus bas), vous pouvez également demander un traitement sans aperçu.
Au moment du lancement d’un tel processus, vous avez tout de même une fenêtre qui affiche un résumé du traitement qui va être fait sur les images.
Vous pouvez aller plus loin encore dans l’autonomie puisque vous pouvez même sélectionner des images dans le Finder, et demander un traitement sans ouvrir Photo RAW, avec des qualités et des types de fichiers exportés directement saisissables.
Le fichier sera automatiquement placé dans un dossier DxO qui est créé dans le dossier d’origine de l’image.
Gestion de la file d’attente
PureRAW 4 vous permet de traiter des images par lots de manière plutôt subtile.
Vous pouvez changer l’ordre des séquences de traitement de fichier, d’en ajouter, d’en supprimer, c’est possible désormais avec PureRAW 4.
Et des petites choses importantes encore
Il faudra être attentif au nom du fichier qui va sortir du traitement de PureRAW.
Le réglage se situe à droite de l’image.
Par défaut, DxO renomme le fichier en commençant par le dater, ce qui est toujours ou presque déjà fait par Lightroom. Je ne retrouvais pas facilement mes fichiers lors de mes premiers essais. Je pensais à un bug mais c’était un choix de DxO:
Regardez le nom de fichier que ça me donnait dans l’aperçu, tout en bas…
J’ai changé en ceci:
Mais vous pouvez aller beaucoup plus loin en personnalisant ce que vous voulez obtenir en cliquant sur Modifier et en créant vos propres réglages que vous pouvez rappeler au cas par cas.
Il est important également de bien choisir le type de fichiers ainsi que la destination du fichier traité.
Si vous travaillez depuis un logiciel d’édition, le DNG sera indispensable pour pouvoir continuer votre édition personnelle, une fois tous les défauts du RAW supprimés par PureRAW.
Cela dit, ce fichier pèse immensément lourd, 2.5 fois celui du RAW original!
Et là, contrairement avec un traitement par PhotoLab, c’est compliqué d’exporter directement en JPEG puisque l’édition n’est pas terminée.
A priori, je ne peux donc pas utiliser la méthode décrite dans l’article que j’ai écrit ici, méthode qui économise énormément de place sur le disque, sans toucher à la qualité des images.
Cela dit, même si toutes les éditions ne sont pas possibles (par exemple, vous n’allez pas recadrer dans PureRAW 4), si vous exportez en JPEG, une option très intéressante est disponible: le SmartLighting normalement propre à PhotoLab et qui s’occupe de corriger les problèmes d’exposition localement, selon les zones de l’image, et qui est souvent tout à fait convaincant.
Enfin, si vous démarrez le processus depuis Lightroom, vous pourrez même choisir dans quelle collection vous voulez que l’image apparaisse.
Un clic dans la zone des collections affiche toutes celles que vous avez dans votre catalogue Lightroom.
Les prix
PureRAW 4, version pleine coûte 119 €
La mise à jour depuis la v2 ou la v3 revient 79 €
Les prix sont les mêmes en dollars.
En conclusion
PureRAW 4 est une solution qui peut s’intégrer dans beaucoup de flux de photographes professionnels qui ont déjà un logiciel d’édition d’images, mais qui veulent juste profiter du meilleur débruiteur et dématriceur du marché: sur ce point, je crois que tout le monde est d’accord, DxO est un expert et offre les meilleurs résultats.
Ces mêmes professionnels n’ont peut-être pas besoin d’un logiciel d’édition et de catalogage complet, comme l’est DxO, seul le moteur les intéresse.
PureRAW 4 est alors une bonne solution, sachant qu’elle va pratiquement imposer la création d’un DNG très très lourd qui, lui, sera ensuite édité par Lightroom, Photoshop ou CaptureOne.
En ce qui me concerne, je continuerai à privilégier l’édition de mes images difficiles par PhotoLab qui, alors que je lui envoie mes images depuis Lightroom, me permet de les éditer complètement tout en profitant du moteur de DxO pour le débruitage et le dématriçage, puis d’exporter l’image en JPEG dans Lightroom.
Reste une question à laquelle je n’ai pas pu obtenir de réponses.
Selon l’éditeur, DeepPRIME XD2 de PureRAW 4 est bien meilleur que la version XD1 qui est intégrée à PhotoLab 7, le logiciel phare.
Que va-t-il se passer au niveau de l’intégration de DeepPRIME XD2 dans Photolab 7?
L’obtiendrons-nous gratuitement ou devrons-nous attendre l’hiver et une version 8 qui aurait ce nouveau moteur comme motivation de mise à jour?
On m’a dit que DeepPRIME XD2 viendrait dans Photolab, je n’en doute bien évidemment pas, mais ce serait vraiment dommage que le grand frère soit moins bien loti que le petit nouveau pendant des mois.
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François écrit :
“Que va-t-il se passer au niveau de l’intégration de DeepPRIME XD2 dans Photolab 7?
L’obtiendrons-nous gratuitement ou devrons-nous attendre l’hiver et une version 8 qui aurait ce nouveau moteur comme motivation de mise à jour?
On m’a dit que DeepPRIME XD2 viendrait dans Photolab, je n’en doute bien évidemment pas, mais ce serait vraiment dommage que le grand frère soit moins bien loti que le petit nouveau pendant des mois.”
Voila bien ce que je reproche à DxO : nous distiller petit à petit des nouveautés qu’elle a dans son frigo depuis des semaines et des mois lors de mises à jour plus ou moins majeures, mais plutôt plus onéreuses. Je ne suis pas passé à la version 7 pour cette raison et peut-être que je ferai la mise à jour vers la version 8 lors d’un black friday éventuel. Ou peut-être pas… Je continuerai d’utiliser (ce que je fais d’ailleurs de moins en moins souvent) la version 6 jusqu’à ce que l’on ne puisse plus le faire. J’en ai assez de ces procédés purement marketing, juste pour faire des recettes. Mes photos d’amateur, même un (tout) petit peu éclairé, ne méritent pas ces investissements incessants. Net, je connais, plus net, je sais encore ce que c’est, mais plus net que net… (paraphrase de Coluche). Et finalement, en réalité, la perfection m’em***de !
Dans la photo de spectacle, je trouve que ces produits, à savoir DxO PhotoLab ou PureRAW, Topaz, ou l’AI d’Adobe, sont tout de même assez extraordinaires.
Quant à la politique de mises à jour de DxO, on en a souvent parlé, l’entreprise peut mieux faire, c’est clair.
Tout comme il est clair que je ne trouverais pas normal que DeepPRIME XD2 n’arrive pas très vite dans PhotoLab 7, gratuitement qui plus est.
On croise les doigts, parce que nom d’une pipe, ils font des excellents produits, chez DxO!
Très impressionnant… mais je ne me sens pas concerné.
Comme Daniel, je n’ai pas dans 99,9999% des cas de cet édifice de très haute technologie. Je ne suis qu’un amateur = je ne vis pas de mes photos. Je fais de la photo pour mon plaisir, et ce plaisir serait altéré, – ça ne concerne que ma position – si je me lançais dans cette “industrie”.
Je comprends, mais il faut savoir que l’étape supplémentaire dans le flux de travail est très facilement gérable.
Reste ce fichu fichier DNG qui prend énormément de place, sans compter que pour moi, il est exclu de jeter le RAW original.
Effectivement, c’est pénible la taille énorme du DNG. Sur ce site,
, ils parlent d’une annonce de DXO concernant la compression des DNG dans le futur.
Chaque fois que tu parles de RAW, ça me fait penser à la revue de comics d’Art Spiegelman!
Ah oui!😀
Je ne connaissais pas!
Le moteur de dématriçage de DxO est très bon. Comme dit dans l’article il n’y a pas mieux pour débruité et corrigé les “défauts” optique. Cependant j’ai toujours désactivé la netteté, car dans ce domaine le logiciel est mauvais et quand je vois les artefacts générés sur la peau et les cheveux de la photo de l’article avec ce nouveau DeepPRIME XD2, je me dit qu’il vaux mieux continuer ainsi. Autres domaines ou DxO est très mauvais, c’est la gestion des couleurs et surtout la récupération des hautes lumières. CaptureOne Pro est bien meilleur dans ces domaines, aussi c’est dans ce dernier que l’accentuation gagnera à être faite. Du coup cette nouvelle version n’apporte pas suffisamment pour le prix demandé.
Le traitement des couleurs dans PhotoLab est si mauvais que j’ai toujours hésité à l’utiliser. Comme PureRaw ne touche pas à la colorimétrie, c’est beaucoup mieux. Dans mon cas, µ4/3 et souvent la nuit, je peux monter en ISO jusqu’à 12800 sans grandes conséquences grâce à PureRaw; je ne traite que les photos qui le méritent car, c’est vrai, le poids des DNG créés est conséquent. Mais vu la manière dont Adobe a réussi à réduire ce poids dans les images corrigées par la nouvelle version de LRC, j’imagine que DXO va pouvoir pallier ce défaut.
Effectivement, le DNG linéaire permet de court-circuiter la gestion des couleurs catastrophiques de DxO. Pour que le poids des DNG conséquent, reste gérable, reprennont simplement les bonnes habitudes de l’argentique, de déclencher avec modération.
On peut voir en quoi le traitement des couleurs et la colorimétrie de PhotoLab sont mauvais ? Des exemples concrets, des comparaisons étayées ?
C’est simple, prenez une photo dans DxO PhotoLab, avec le profil “Couleur neutre, tonalité réaliste (gamma 2.2)” pour un résultat le plus fidèles possible, appliquez y une récupération des HL est c’est toute la colorimétrie de l’image qui est modifier. Faites la même chose dans CaptureOne Pro avec le profil ProStandart linéaire et appliqué la même récupération des HL, rien ne bouge niveau colorimétrique, de plus l’amplitude et bien supérieure à celle de DxO.
C’est un exemple parmi d’autre, certains curseurs affectent la colorimétrie générale de l’image alors qu’ils ne devraient pas y toucher. DxO n’est pas fiable au niveau colorimétrique. Mais tout le monde sait que la gestion des couleurs n’a pas était une priorité de la maison. Et ce n’est pas la récente augmentation du gamut de l’espace de travail DxO PhotoLab qui change les choses en profondeur.
Déjà, dans votre argumentaire, vous comparez des pommes et des poires, un profil linéaire avec un profil qui ne l’est pas. Ensuite, votre profil concerne l’ancien espace colorimétrique de travail interne à PhotoLab et ce profil n’existe plus dans la version actuelle.Enfin,chez moi, je ne constate pas les dérives colorimétriques que vous mentionnez…
J’ai arrêté la mise à jour à DxO PhotoLab 4, ceux-ci explique surement cela. En tous les cas c’était – à l’époque – le profil le plus neutre chez DxO et qui permettait la plus grande latitude de récupération. Je pense d’ailleurs que cette référence au Gamma 2.2 était fausse, car le rendu d’avec le profil linéaire de CaptureOne était proche. Je pense que par cette appellation de gamma 2.2 les concepteurs voulaient plutôt souligner un meilleur rendu dans les HL et BL, bien loin du Profil standard très (trop) contrasté. De toute façon, on ne peut que comparer des pommes et des poires en comparent le rendu de deux dématriçeurs, car chacun fait sa cuisine interne, et plus encore en ce qui concerne la colorimétrie. Depuis, j’utilise le meilleur des deux mondes DxO PureRAW pour ses qualités de débruitage et de corrections optiques hors l’accentuation (netteté de l’optique) qui comme je l’ai déjà dit et mauvais aussi. Quant à CaptureOne Pro, il accueille le DNG linéaire et son profil ProStandard linéaire offre toute à la fois une amplitude de traitement énorme et des couleurs plus justes bien que toujours fausses car seule une caractérisation du couple (boitier + objectif) en lumière normalisé pourrait ce rapprocher de la vérité. Mais ma pratique ne demande pas un tel degré de justesse.
DxO PhotoLab permet désormais d’utiliser des profils d’entrée DCP et, donc, rien n’interdit d’y installer un profil linéaire.
avec des RAW Fuji, je me servais que de Deep prime normal car je trouvais XD1 mauvais. Il y avait effectivement suppression du bruit mais création d’artefacts qui rendait l’image pas terrible. J’espère qu’avec XD2 ils ont fait des progrès mais j’ai lu quelque part que ce, ce n’était pas compatible avec les RAW Fuji. Quelqu’un pour confirmer ? je vais donc attendre et tester XD2 avant de passer à la caisse. D’autant que Lightroom Classic progresse très vite.
De toute façon à l’image de Photoshop les applications photographique, commence à intégrer de l’AI générative. Pour moi, ce n’ai plus de la photographie. En réponse, je ne fais plus de mise à jour et DxO PureRAW 3 sera ma dernière version, J’ai arrêté la course à l’armement du matériel photo (1DX et grands blancs en V1), pareil pour la micro (Mac Pro 61), et maintenant petit à petit pour les logiciels. Cette fuite en avant perpétuelle et de toute façon mortifière !
“Cette fuite en avant perpétuelle et de toute façon mortifière !”. Je suis désolé mais ça fait longtemps que je n’ai pas lu un truc aussi ridicule, notamment dans le domine de la photo.
La technologie évolue en permanence, et il y a aussi la demande et l’attente des utilisateurs, qui est constante, et à laquelle les fabricants de matériel et les éditeurs de logiciels répondent, tout simplement.
Qu’on n’est pas envie de s’y plier, ok, très bien, mais qu’on laisse aux autres la liberté de suivre les avancées dans le domaine.
Désolé, mais si les utilisateurs étaient à ce point en attente, pourquoi les sociétés utilisent une partie substantielle de leur bénéfice pour faire de la publicité !
A ce qu’il paraît :”La liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres”. Par la fabrication et le renouvellement incessant du matériel les fabricants utilisent des ressources limités qui pour être extraites nuisent à la biodiversité et accentuent le réchauffe climatique. Je dois avoir la liberté comme tout organisme vivant, de m’épanouir dans un environnement viable, c’est même un droit fondamental, qui prévaux sur votre simple liberté de consommer un produit non essentiel. C’est votre relation au monde et aux vivants qui est ridicule !
😏
Voilà un argument étayé😏
“…C’est votre relation au monde et aux vivants qui est ridicule ! “
Nous v’la bien 🤔
Il serait plus juste de dire ce n’est pas encore compatible avec Fuji. Et XD2 a justement été développé pour répondre aux problèmes de XD sous certaines circonstances.
Ok, je vais donc attendre cette compatibilité avant de tester. Merci
Capture One, a toujours eu une longueur d’avance pour le traitement des RAW de Fuji. Peut-être que Lightroom a su combler l’écart, ou du moins s’en rapprocher.
J’étais passé à Capture One, il y a quelques années à cause du développement des Raw Fuji. Mais Lightroom a fait d’énormes progrès depuis quelques temps, et sauf photo d’exception, pour mon utilisation personnelle, Lightroom me suffit (avec PureRaw de temps en temps)et m’évite de jongler entre différents logiciels. J’essaie de simplifier mon flux au maximum. J’ai fait des comparaisons dernièrement pour des grands tirages de photos de tempête à Ouessant, et la différence n’était pas flagrante et ne justifiait pas le temps passé.
Donc retour à Lightroom et tchô CaptureOne?
Retour a 90% à Lightroom depuis un moment déjà avec passage par Photoshop pour les impressions, mais parfois un petit retour à C1 pour des cas particuliers parce que j’adore ce logiciel
Pour alimenter le débat. J’ai bien vu qu’il s’agit de DxO Photolab 7 et non de PureRAW 4.
C’est justement ce défaut relevé par Réponses Photo que corrige XD2 de PureRAW, saison de plus pour laquelle je me réjouis de voir cette technologie dans PhotoLab, mais quand? QUAND??