Lorsque Lightroom est sorti en version Cloud (appelé maintenant Lightroom tout court, mais… sans le tout court hein!), j’ai été en 2017, je crois, l’un des tout premiers à migrer vers cette version qui place les photos en ligne, puisque j’ai fait la migration le jour de la mise à disposition des nouvelles formules par Adobe.
J’en ai longuement parlé ici puis ailleurs par la suite.
Je précise que j’avais, en quelque sorte, le beurre et l’argent du beurre. Je pouvais travailler avec l’application Lightroom qui visait les fichiers en ligne, mais également avec Lightroom Classic qui était synchronisé avec Lightroom (tout court, mais sans tout court donc).
J’importais les images dans Lightroom, elles partaient au format RAW dans le cloud d’Adobe, puis étaient téléchargées au format RAW toujours sur mon disque interne, pour Lightroom Classic.
Si j’allais dans l’autre sens (en important mes images directement dans Lightroom Classic), seuls les aperçus dynamiques allaient dans le Cloud.
Tout cela m’imposait un aller des fichiers RAW vers le cloud, et une fois Lightroom Classic lancé, un retour des fichiers RAW en local depuis le web qui, finalement, n’avait pas de sens.
Pas de sens écologique en particulier, puisqu’on sait que la bande passante et le stockage des fichiers en ligne sont énergivores.
Tout ça pour quoi?
Pour avoir le confort de voir toutes mes photos en ligne depuis mon iPhone, mon iPad, sur le Web, sans avoir besoin de synchroniser les dossiers de mon choix, l’entier l’était, tout en ayant mes images en local plein pot, images en local qui est la moindre des choses, à mon avis.
Et puis, il faut le dire aussi, je vais bientôt être à la retraite, et l’idée de payer 35.55 francs suisses (à peu près la même chose en euros) par mois m’ennuyait passablement, quand on sait que la version de base de Lightroom Classic, appelée Formule photographie (20 Gb), revient 11 francs 85.
Je vous laisse regarder ce qu’elle contient:
Cette offre qui tient depuis des années est incroyablement bon marché puisque les produits inclus sont bien évidemment mis à jour régulièrement.
Je précise que ma formule précédente à 35.55 francs suisses incluait 3 Tb de stockage (c’est 1 ou 3 Tb selon la formule, la 2 Tb étant passée à 3 « gratuitement »), ce qui, intrinsèquement, n’est pas un prix de fou.
Mais vraiment, encore une fois, le problème de ces photos plein pot « pour rien » dans le cloud me tarabustait, ce d’autant plus que je vais vous parler très bientôt de la solution de sauvegarde à distance que j’ai choisie quand je serai à la retraite et que je n’aurai plus de bureau, ce qui me permet actuellement de profiter de deux endroits de sauvegarde (la maison et le bureau, justement).
Déjà que j’allais prendre du stockage en ligne, il fallait en compensation réduire mon utilisation des clouds au maximum ailleurs, ce que j’ai fait, je vous l’expliquerai bientôt.
Vous me direz que quand j’écris plus haut que mes photos sont dans le cloud plein pot pour rien, ce n’est pas tout à fait exact, puisque je pourrais prendre la chose comme une sorte de sauvegarde.
Mais je préfère quant à moi les sauvegardes transparentes, avec des fichiers, des fenêtres sur un bureau et tout et tout.
Adobe au top sur ce coup
J’ai beaucoup critiqué Adobe et son service, mais sur ce coup, ils ont été vraiment bons.
Je vous explique.
J’ai donc décidé mardi de revenir à la version basique à 11 francs 85 de Lightroom Classic.
Sauf qu’Adobe nous propose de gérer nos formules, mais quand on est passé à la version Cloud, impossible de choisir tout seul en ligne ladite formule basique.
Je vous montre cette fenêtre de choix de formules, ici, vous en voyez trois, il y en a beaucoup plus.
Vous voyez la formule Photographie, mais parce que j’y suis passé maintenant et que c’est mon plan, avant, elle n’apparaissait pas.
J’ai donc lancé un chat avec un agent du service client.
En une minute à peine, quelqu’un était prêt à me répondre.
J’ai pu expliquer que je voulais revenir à la formule de base de Lightroom, que je ne la voyais pas.
L’agent me dit: ne vous inquiétez pas, on peut le faire nous-mêmes, voulez-vous que nous le fassions ensemble?
J’ai bien sûr accepté, et deux minutes au maximum après, je recevais une nouvelle facture de 11.85, et un avis de remboursement de 31 francs, puisque je venais de payer, trois jours plus tôt, 35.55 francs pour mon abonnement.
Sans aucun problème, j’étais repassé à la version Formule photographie (20 Gb).
À quoi il faut faire très attention
Bien évidemment, je ne dispose plus que de 20 GB au lieu des 3 Tb.
Lorsque je vais sur mon compte Cloud, je vois que mon compte est saturé, que je ne peux plus synchroniser, ce qui est tout à fait normal, mais mes photos ne sont pas effacées.
Ils sont plutôt cool, chez Adobe.
Mais bon, le but pour moi justement était d’effacer ces images.
Alors ATTENTION Mesdames et Messieurs!
N’oublions pas qu’un cloud est synchronisé.
Si j’efface mes images, depuis un endroit ou un autre, elles vont être retirées partout.
Avant toute chose
Faites une sauvegarde de votre catalogue Lightroom Classic, et de toutes vos photos sur le disque!
Ce que j’ai fait pour être en sécurité
Après la sauvegarde, pour commencer, j’ai lancé mon catalogue Lightroom Classic, et j’ai désactivé temporairement la synchronisation.
Préalablement à cet effacement, j’ai exporté mon catalogue Lightroom Classic dans un nouveau catalogue (sans copier les originaux).
J’ai bien évidemment essayé ce nouveau catalogue pour m’assurer que tout était bien en ordre, que j’y retrouvais bien toutes mes données (images, métadonnées, etc.).
Je n’ai pas activé sa synchronisation.
J’ai ensuite demandé au service technique d’Adobe, toujours via un chat, comment faire pour effacer les images dans le Cloud.
Là, les choses sont moins claires: on m’envoie sur des articles qui expliquent qu’il faut aller sur le Web et, à cet endroit, effacer les images. Visiblement, les images ne seraient plus dans le cloud, mais elles seraient toujours sur votre disque local d’après cette explication.
Je suis aussi passé par les préférences Lightroom, onglet Synchronisation,
J’ai cliqué sur « Supprimer. les données synchronisées », mais là aussi, on m’envoie sur l’application Web.
Cela étant, la seule solution, c’est d’aller sur ladite application web en effet, et de supprimer toutes les images, par lots maximums de 5’000.
On demande d’abord l’effacement d’un groupe de photos, puis, dans la barre latérale, on va dans les photos supprimées, et on demande de toutes les effacer définitivement.
Je précise que cette action a effacé toutes mes images sur mon iPhone, mon iPad et mon application Lightroom (tout court). C’est bien évidemment ce que je désirais.
J’ai bien peur que, si je n’avais pas stoppé la synchronisation de mon catalogue Lightroom Classic, tout aurait été effacé aussi!
Et ça voyez-vous, ça aurait été une certaine catastrophe (cela étant, j’avais des sauvegardes).
Une fois tout ceci terminé, j’ai relancé mon nouveau catalogue Lightroom (celui qui était l’export de l’ancien).
J’ai activé sa synchronisation.
Là, Ligthroom me montre que je ne peux synchroniser qu’un catalogue à la fois, et me demande si je veux abandonner l’autre au profit du nouveau, ce que je m’empresse d’accepter.
Je suis dans un nouveau catalogue, qui n’est plus synchronisé par défaut pour toutes ses images, mais seulement avec celles de mon choix.
J’ai fait le test, j’ai synchronisé un petit dossier, ça fonctionne absolument parfaitement.
Les images prennent très peu de place sur le Cloud puisque Lightroom n’envoie que les aperçus dynamiques désormais, comme c’était le cas avant que je passe sur Lightroom Cloud.
En conclusion
Je suis bien soulagé.
- je vais moins dépenser chaque mois « bêtement »;
- je vais avoir un impact bien moindre sur l’environnement, ce qui compensera, entre autres actions, une décision que j’ai prise concernant mes sauvegardes dont je vous parlerai bientôt;
- j’ai perdu la possibilité d’avoir toutes mes images sur tous mes supports (je n’ai que celles que j’ai choisies), mais à vrai dire, combien de fois ai-je regardé mes photos sur iPad ou sur iPhone pendant ces 5 dernières années? Tellement rarement!
- Aucun problème avec Peakto: j’ai simplement supprimé ma source Lightroom d’avant, puisque j’ai dupliqué le catalogue, et j’ai inséré le nouveau (2 heures de travail pour 60’000 images, chapeau l’artiste!).
Cela faisait des mois que je voulais faire ce passage vers quelque chose de moins énergivore et de moins cher.
J’avais essayé d’autres logiciels pour quitter Lightroom.
Mais là, je profite de ce logiciel qui est tout de même une superbe application, compatible parfaitement avec Peakto, et qui ne coûte que peu d’argent.
C’est top, qu’est-ce que je suis content!
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Cher François, à la relecture de ton humeur de 2017 et des commentaires y associés, je suis très heureux d’être resté sur LRC dans la formule à 12€ (prix inchangé depuis le début). Cinq ans d’économie, ça fait plaisir.
On est deux. Qui sera le troisième ?
Oui, ben, en même temps, j’ai testé des trucs, j’ai vu les avantages et les désavantages, j’ai bidouillé, je suis content tout de même😀.
Moi, je, Ich, io… Voir mon commentaire précédent sur le prix de l’abonnement. Bonne année à tous.
Bonjour ! De mon côté, j’avais la stratégie inverse : utiliser la version Classic de Lightroom. Et mettre dans le cloud Adobe les dernières images ou certains albums. Ce qui me permet de faire de l’ “editing” à partir de mon iPad. D’ailleurs, il me semble que les aperçus dynamiques ne sont pas compatibilités dans le stockage auquel on a droit. Je me trompe ? Bonne journée !
Je ne sais pas s’ils sont comptés ou pas, mais en effet, vu que ce sont des aperçus dynamiques, on peut les éditer “ailleurs” et ce sera reporté dans Lightroom Classic, une fois ce dernier ouvert.
Les collections et images synchronisées de Lr Classic à Lr “cloud” ne sont effectivement pas décomptées des 20 Go de base.
Cependant, pour les photographes voyageurs ou ceux qui aiment bien la prise de vue au smartphone, je conseille vivement de prendre l’option de stockage 1 To, qui double l note mensuelle, certes, mais on reste quand même en dessous de 25 €/mois, pour un volume de services loin d’être négligeable, et sans équivalent sur le marché photo.
Donc, en fait, si je comprends bien, si je synchronisais l’entier de mon catalogue en aperçus dynamiques sur le cloud, ça ne serait pas compté dans les 20 Gb?
Pour les photos avec iPhone, oui bien sûr, puisque là, c’est les JPEG plein pot ou les DNG qui sont envoyés.
Mais comme je l’ai dit plus haut, je les laisserai dans Photos d’Apple, et elles seront présentes dans mon Peakto au même niveau si je le veux que Lightroom.
Et tu sais, Photos d’Apple peut être avantageusement remplacé au niveau de l’édition (toutes les images restant dans le catalogue d’Apple) par un excellent logiciel très bon marché: Raw Power, développé par celui qui est à l’origine d’Aperture!
Il faudra que je vous parle de ce logiciel, il est vraiment bien.
Ah 😄 Raw PoWer : album de Iggy Pop avec son groupe des Stooges. 50 ans en arrière
Je suppose que tu t’attendais à une réaction de ma part et bien voilà, retour aux sources, Lr Classic reste la solution la plus solide et n’empêche pas de profiter, ponctuellement, de la version cloud.
Étrangement, tu ne parles plus de On1, je suppose que tu n’as pas accroché.
Quant à Peakto, la question de son utilité se pose quand même quand on utilise Lightroom Classic pour gérer ses images, d’autant plus si on n’a pas à chapeauter plusieurs autres logiciels. Je suis dans le même cas.
OK pour Lightroom Classic, parfaitement d’accord avec toi.
ON1, j’ai même pris un abonnement d’une année, pour voir.
J’aime bien un grand nombre de trucs, chez eux, et je trouve même que le développement est meilleur que celui de Lightroom.
À ce propos, quand Adobe va-t-elle moderniser l’interface de Lightroom, mais surtout son moteur qui datent (l’interface et le moteur) tout de même tellement!
Mais j’ai eu tellement de bugs d’affichage chez ON1 que j’ai déjà résilié l’abonnement.
Une des raisons de passer chez eux aurait été le prix, mais vu que je suis revenu à Lightroom basique, ce n’est plus du tout le cas.
Je rappelle cet article qui disait bien qu’au final, les logiciels ON1 et Luminar sont bien plus onéreux qu’Adobe, parce qu’ils proposent sans arrêt des presets payants, alors que Lightroom les propose gratuitement.
Quant à Peakto, eh bien justement, avec ce retour aux sources, il prend toute sa valeur.
J’ai mis mon catalogue Lightroom sur un disque externe SSD rapide.
Si je n’ai pas mon disque avec moi, je ne peux voir mes photos.
Mais avec Peakto, oui! Et comme Peakto est le logiciel dans lequel je regarde mes images, qu’il jouera le rôle de catalogueur complet dans quelques semaines, toujours synchronisé avec Lightroom quand je rebranche mon disque, dans les deux sens (je le répète, dans quelques semaines!), ce sera juste exceptionnel.
De plus, avec ce système basique où les RAW ne sont plus dans le cloud, mes images à partir d’iPhone resteront dans le logiciel Photos d’Apple, qui lui aussi se trouve dans Peakto.
C’est le beurre et l’argent du beurre, tout ça!
Francois, nous y revoilà, LRC fait très bien le travail, en ce qui me concerne il gère toutes mes photos. Photos je ne l’utilise que pour celles qui sont destinées à être partagées, en fait le moins possible.
Sinon, j’ai arrêté depuis près d’un an d’utiliser C1
Tu peux aussi partager depuis LRC, mais seulement des aperçus, ce qui suffit souvent.
« J’ai donc lancé un chat avec un agent du service client.
En une minute à peine, quelqu’un était prêt à me répondre. »
C’est nouveau ça, que le SAV d’Adobe soit réactif à ce point ?
Tant mieux.
Et c’est étonnant qu’ils aient accepté de changer de formule à la baisse sans broncher car normalement, l’abonnement repart d’année en année.
Je crois avoir compris qu’en fait, tu dois avoir fait une année complète, mais après, tu peux résilier n’importe quand. Là, ça a pris 5 minutes en tout.
Chez moi, ça se renouvelait d’année en année mais j’étais justement sur la formule de base et j’avais eu un rabais la première année. De plus je souhaitais tout arrêter et je n’ai pas contacté le support.
Ah?
Je paie mois par mois depuis toujours.
Oui le paiement est bien par mois mais l’engagement est toujours sur un an. Donc chaque mois de janvier, il faudra bien que tu vérifies si tu veux repartir pour un an (tu recevras un mail d’Adobe peu avant).
Tu sais, j’avais payé pour janvier… Donc j’ai un petit doute, là!
Ou alors j’ai eu un bol fou!
Ou encore, le changement de formule ne pose pas de problème, c’est arrêter complètement qui le ferait.
Il faut foutre la paix aux animaux et en particulier aux chats. Ils ne retombent pas toujours sur leurs pattes quand on les lance trop doucement… 👿
Oui, vraiment, ils sont top.
Pour le service client, c’est réponse dans les dix secondes.
Pour le service technique, tu passes par le même chat, mais c’est d’abord une machine qui te dirige, mais au bout de trois ou quatre questions, tu passes en une minute chez un humain, rien à dire.
Moi, dans le cloud, j’aime quand c’est bien rangé!
Ça, c’est un truc à la Luminar, mais le détourage des arbres n’est vraiment pas trop réaliste.
Tu es un peu maniaque, hein?
Bien, il y a combien d’années que je me bats pour dissuader d’utiliser le cloud. Content de voir que le bon sens ressurgit. Je signale également que quelques rares fois par an, entre autre lors du black friday, on peut acheter un abonnement annuel “photographe” pour moins de 8 euros par mois, ce que je fais depuis quelques années.
Tu sais, ton commentaire dans l’article que j’avais lié (et que Daniel a dit avoir relu) m’a poursuivi toutes ces années.
Cela dit, j’ai pris une solution de sauvegarde dans le cloud pour préparer ma retraite, je vous en parlerai.
Solution que je me suis efforcé de compenser au maximum.
Il n’y a aucune raison de ne pas utiliser le cloud. Les datacenters déploient aussi des efforts pour répondre aux critiques, notamment en exploitant la chaleur dégagée et des choses de ce genre. Critiquer le cloud tout en faisant cuire, sans arrière-pensée, son repas dans un four relié à une centrale nucléaire ou à gaz, ça n’a aucun sens.
Si, ça a un sens, Gilles.
Tu es bien obligé de bouffer…
Tandis que tes photos ne sont pas obligées d’être sur le Cloud.
En plus, en ce qui me concerne, j’ai installé beaucoup de panneaux solaires pour que mon four consomme autre chose que du gaz ou du nucléaire, la plupart du temps.
Enfin, sur la chaleur récupérée, c’est ce que je me dis pour me donner bonne conscience, mais tu sais très bien qu’une infime partie des fermes fonctionnent comme ça actuellement.
On s’y met, mais pour l’instant, la plus grande partie de cette chaleur dans les fermes de serveurs est perdue, et ça consomme énormément.
François, je ne vais pas me relancer dans un débat inutile sur le sujet, d’autant que mon commentaire ne s’adressait pas du tout à toi !
Ce qui m’intéresse ici, c’est ton retour à Lr Classic, je n’en suis pas surpris, je m’y attendais un jour ou l’autre.
Nonobstant, la consommation d’énergie, il y a une autre raison de ne pas utiliser le cloud pour charger ses photos, c’est la nécessité de la connexion. Je suis souvent hors connexion, que ferais-je?
D’autre part, comparer l’utilisation de l’électricité pour cuire un repas et se rendre la vie plus facile en utilisant un réseau, des data-centers, etc. La réflexion me laisse perplexe. D’accord, il vaut mieux être perplexe que ère célibataire 😎 … OK je sors.
Gilles, c’est de la provoc.
il y a au moins une raison : celle de ne pas laisser traîner des images personnelles, n’importe où
Entièrement d’accord. Personnellement je reste en LR 6.14 (achetée) hors Cloud. Il y a évidemment quelques nouveautés que je n’ai pas. Le problème est que sur un nouveau MacBook Pro en OS 12, je ne peux pas faire fonctionner LR 6.14 qui pourtant est en 64 bits. La politique commerciale d’Adobe est telle qu’il n’y pas d’installateur pour LR 6.14 en OS12. J’utilise donc LR sur une machine plus ancienne.
Ouille, mais c’est terriblement handicapant, ça!
Oui mais c’est mieux pour la planète et pour mon portefeuille.
Désolé mais c’est un coup de p… Marketing volontaire. Ça force le client a les contacter en cachant cette offre parce beaucoup ne le savent pas où l’oublie.
Peut-être, en attendant, je ne l’avais pas oubliée.
Et comme le chat est à l’endroit du choix de formule, ce n’est vraiment pas difficile de les joindre.
Je n’ai pas l’habitude de défendre Adobe, mais là, j’ai été agréablement surpris.
Bonjour,
C’est bien mais une vraie question, si un jour qu’Adobe déciderait supprimer définitivement LR Classic pour passer LR Cloud. Est-ce que vous ferez ?
Bon continuation 🙂
Dans ce cas, je convertirai mon dossier Lightroom à l’aide d’Avalanche.
Je ne sais pas encore vers quoi, mais dans ce cas, je le ferai.
Cela étant, il y a 5 ans, tout le monde (sauf Gilles) criait que LR Classic allait disparaître.
Il n’en a rien été, bien au contraire, le logiciel a très bien évolué.
Je ne me fais pas de souci.
Sauf Giles et… Daniel !
Ayant la chance d’être testeur du logiciel et faisant partie d’un petit groupe discutant directement avec les pontes, il est, chez Adobe, tout à fait hors de question d’arrêter Lightroom Classic, et Lightroom “cloud” est considéré comme un produit différent, s’adressant à des utilisateurs très différents. Et si fusion il devait y avoir un jour, ce qui, je le répète, n’est pas au programme, Adobe ne peut pas se permettre d’abandonner ceux qui stockent leurs images sur disque dur, en local.
oui oui, j’ai bien compris!:-)
C’est ce que je dis.
Cela étant, si tu discutes avec eux, c’est encore plus rassurant de savoir qu’ils ne vont pas abandonner le local.
François, bienvenue au club des anti-cloud. Pour ma part, je boycotte tout logiciel qui réclame un cloud. Et comme, Ysengrain, Pesch et JP qui est resté à LR6.14, je suis resté à LR5, qui est parfait pour stocker et référencer mes RAW.
Avantages, financier LR5 est un achat unique, et surtout beaucoup de temps gagner à aller admirer les oiseaux en forêt ou les dauphins en bateau plutôt que de perte de temps à faire joujou avec un clavier et abîmer mes yeux. Idem pour les versions Mac. N’ayant pas d’iPhone, je n’ai rien vu d’intéressant pour mon usage depuis High Sierra.
Je n’interviens jamais … mais ici je donne entièrement raison à JP et à Le Gallou : LR6 et High Sierra qui ne bug jamais sur un ordi “irréparable”) par Apple !
Mon Macbook 2013 a des touches de direction qui ne fonctionnent plus et un écran avec beaucoup de tâches (éteint) et il y a un an j’ai racheté un macbook pro M1- 2To.
Belle machine mais que de bugs : impossible de mettre un mot en gras dans Text Edit, Capture d’écran bloque l’ordi, Safari qui perd des onglets …
Et les mises-à-jour n’y font rien. Très déçu de mon nouvel achat.
Tu as fait un clean install de ton Mac après ton achat ? Parfois ça règle le problème.
Je n’ai pas eu le souci pour mon cas. Mais RIP pour les plus vieux logiciels et je les ai changé et tout va bien pour mon cas…